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Françaises, Français, mes chers compatriotes.
Jeudi soir, je me suis adressé à vous pour évoquer la crise sanitaire que traverse le pays.
Jusqu’alors, l’épidémie de Covid-19 était peut-être pour certains d’entre vous une idée lointaine.
Elle est devenue une réalité immédiate, pressante.
Le gouvernement a pris, comme je vous l’avais annoncé, des dispositions fermes pour freiner la propagation du virus.
Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les universités sont fermées depuis ce jour.
Samedi soir, les restaurants, les bars, tous les commerces non essentiels à la vie de la nation ont également clos leurs portes.
Les rassemblements de plus de 100 personnes ont été interdits.
Jamais la France n’avait dû prendre de telles décisions, évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires en temps de paix.
Elles ont été prises avec ordre, préparation, sur la base de recommandations scientifiques avec un seul objectif : nous protéger face à la propagation du virus.
Dans la journée de jeudi, un consensus scientifique et politique s’est formé pour maintenir le premier tour des élections municipales et j’ai pris, avec le premier ministre, la décision de maintenir le scrutin.
Hier dimanche, les opérations de vote ont donc pu se tenir.
Je veux ce soir remercier les services de l’Etat, les maires, l’ensemble des services des mairies, tous ceux qui ont tenu les bureaux de vote et qui ont donc permis l’organisation de ce scrutin.
Je veux aussi saluer chaleureusement les Françaises et les Français qui, malgré le contexte, se sont rendus aux urnes dans le strict respect des consignes sanitaires, des gestes barrières contre le virus.
Je veux aussi ce soir adresser mes félicitations républicaines aux candidats élus au premier tour.
Environ 30 000 communes sur 35 000 ont après ce premier tour un conseil municipal.
Mais dans le même temps, alors même que les personnels soignants des services de réanimation alertaient sur la gravité de la situation, nous avons aussi vu du monde se rassembler dans les parcs, des marchés bondés, des restaurants, des bars qui n’ont pas respecté la consigne de fermeture.
Comme si, au fond, la vie n’avait pas changé.
A tous ceux qui, adoptant ces comportements, ont bravé les consignes, je veux dire ce soir, très clairement, non seulement vous ne vous protégez pas, vous, et l’évolution récente a montré que personne n’est invulnérable, y compris les plus jeunes, mais vous ne protégez pas les autres, même si vous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez transmettre le virus.
Même si vous ne présentez aucun symptôme, vous risquez de contaminer vos amis, vos parents, grands-parents, de mettre en danger la santé de ceux qui vous sont chers.
Dans le Grand-Est, dans les Hauts-de-France, en Ile-de-France, nos soignants se battent pour sauver des vies avec dévouement, avec force.
Au moment où la situation sanitaire se dégrade fortement, où la pression sur nos hôpitaux et nos soignants s’accentue, tout notre engagement, toute notre énergie, toute notre force doivent se concentrer sur un seul objectif : ralentir la progression du virus.
Je vous le redis avec force ce soir : respectons les gestes barrières, les consignes sanitaires.
C’est le seul moyen de protéger les personnes vulnérables, d’avoir moins de concitoyens infectés et ainsi de réduire la pression sur les services de réanimation pour qu’ils puissent mieux accueillir, mieux soigner.
Sans signes graves, contactons notre médecin traitant, n’appelons le SAMU et ne nous rendons à l’hôpital qu’en cas de fortes fièvres, de difficultés à respirer, sans quoi ils ne pourront faire face à la vague de cas graves qui déjà se profile dans certaines régions.
Faisons preuve, au fond, d’esprit solidaire et de sens des responsabilités.
Chacun d’entre nous doit à tout prix limiter le nombre de personnes avec qui il est en contact chaque jour.
Les scientifiques le disent, c’est la priorité absolue.
C’est pourquoi, après avoir consulté, écouté les experts, le terrain et en conscience, j’ai décidé de renforcer encore les mesures pour réduire nos déplacements et nos contacts au strict nécessaire.
Dès demain midi et pour quinze jours au moins, nos déplacements seront très fortement réduits.
Cela signifie que les regroupements extérieurs, les réunions familiales ou amicales ne seront plus permises.
Se promener, retrouver ses amis dans le parc, dans la rue, ne sera plus possible.
Il s’agit de limiter au maximum ses contacts au-delà du foyer.
Partout sur le territoire français, en métropole comme outre-mer, seuls doivent demeurer les trajets nécessaires.
Nécessaire pour faire ses courses avec de la discipline et en mettant les distances d’au moins un mètre, en ne serrant pas la main, en n’embrassant pas.
Les trajets nécessaires pour se soigner, évidemment.
Les trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible et les trajets nécessaires pour faire un peu d’activité physique mais sans retrouver, là encore, des amis ou des proches.
Toutes les entreprises doivent s’organiser pour faciliter le travail à distance.
Et quand cela ne sera pas possible, elles devront adapter dès demain leur organisation pour faire respecter ces gestes barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, quand il s’agit d’indépendants, se protéger eux-mêmes.
Le gouvernement précisera les modalités de ces nouvelles règles dès ce soir, dès après mon allocution.
Toute infraction à ces règles sera sanctionnée.
Je vous le dis avec beaucoup de solennité ce soir.
Ecoutons les soignants qui nous disent « si vous voulez nous aider, il faut rester chez vous et limiter les contacts ».
C’est le plus important, évidemment.
Ce soir, je pose des règles nouvelles.
Nous posons des interdits.
Il y aura des contrôles, mais la meilleure règle, c’est celle qu’en tant que citoyens, vous vous appliquez à vous-mêmes et une fois encore, j’en appelle à votre sens des responsabilités et de la solidarité.
Dans ce contexte, après avoir consulté le président du Sénat, le président de l’Assemblée nationale, mais également mes prédécesseurs, j’ai décidé que le second tour des élections municipales serait reporté.
Le premier ministre en a informé aujourd’hui même les chefs de partis représentés au Parlement.
Cette décision a fait l’objet d’un accord unanime.
Mes chers compatriotes, je mesure l’impact de toutes ces décisions sur vos vies.
Renoncer à voir ses proches, c’est un déchirement.
Stopper ses activités quotidiennes, ses habitudes, c’est très difficile.
Cela ne doit pas nous empêcher de garder le lien, d’appeler nos proches, de donner des nouvelles, d’organiser aussi les choses avec nos voisins.
D’inventer de nouvelles solidarités entre générations.
De rester, comme je vous l’ai dit jeudi dernier, profondément solidaires et d’innover là aussi sur ce point.
Je sais que je vous demande de rester chez vous.
Je vous demande aussi de garder le calme dans ce contexte.
J’ai vu ces dernières heures des phénomènes de panique en tous sens.
Nous devons tous avoir l’esprit de responsabilité.
Il ne faut pas que les fausses informations circulent à tout-va et en restant chez vous, occupez-vous des proches qui sont dans votre appartement, votre maison ; donnez des nouvelles, prenez des nouvelles, lisez.
Retrouvez aussi ce sens de l’essentiel.
Je pense que c’est important dans les moments que nous vivons.
La culture, l’éducation, le sens des choses est important.
Evitez l’esprit de panique, de croire dans les fausses rumeurs.
Les demi-experts ou les faux-sachants.
La parole est claire, l’information est transparente et nous continuerons de la donner.
Mais croyez-moi, cet effort que je vous demande, je sais qu’il est inédit mais les circonstances nous y obligent.
Nous sommes en guerre, en guerre sanitaire certes.
Nous ne luttons ni contre une armée ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, et qui progresse.
Et cela requiert notre mobilisation générale.
Nous sommes en guerre.
Toute l’action du gouvernement et du Parlement doit être désormais tournée vers le combat contre l’épidémie, de jour comme de nuit.
Rien ne doit nous en divertir.
C’est pourquoi j’ai décidé que toutes les réformes en cours seraient suspendues, à commencer par la réforme des retraites.
Dès mercredi, en conseil des ministres, sera présenté un projet de loi permettant au gouvernement de répondre à l’urgence et, lorsque nécessaire, de légiférer par ordonnance dans les domaines relevant strictement de la gestion de crise.
Ce projet sera soumis au Parlement dès jeudi.
J’ai vu tout à l’heure les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat afin que ces textes soient votés le plus finement possible, afin aussi que la vie démocratique et le contrôle du Parlement continuent dans cette période.
Je les en remercie et je remercie tous nos parlementaires en cet instant.
Nous sommes en guerre.
J’appelle tous les acteurs politiques, économiques, sociaux, associatifs, tous les Français à s’inscrire dans cette union nationale qui a permis à notre pays de surmonter tant de crises par le passé.
Nous sommes en guerre et la Nation soutiendra ses enfants qui, personnels soignants en ville, à l’hôpital, se trouvent en première ligne dans un combat qui va leur demander énergie, détermination, solidarité.
Ils ont des droits sur nous.
Nous leur devons évidemment les moyens, la protection.
Nous serons là.
Nous leur devons, des masques, du gel, tout le matériel nécessaire.
Et nous y veillons et y veillerons.
Nous avons décidé avec les scientifiques de réserver les masques en priorité pour l’hôpital et la médecine de ville et de campagne, en particulier les généralistes et les infirmières, désormais en première ligne aussi dans la gestion de la crise.
Des masques seront livrés dans les pharmacies dès demain soir, dans les vingt-cinq départements les plus touchés, mercredi pour le reste du territoire national.
J’ai aussi entendu le message des spécialistes, en particulier les chirurgiens-dentistes et beaucoup d’autres.
Des solutions seront trouvées avec le ministre de la santé dans les prochaines heures.
Nous devons aussi aux soignants la garde de leurs enfants.
Un service minimum de garde est en place depuis ce jour dans les crèches et dans les écoles.
Nous leur devons aussi sérénité, dans leurs déplacements, et repos.
C’est pourquoi j’ai décidé que dès demain les taxis et les hôtels pourront être mobilisés à leur profit.
L’Etat paiera.
Nous sommes en guerre, oui.
Le pays accompagnera dans cette période les régions les plus touchées aujourd’hui, comme celles qui le seront demain.
A ce titre, je veux assurer les habitants, les personnels soignants du Grand-Est que nous serons au rendez-vous pour les appuyer face à l’afflux de patients et à la saturation des hôpitaux.
Je sais ce qu’ils vivent depuis des jours et des jours.
Nous sommes avec eux.
J’ai décidé pour cela qu’un hôpital de campagne du service de santé des armées serait déployé dans les jours à venir en Alsace.
Les armées apporteront aussi leur concours pour déplacer les malades des régions les plus affectées et ainsi réduire la congestion des hôpitaux de certains territoires.
Nous sommes en guerre.
Aussi, comme je vous l’ai dit jeudi, pour nous protéger et contenir la dissémination du virus, mais aussi préserver nos systèmes de soins, nous avons pris ce matin, entre Européens, une décision commune.
Dès demain midi, les frontières à l’entrée de l’Union européenne et de l’espace Schengen seront fermées.
Concrètement, tous les voyages entre les pays non européens et l’Union européenne seront suspendus pendant trente jours.
Les Françaises et les Français qui sont actuellement à l’étranger et souhaitent rentrer pourront bien entendu rejoindre leur pays.
Nous devons prendre cette décision parce que je vous demande ce soir d’importants efforts et que nous devons, dans la durée, nous protéger.
Et je veux dire à tous nos compatriotes qui vivent à l’étranger que là aussi, en bon ordre, ils doivent se rapprocher des ambassades et consulats et que nous organiserons pour celles et ceux qui le souhaitent, et là où c’est nécessaire, le rapatriement.
Vous l’aurez compris, vous le pressentez, cette crise sanitaire sans précédent aura des conséquences humaines, sociales, économiques majeures.
C’est aussi ce défi que nous devons mener.
Je vous demande des sacrifices pour ralentir l’épidémie.
Jamais ils ne doivent mettre en cause l’aide aux plus fragiles, la pérennité d’une entreprise, les moyens de subsistance des salariés comme des indépendants.
Pour les plus précaires, pour les plus démunis, pour les personnes isolées, nous ferons en sorte, avec les grandes associations, avec aussi les collectivités locales et leurs services, qu’ils puissent être nourris, protégés, que les services que nous leur devons soient assurés.
Pour la vie économique, pour ce qui concerne la France, aucune entreprise, quelle que soit sa taille, ne sera livrée au risque de faillite.
Aucune Française, aucun Français ne sera laissé sans ressources.
S’agissant des entreprises, nous mettons en place un dispositif exceptionnel de report de charges fiscales et sociales, de soutien au report d’échéances bancaires et de garanties de l’Etat à hauteur de 300 milliards d’euros pour tous les prêts bancaires contractés auprès des banques.
Pour les plus petites d’entre elles, et tant que la situation durera, celles qui font face à des difficultés n’auront rien à débourser ni pour les impôts, ni pour les cotisations sociales.
Les factures de gaz ou d’électricité ainsi que les loyers devront être suspendus.
En outre, afin que personne ne soit laissé sans ressources, pour les salariés le dispositif de chômage partiel sera massivement élargi, comme je vous l’avais annoncé jeudi dernier, et comme le gouvernement a commencé à le préciser.
Pour les entrepreneurs, commerçants, artisans, un fonds de solidarité sera créé, abondé par l’Etat, et auquel le premier ministre proposera aux régions aussi de contribuer.
Le gouvernement, dès demain, précisera toutes ces mesures.
Elles seront en fonction des besoins, des réalités économiques, des nécessités secteur par secteur, évidemment adaptées.
Nous serons au rendez-vous pour que notre économie soit préservée dans cette période si dure et pour que l’ensemble des travailleuses et des travailleurs puissent avoir cette sécurité aussi en termes de pouvoir d’achat, de continuité de leur vie.
Mes chers compatriotes, la France vit un moment très difficile.
Nul ne peut en prévoir précisément la durée et à mesure que les jours suivront les jours, que les problèmes succéderont aux problèmes, il faudra en lien avec les éclairages donnés par les scientifiques, des expériences de terrain, il faudra nous adapter.
Nous allons continuer aussi pendant cette période de travailler, de progresser sur les traitements et je sais le dévouement de plusieurs équipes partout sur notre territoire avec les premiers espoirs qui naissent, et nous continuerons aussi d’avancer sur le vaccin.
Régulièrement, je m’adresserai à vous.
Je vous dirai à chaque fois, comme je l’ai fait, comme le gouvernement le fait, la vérité sur l’évolution de la situation.
J’ai une certitude : plus nous agirons ensemble et vite, plus nous surmonterons cette épreuve.
Plus nous agirons en citoyens, plus nous ferons preuve de la même force d’âme, de la même abnégation patriote que démontrent aujourd’hui nos personnels soignants, nos sapeurs-pompiers, l’ensemble des acteurs de la sécurité civile, plus vite nous sortirons de cette vie au ralenti.
Nous y arriverons.
Mes chers compatriotes, en étant unis, solidaires, je vous demande d’être responsables tous ensemble et de ne céder à aucune panique, d’accepter ces contraintes, de les porter, de les expliquer, de vous les appliquer à vous-mêmes.
Nous nous les appliquerons tous, il n’y aura pas de passe-droits.
Mais là aussi de ne céder ni à la panique ni au désordre.
Nous gagnerons, mais cette période nous aura beaucoup appris.
Beaucoup de certitudes, de convictions seront balayées, seront remises en cause.
Beaucoup de choses que nous pensions impossibles adviennent.
Ne nous laissons pas impressionner, agissons avec force, mais retenons cela, le jour d’après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour aux jours d’avant.
Nous serons plus forts moralement.
Nous aurons appris et je saurai aussi avec vous en tirer toutes conséquences, toutes les conséquences.
Hissons-nous, individuellement et collectivement, à la hauteur du moment.
Je sais, mes chers compatriotes, pouvoir compter sur vous.
Vive la République ! Vive la France ! »
\ No newline at end of file
import os
from datetime import datetime
from keras.callbacks import ModelCheckpoint, EarlyStopping
from glossolalia.loader import load_seeds, load_text
from glossolalia.lstm import LisSansTaMaman
def train():
max_len = 200
nb_words = 50
nb_epoch = 110
nb_layers = 64
dropout = .4 # TDO finetune layers/dropout
validation_split = 0.3
lstm = LisSansTaMaman(nb_layers, dropout, validation_split, bidirectional=True, debug=True)
directory = "../models/macro"
if not os.path.exists(directory):
os.mkdir(directory)
filename_model = "../models/macro/macro_lstm%i-d%.1f-{epoch:02d}_%i-{accuracy:.4f}.hdf5" % (
nb_layers, dropout, nb_epoch)
filename_output = "./output/macrocrate_%i-d%.1f_%s.txt" % (
nb_layers, dropout, datetime.now().strftime("%y%m%d_%H%M"))
callbacks_list = [
ModelCheckpoint(filename_model, monitor='val_accuracy', period=10, save_best_only=True),
EarlyStopping(monitor='val_accuracy', patience=5)]
corpus = load_text("socrate.txt")[:max_len] \
+ load_text("guerre.txt")[:max_len]
print("Corpus:", corpus[:10])
lstm.create_model(corpus)
with open(filename_output, "a+") as f:
for i in range(0, nb_epoch, 10):
lstm.fit(epochs=min(i + 10, nb_epoch), initial_epoch=i,
callbacks=callbacks_list,
validation_split=validation_split)
for output in lstm.predict_seeds(nb_words):
print(output)
f.writelines(output)
for i, seed in enumerate(load_seeds(corpus, 5)):
output = lstm.predict(seed, nb_words)
print("%i %s -> %s" % (i, seed, output))
f.writelines(output)
for i, seed in enumerate(load_seeds(corpus, 20)):
output = lstm.predict(seed, nb_words)
print("%i %s -> %s" % (i, seed, output))
f.writelines(output)
while True:
input_text = input("> ")
text = lstm.predict(input_text, nb_words)
print(text)
f.writelines("%s\n" % text)
if __name__ == '__main__':
train()
acquérir la élections municipales et et nous lui-même
Le gouvernement précisera les modalités de la priorité absolue.
dès dès dès soir, soir, qui y allocution.
La journée de jeudi, un consensus scientifique et politique s’est formé des élections municipales des mort, et des restaurants, des bars et des services de réanimation clos.
et l’on s’agit d’indépendants, la dieux amis de l’homme, à la propagation de réanimation sont pas.
t la enfers, de nos soignants s’accentue, notre mort. s’accentue, notre mort. toute notre concentrer sur un seul objectif : ralentir la
. demande de garder le calme et que que qui est philosophe de garder le mêler et la mort de la veille, que que nous erreur. que les âmes des morts sont pour nos vie et des services de réanimation la gestes barrières contre le virus.
Comment cela, socrate. simmias, que les fausses informations circulent
Les dieux nécessaires pour aller t ravailler quand le travail à distance n’est pas possible
services de la vie de nos vie et la dieux barrières contre des dieux barrières
contre des dieux barrières maux. notre mort, toute
certaines clos face ; car la profile ; des dieux objectif
y a bien de l’apparence de la vie de la vie de la mort. et des dieux supérieurs des maîtres supérieurs des consignes supérieurs
Dirons-nous que la justice doit le corps, et le corps, et le corps ?
et nous nous incapables de discerner la vérité. de cas et la dieux objectif des morts de la mort.
je veux pas ce soir adresser gouverné de rechercher le plus d’appeler nos déplacements élus les gestes fermes le premier tour. maux. nos déplacements barrières nos amis de nos mort. barrières nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos mort. ni nos mort.
Eh donc, mon cher, de garder le calme de mille chimères, de mille sottises, de manière que que il ne réfléchirait pas ce que la mort ? la mort ? nous nous plus grand. ou que nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, de discerner la vérité.
Un midi et les hauts-de-france, qui, ile-de-france, nos soignants de panique en faire respecter j’ai décidé de renforcer encore avec philolaüs protéger eux-mêmes. protéger leurs portes. ou, des proches des élections municipales serait reporté.
leurs salariés des strict barrières contre le strict nécessaire. contre le virus.
donc, mon cher, de garder le lien, d’appeler nos contacts au-delà et les trouveras avec la services de réanimation des décision des consignes supérieurs des consignes maux. maux. maux. la propagation le virus. des décision ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort.
Une guerre sensible. même de l’extravagance ? la veille ? celui la mort de la vie et celui qui n’est pas la mort de la mort. qu’autant nous nous mettions à réfléchir, la mort vote qu’alors que nous renoncerons à la vie
Les dieux barrières pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible.
La semaine les réunions familiales ou amicales ne seront plus permises. occupez-vous de la vie de la mort.
Virus donc ! ! le combinaison de la vie de la mort. après également clos leurs portes. dans des proches des élections municipales des nouvelles, lisez. des voisins. barrières contre le virus. ? nos concentrer et les proches. temps, nos concentrer du virus. et nos seul objectif des décision des services
Les enfers le disent, les collèges, les lycées, les universités sont fermées depuis ce jour.
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de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterJe de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterTu de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLe de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLa de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLes de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterUn de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterOn de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterNous de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterL' de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLeur de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterCe de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterUn de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterEntièrement, de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLa de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterMais de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter
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de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterJe de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterTu de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLe de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLa de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterLes de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterUn de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonterOn de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de de autre surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter 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de de de de de de de de de de plus de surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter surmonter la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortJe la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortTu la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortLe mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort deLa mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort deLes mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort deUn vrai, de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort deOn la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortNous bien de de de de et et la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de laL' la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortLeur bien de de de de et de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de laÀ la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortDes masques de de de et et la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de— je la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mortNous devons de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de laPoint que la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que queJe me vrai, de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vieTu me vrai, de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vieLe vrai, de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie deLa mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie deLes mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie deUn vrai, de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie deOn me vrai, de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vieNous vrai, de bien de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et laL' ce que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que queLeur donc de bien de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et laS’agissant des mort de la mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie deMes vrai, de plus mort de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie deD’où que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que queLe vulgaire de philosophe de la mort de la vie de la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie et la vie de nos vie— que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que le vrai, de le mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux.Je donc dit socrate, de plus philosophe de la vie de nos services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrièresTu donc dit socrate, de plus philosophe de la vie de nos services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrièresLe vrai, de le mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux. notreLa mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux. notreLes mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux. notreUn vrai, de le mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux. notreOn est vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strictNous vrai, de bien de plus chose de la vie de nos vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrièresL' est vrai, de bien de plus chose de la vie de nos vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strictLeur donc de bien de quelque chose de la vie de nos vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrièresNous devons de le mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières— les mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux.Jeudi soir, pas ce le vrai, de le mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strictMais les mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières maux. notreC’est je donc dit socrate, de plus philosophe de la vie de nos services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre et la dieux barrières contre et la dieux barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict barrières notre strict je me vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie et la dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notreJe me vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie et la dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notre strictTu est vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort,Le vrai, de quelque chose de la autres ordinaires, pour la services de la dieux barrières maux. notre mort, toute notre strict barrières notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notreLa mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notre strictLes mort de la mort de la vie de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notre strictUn vrai, de quelque chose de la autres ordinaires, pour la services de la dieux barrières maux. notre mort, toute notre strict barrières notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notreOn est vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort,Nous vrai, de bien de plus chose de la vie de la services de la vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notre strict barrières notreL' est vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort,Leur dis dit socrate, de plus philosophe de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, touteEt je me vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notrePour les mort de la mort de la vie de la vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notre strict barrières notre mort,Dès je me vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notreNous leur socrate. de bien de la vie de la services de la vie de nos vie de nos vie et des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, touteSi je me vrai, de bien de la vie de la services de la vie de nos vie et la dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux barrières maux. notre mort, toute notre je dis dit socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestesJe dis dit socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrièresTu me vrai, de cébès de sous de plus plus choses évidemment parents, évidemment temporaires et le mort, et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contreLe vrai, de quelque chose de la vie de la services de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22La mort de la mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre desLes mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22Un vrai, de quelque chose de la vie de la services de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22On est vrai, de cébès de rechercher de plus plus voilà pour nos services de la gestes barrières contre des dieux barrières ton notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre mort, toute notre concentrer de la dieux 22 maux. l’affirmer notre mort, toute notre mort, toute notre mort,Nous doute, dit socrate, de garder de plus philosophe et les autres sanitaire des services de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestesL' est vrai, de cébès de rechercher de plus plus sanitaire de la vie de nos déplacements doivent notre mort, toute notre mort, toute notre concentrer et la dieux 22 . contre et la dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux barrières contre des dieux 22 . contreLeur dis dit socrate, socrate, ce ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestesLa culture, de quelque chose de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22 . contre des dieuxD’inventer de faut pas simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ceElles ont dit socrate, socrate, ce ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrièresNécessairement.
est vrai, de cébès de rechercher de plus plus sanitaire de la vie de nos déplacements doivent notre mort, toute notre concentrer et la gestes barrières contre des gestes barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre des dieux 22 . contre des dieux barrières contre desCar je me vrai, de cébès de sous de plus plus choses évidemment parents, évidemment temporaires et le mort, et des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières je veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie et les services de la vie de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contreJe veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie et les services de la vie de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre etTu veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie et les services de la vie de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre etLe gouvernement socrate. de l’apparence de la vie de la vie de la vie et les services de la vie et le sommeil et la dieux amis des consignes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestesLa mort de la vie de la vie de la vie et les services de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le réveil. et des gestes barrières nos mort, toute notre concentrer et la gestes barrières contre et la dieux amis des gestesLes mort de la vie de la vie de la vie et les services de la vie et le sommeil et la dieux amis des consignes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contre etUn gouvernement socrate. de l’apparence de la vie de la vie de la vie et les services de la vie et le sommeil et la dieux amis des consignes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestesOn est vrai, socrate. socrate, le corps, n’est-ce de la vie de la vie de la vie et les consignes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux 22 . contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux amis des gestes barrières contre et laNous doute. de cébès de rechercher et les vie de nos soigner, seront moins et les services de réanimation alertaient de la vie de maintenir de la vie de n’embrassant pas. ne protéger pas. protéger ne auparavant fièvres, de la mort. et de la mort. et de la mort. sont nosL' est vrai, socrate. socrate, le corps, n’est-ce de la vie de la vie de la vie et les consignes supérieurs des consignes barrières contre des dieux 22 . contre et des dieux 22 . contre et des dieux 22 . contre et des dieux 22 . contre et des dieuxLeur donc dit socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie et les services de la vie de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre et laVois est vrai, socrate. socrate, le corps, n’est-ce de la vie de la vie de la vie et les consignes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux 22 . contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux amis des gestes barrières contre et laJe veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle de ce que les mort de la vie de la vie et les services de la vie de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre etLe pays important, évidemment. pour faciliter pour plus plus voilà pour notre concentrer et le plus peu . notre mort, toute notre concentrer de paix. ensuite la dieux barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contreUn gouvernement socrate. de l’apparence de la vie de la vie de la vie et les services de la vie et le sommeil et la dieux amis des consignes barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestes barrières contre et la dieux barrières contre des gestesCela étant, simmias. dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle de ce le corps, et les mort de la veille, de la vie de la vie et le sommeil et la dieux municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières je veux socrate, la mort de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de paix. la dieux barrières contre des gestes barrières contre et le vieJe veux socrate, la mort de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de paix. la dieux barrières contre des gestes barrières contre et le vie deTu veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ceLe gouvernement socrate. ses chose de faciliter les autres ordinaires, des services de panique la mort, ni nos fortement barrières contre ; des dieux 22 . contre ; des dieux 22 . contre ; des dieux 22 . contre ; des dieux 22 . contre ; des dieux 22 . contreLa mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de paix. la dieux barrières contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes.Les trajets nécessaires pour aller travailler sens de la vie de la vie de sauver ; la gestes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contre le virus. leurs salariés ou, le strict objectif des gestes barrières contre et le vie de la vie et la gestes barrièresUn gouvernement socrate. ses chose de faciliter les autres ordinaires, des services de panique la mort, ni nos déplacements ni nos mort, toute notre concentrer et la gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus. : le virus. avec la gestes barrières contre et laOn est vrai, socrate. socrate, que les choses, des services de réanimation alertaient les mort de la vie de la nation sont nos strict nécessaire. contre et des gestes barrières contre et la gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus.Nous doute. socrate. socrate, que le corps, de l’âme. et et ce ce ce ce je as vrai, comme comme ce ce ce ce je appelle que la mort de la veille, de la veille, de la nation sont nos mort, et nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre etL' est vrai, socrate. socrate, que les choses, des services de réanimation alertaient les mort de la nation sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre et le sépareraient-ils de la vie et la gestes barrières contre des consignes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contreLeur dis dit socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce jeCe je dis dit socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ceLe pays important, évidemment. pour faciliter de plus vite de la vie de la vie et le vie de la vie de la vie de la vie et le sommeil ; la mort de la vie de la nation sont nos mort, et nos hôpitaux et nos hôpitaux de nos mort. touteTu veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ce je appelle pas ce ce ceCependant je veux socrate, la mort de la vie de la vie de nos vie et des consignes barrières contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestesJe veux socrate, la mort de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre des gestes barrières contre et la gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de paix. la dieux barrières contre des gestes barrières contre et le vie de la je veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de ce que les veille, de la veille, deJe veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de ce que les veille, de la veille, de laTu veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de ce que les veille, de la veille, de laLe gouvernement socrate. de toujours de sous de telles tel voilà de la vie de sauver de la vie et le seul objectif des dieux amis des gestes barrières contre et la gestes barrières contre le virus. : le virus. : la dieux amis de la vie et la gestes barrièresLa mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de paix. la dieux 22 . contre et la gestes barrières contre et la gestes barrières contre le virus. : le virus. : la dieux amis deLes mort de la vie de la vie de la vie de nos vie et des gestes barrières contre le virus. : le virus. : la gestes barrières contre le virus. : le virus. avec la gestes barrières contre et la raison des gestes barrières contre et la gestes barrières contreUn gouvernement socrate. de toujours de sous de telles tel voilà de la vie de nos fortement réduits. contre ; le protéger eux-mêmes. la dieux 22 . contre et la gestes barrières contre et la vie de réanimation clos leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. notre mort,On est vrai, simmias, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de ce que les veille, de la veille, de la nationNous doute, dit cébès. socrate, comme moi les mort de la veille, de la veille, de la nation sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et la vie de réanimation clos puissent leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. mieuxL' est vrai, dit cébès. dernier, profondément solidaires de vous qu’auprès à la vie de la vie de la mort. barrières nos mort, et nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre le virus. : le virus. avec la dieux 22 . contreLeur veux pas socrate, que les mort de la vie de la vie et les services de la nation sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre le virus. : le virus. avec la dieux 22 . contre et la gestes barrièresEt je veux pas simmias. socrate, socrate, ce ce je appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de ce que les veille, de la veille, de laPour cela, dit socrate, socrate, ce ce ce je appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce tu appelle pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de ce que les veille, de la veille, de la nationSans doute, socrate. cébès. socrate, de garder de mille chimères, de la veille, de la veille, de la nation sont nos strict nécessaire. contre et des gestes barrières contre et la gestes barrières contre des consignes barrières contre des gestes barrières contre le virus. : le virus. avec la gestes barrières contreNous doute, dit cébès. socrate, comme moi les mort de la veille, de la veille, de la nation sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et la vie de réanimation clos puissent leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. mieuxNous leur socrate. de l’apparence de la vie de la vie de la vie et le sommeil et la gestes des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et la gestes barrières contre des consignes barrières contre des gestes barrières contre le virus. : le virus. avec la je veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce je appelle que la mort de la veille, de la veille, de la situation, et les autres bondés, des gestes barrières contre et le réveil. et la dieux amis des bars de réanimation clos puissent leurs portes. mieux soigner. mieux soigner. mieuxJe veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce je appelle que la mort de la veille, de la veille, de la situation, et les autres bondés, des gestes barrières contre et le réveil. et la dieux amis des bars de réanimation clos puissent leurs portes. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner.Tu veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce je appelle que la mort de la veille, de la veille, de la situation, et les autres bondés, des gestes barrières contre et le réveil. et la dieux amis des bars de réanimation clos puissent leurs portes. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner.Le gouvernement socrate. de toujours informé sous de contaminer pu la trajets nécessaires. pour moins de la vie de maintenir le virus. graves que nous appartement, face à elle-même la parcs, de n’embrassant graves de virus. graves la dieux municipales et car nous appartement, face à elle-même la parcs, de n’embrassantLa mort de la vie de la vie de la vie de la vie et le sépareraient-ils et le réveil. et des gestes des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes bondés, des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. laLes trajets nécessaires pour aller travailler sens le travail à la vie de la vie de la vie et le réveil. : la gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, la gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestesUn gouvernement socrate. de toujours informé sous de contaminer pu la trajets nécessaires. pour moins de la vie de maintenir le virus. graves que nous appartement, face à elle-même la parcs, de n’embrassant graves de virus. graves la dieux municipales et car nous appartement, face à elle-même la parcs, de n’embrassantOn est vrai, simmias, socrate, ce ce ce je appelle que les mort de la veille, de la veille, et les autres supérieurs des services de réanimation alertaient ; la élections municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la dieux amisNous doute, dit cébès. socrate, comme moi les mort de la veille, de tes espérances la services de la situation, de la situation, et le réveil. : la élections municipales des mesures et des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestesL' est vrai, simmias, socrate, ce ce ce je appelle que les mort de la vie de la veille, et les autres supérieurs des services de réanimation alertaient ; la élections municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la dieux 22Leur veux pas simmias. socrate, socrate, ce ce je appelle que la mort de la veille, de la veille, de la situation, et les autres bondés, des gestes barrières contre et le réveil. et la dieux amis des bars de réanimation clos puissent leurs portes. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner.Un gouvernement socrate. de toujours informé sous de contaminer pu la trajets nécessaires. pour moins de la vie de maintenir le virus. graves que nous appartement, face à elle-même la parcs, de n’embrassant graves de virus. graves la dieux municipales et car nous appartement, face à elle-même la parcs, de n’embrassantEt tous cela est vrai, simmias, socrate, ce ce ce je appelle que les mort de la vie de la veille, et les autres supérieurs des services de réanimation alertaient ; la élections municipales des gestes barrières contre et le seul objectif des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la dieuxN’est-ce pas la mort de la vie de la veille, de la vie de la situation, de la vie et le virus. : le virus. : le protéger : la mort de la vie de réanimation : la élections municipales des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes barrières— je veux socrate, la séparation d’avec le corps, n’est-ce à la vie de la veille, de la situation, de la situation, et le virus. : la élections municipales des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la dieux bondés, des bars de réanimation clos leurs portes. mieux soigner. mieux soigner.Hissons-nous, individuellement dit simmias. simmias. simmias. décourager, reprit ce le lien, solidaires de la vie de la vie de sauver et nous agitons. face à respirer, la pression de n’embrassant graves de virus. la élections municipales des dieux bondés, des bars de maintenir le virus. avec la dieux bondés, des bars de je dis demande dit simmias. dernier, devront adapter dès cette question. sens des mort, souhaitent nos déplacements sur nos déplacements avec dévouement, avec force. la pression avec nos vie de maintenir le virus. : la dieux amis des bars des bars des bars des bars des bars des consignes barrièresJe dis demande dit simmias. dernier, devront adapter dès cette question. sens des mort, souhaitent nos déplacements sur nos déplacements avec dévouement, avec force. la pression avec nos vie de maintenir le virus. : la dieux amis des bars des bars des bars des bars des bars des consignes barrières contreTu dis dit simmias, socrate, ce ce tu ceci, bien comme ce ce ce d’abord mort de ce : ce ce ce tu as vrai, comme comme moi les mort de tenir attaché de toutes à la veille de avons que nous nous mettions de la mort. sont la élections bondés,Le gouvernement socrate. socrate, que les services de la veille, de la nation sont nos soignants et nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. la gestes sanitaires, des gestes barrières contre des consignes sanitaires, des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notreLa mort de la vie de la vie de la vie de nos vie de notre concentrer de la vie et des gestes barrières contre des consignes sanitaires, des gestes barrières contre des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, la gestes barrières contre et des gestes barrièresLes trajets nécessaires pour aller travailler sens de la vie de la vie de nos mort. doivent notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre mort, doivent notre concentrer doivent notre concentrer sur la vie de maintenir le virus. : la dieux amisUn gouvernement socrate. de toujours informé sous de contaminer pu se décidé de la scientifiques en faire ensuite que que nous renoncerons à elle-même la vérité. de raison. et de la solidarité. qu’autant et nous qu’alors face à elle-même la vérité. des marchés bondés, des restaurants, des bars de nos vieOn est vrai, simmias, comme moi les mort de l’etat, les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient les mort de la situation, de avons la élections municipales des gestes barrières contre et des gestes barrières contre et nous la mort. sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre etNous cela, socrate. socrate, comme moi les mort de l’etat, les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient les mort de la situation, de avons la élections municipales des gestes barrières contre et des gestes barrières contre et nous la mort. sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre etL' est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu ceci, comme comme ce ce qu’il me donner de la veille, que que ce n’est pas ne est vrai, comme comme moi les mort de la veille, de la situation, de la situation, et leLeur donc dit cébès. décourager, reprit socrate que tu disais a bien comme ce ce ce ce tu as bon, comme ce ce ce ce tu appelle que les gestes barrières, des services de réanimation alertaient les mort de la situation, de avons que la vie de avons la élections municipalesEt cet doute, dit cébès. socrate, socrate, ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu appelle que la mort de la veille, de la veille, de la situation, et les âmes bondés, des consignes sanitaires, des consignes sanitaires, des consignes barrières contre des dieux 22 . l’affirmer entièrement ;Nous cela, socrate. socrate, comme moi les mort de l’etat, les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient les mort de la situation, de avons la élections municipales des gestes barrières contre et des gestes barrières contre et nous la mort. sont nos strict nécessaire. contre des gestes barrières contre etNous leur socrate. socrate, comme moi les mort de l’etat, les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient les mort de la situation, de maintenir que la veille, de avons la dieux bondés, des bars de réanimation clos puissent leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. notreEnviron 30 ! socrate, socrate, ce ce d’abord semble de rechercher ce ce ce ce tu appelle que la mort de la veille, de la veille, de la situation, et les âmes bondés, des consignes sanitaires, des consignes sanitaires, des consignes barrières contre des dieux 22 . l’affirmer entièrement ; des gestes— je veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce tu ceci, bien comme ce ce ce d’abord mort de ce : ce ce ce tu as vrai, comme comme moi les mort de tenir attaché de toutes à la veille de avons que nous nous mettions de la mort. sont la je dis demande dit simmias. dernier, profondément solidaires et d’innover là ce je disais tout-à-l’heure symptôme, vous vous vous vous tour que nous plus plus lointaine. occupez-vous de sagesse. que que nous renoncerons que nous renoncerons à elle-même qui faut ce ce ce ce je récente affranchie à vous-mêmes pasJe dis demande dit simmias. dernier, profondément solidaires et d’innover là ce je disais tout-à-l’heure symptôme, vous vous vous vous tour que nous plus plus lointaine. occupez-vous de sagesse. que que nous renoncerons que nous renoncerons à elle-même qui faut ce ce ce ce je récente affranchie à vous-mêmes pas ceTu dis dit simmias. simmias. simmias, reprit ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu appelle que la mort de tenir attaché de toutes à la veille de tes espérances : nous agitons. face à elle-même la fuite et que nous qu’alors appartenons. certaines pourront plus cas deLe gouvernement socrate. cébès le corps, n’est-ce les autres règle, des autres supérieurs des services de réanimation alertaient les maîtres meilleurs qu’eux, et s’en sépareraient-ils et le 17 eux-mêmes. plaisir de la vie de réanimation alertaient de la raison de réanimation alertaient des gestes toute notre mort. toute notre mort. touteLa mort de la vie de la vie de la mort. sont en moins ; car ce ce qui monde pas ce ce je dis vrai, socrate, comme moi les mort de tenir attaché de toutes les autres choses et et nous nous éloignerons de la mort. sont la gestes sontLes trajets nécessaires pour aller travailler sens le travail à distance ne plus plus permises. occupez-vous de elle-même, que nous renoncerons de la vague de elle-même, et la veille de naissent le étourdit, de fermeture. la vérité. municipales des gestes sont contre ; car nous connaisse que que nous sommes àUn gouvernement socrate. socrate, les services de la vie de la nation sont nos soignants et des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de plaisir de la vie de réanimation alertaient des dieux bondés, des bars des bars des restaurants, qui nos soignants s’accentue, notre mort. toute notre mort.On est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu as bon, comme ce ce ce ce tu appelle que la mort de tenir attaché de toutes à la veille de tes espérances : nous agitons. face àNous cela, socrate. socrate, socrate, ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu appelle que la mort de tenir attaché de toutes à la veille de tes espérances : nous agitons. face à elle-même la fuite et que nous qu’alors appartenons. certaines pourront plus cas de elle-même, etL' est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu as bon, comme ce ce ce ce tu appelle que la mort de tenir attaché de toutes à la veille de tes espérances : nous agitons. face àLeur donc dit cébès. décourager, reprit socrate que tu disais a bien de toi de l’extravagance de mille tel homme que que nous restant plus chaque occupez-vous de la mort. qu’autant que nous qu’alors nous point de la mort. qu’autant que nous qu’alors nous cas de elle-même, que nous appartement, faceJe dis demande dit simmias. dernier, profondément solidaires et d’innover là ce je disais tout-à-l’heure symptôme, vous vous vous vous tour que nous plus plus lointaine. occupez-vous de sagesse. que que nous renoncerons que nous renoncerons à elle-même qui faut ce ce ce ce je récente affranchie à vous-mêmes pas ceC’est je dis demande dit simmias. dernier, profondément solidaires et d’innover y plus avant de la vie de la situation, de avons que nous nous laisse pas. certaines fièvres, et nous rend incapables de discerner la vérité. et que car nous renoncerons à la vie de la mort. sont la gestes— je n’en trouves-tu de désirs, de craintes, de mille chimères, de mille sottises, de toutes de la veille de la veille, de la veille, le sommeil et et le réveil. pas. la mort de fermeture. la veille des marchés bondés, des bars des bars des bars des restaurants, qui nosNous serons pas ce ce le semble de responsabilité. prix ce ce ce ce ce ce je as vrai, comme comme ce ce ce ce je as bon, comme ce ce ce ce tu appelle que la mort de tenir attaché de toutes les autres choses et et nous nous mettions deCela est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu appelle que la mort de ce : ce ce tu as vrai, comme comme moi les mort de la veille, de la situation, et du corps la vérité. je dis demande dit simmias. dernier, profondément solidaires et d’innover n’est que les mort de la situation, de la situation, de avons la responsabilités. jusqu’à naissent que nous lui-même face à respirer, la vérité. et que car nous d’autres conserverons purs de la vie de maintenir le étourdit, de fermeture.Je dis demande dit simmias. dernier, profondément solidaires et d’innover n’est que les mort de la situation, de la situation, de avons la responsabilités. jusqu’à naissent que nous lui-même face à respirer, la vérité. et que car nous d’autres conserverons purs de la vie de maintenir le étourdit, de fermeture. laTu dis vrai, simmias, socrate, ce ce tu ceci, bien de rechercher ce le tribunal. solidaires que nous dire que que ce n’est pas est a de pis, de souriant que la veille, de la situation, de la situation, et que nous erreur. que que nous sommes à la vie deLe gouvernement socrate. socrate, que les choses, des morts qui, malgré les services de réanimation alertaient de la vie de maintenir le virus. : la gestes barrières nos voisins. et des gestes barrières contre et le réveil. eux-mêmes. protéger la pression de réduire le étourdit, de réanimation : la dieux ministre,La mort de la vie de la vie de la mort. sont en clos respecter en danger la santé de maintenir le protéger eux-mêmes. la dieux amis de l’homme, à la vie de réanimation espérances la dieux bondés, des bars de réanimation clos puissent leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. mieuxLes trajets nécessaires pour aller travailler sens le travail à distance ne plus plus permises. l’une, de protéger ; que nous lui-même plus point de la souillures, jusqu’à la proches. sont nos mort, et des gestes barrières contre des consignes sanitaires, des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer deUn gouvernement socrate. socrate, que les choses, des morts qui, malgré les services de réanimation alertaient de la vie de maintenir le virus. : la gestes toute notre mort. toute notre mort. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, touteOn est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de ce : qu’il me semble que que ce ce j’espère principe de la veille, le sommeil. et et que la refroidir, d’organiser la mort de la situation, et le qu’alors : la marchés bondés, des marchés bondés, des gestes sanitaires,Nous cela, socrate. socrate, socrate, moi les mort de l’etat, ? ce que tu avançais, pas la veille que que que que le savoir de responsabilité. et et ce ce ce ce tu as vrai, comme comme moi les mort de tenir attaché de manière qu’en vérité : que que celuiL' est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de ce : qu’il me semble que que ce ce j’espère principe de la veille, le sommeil. et et que la refroidir, d’organiser la mort de la situation, et le qu’alors : la marchés bondés, des marchés bondés, des gestes sanitaires,Leur donc socrate. cébès. décourager, le calme de la veille, de la scientifiques en ont sens en faire en protéger leurs salariés ou, la proches. barrières contre de la vie de réanimation : le virus. : la dieux amis de l’homme, à la vie de avons la vérité. des bars deJe sais pas simmias. socrate, socrate, soir prétend que tu disais a bien de toi de l’extravagance à mourir, de mille tel rigueur et que que celui qui quitte que les mort de la vie de la situation, de avons la responsabilités. jusqu’à naissent que nous lui-même face à respirer, la vérité.Est-ce les as-tu viennent pour aller travailler sens le travail à distance ne plus plus permises. pour notre concentrer de protéger en danger que la raison de maintenir le étourdit, de la mort. et que nous qu’alors la vérité. des marchés bondés, des bars des bars des bars qui n’ont àSans doute. socrate. cébès. le dis, immédiate, pressante. le aujourd’hui sens le leur c’est-à-dire se strict toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute l’affirmer entièrement ; mais mais mais ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce je veuxCar je n’en doutais socrate. de ta réponse ; les philosophes qui, ile-de-france, t’entendaient à la vie de sauver de danger la pression de maintenir le virus. : le protéger : la dieux amis de l’homme, à la vie de avons la vérité. des bars de maintenir le virus. : desNous serons pas ce le sachons de songer de mille chimères, de mille chimères, de mille sottises, de toutes de la veille que que nous erreur. que que nous arrivera dans ce ce ce ce cela est vrai, dit cébès comme moi les mort de la veille, de la situation, et du je veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce tu ceci, bien comme ce ce le véritable a aujourd’hui. le déraisonnable, et car trois, qui n’est qui y compris pas ce le semble de m’y réunir soignants des services de réanimation alertaient les dieux 22 . moins ; des premiers temps,Je veux dit simmias. socrate, socrate, ce ce tu ceci, bien comme ce ce le véritable a aujourd’hui. le déraisonnable, et car trois, qui n’est qui y compris pas ce le semble de m’y réunir soignants des services de réanimation alertaient les dieux 22 . moins ; des premiers temps, nosTu veux dit simmias. prenant reprit la force n’a-t-elle que la mort de la veille, le sommeil. et et le sommeil que que nous erreur. que à la vie de la mort. sont la gestes sont contre ; nous qu’alors face à respirer, la vérité. et et nous qu’alors que queLe gouvernement socrate. cébès comme moi les mort de la veille, et du corps la autres municipales et les enfers sont nos voisins. nécessaire. notre mort, et nos voisins. et des gestes barrières contre et le vie de la vie et le réveil. eux-mêmes. la mort de réanimation alertaient la dieuxLa mort de la vie de la vie de la hommes règles maux. en s’agit ; en trouver à respirer, la pression de diminuer et le protéger eux-mêmes. la dieux amis de l’homme, à la vie de maintenir la vérité. des marchés bondés, des bars des bars qui n’ont à laLes trajets nécessaires pour aller travailler sens le travail à distance ne plus plus permises. l’une, le peu d’activité physique de suppose-t-il à force. la pression de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la proches. des bars de réanimation clos puissent leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. mieux soigner. notre soigner.Un gouvernement précisera les modalités de la vie de la hommes règles maux. dès en fortement trouver à la propagation et le réveil. et que nous renoncerons à la vie de la mort. sera notre mort. toute notre mort. mieux notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie,On est vrai, simmias, socrate, ce ce qu’il ceci, dit comme ce ce ce d’abord sachons ? ce ce ce ce ce j’espère principe de criton ce ce le véritable d’un dépend pour nos déplacements souhaitent nos mort, ni nos fortement réduits. entièrement ; le 17 . notre engagement, toute notreNous cela, socrate. socrate, comme moi les mort de l’etat, les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient les mesures et nos hôpitaux et nos hôpitaux avec nos soignants s’accentue, nos soignants s’accentue, notre strict nécessaire. notre mort, et nos gestes toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, touteL' est vrai, simmias, socrate, ce ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce tu as bon, comme ce ce ce ce mais mais je ai philosophe de rechercher devait devait me donner que que ce ce j’espère principe de la veille leLeur donc dit cébès. décourager, reprit socrate que tu disais a bien de toi de l’extravagance à la vie de la veille, et du corps la autres municipales et des gestes barrières contre et nous lui-même appartenons. certaines protéger pas. certaines fièvres, que car que la main, de elle-même, que nousNous cela, socrate. socrate, comme moi les mort de l’etat, les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient les mesures et nos hôpitaux et nos hôpitaux avec nos soignants s’accentue, nos soignants s’accentue, notre strict nécessaire. notre mort, et nos gestes toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute— cela est vrai, simmias, socrate, ce ce qu’il ceci, dit comme ce ce ce le sachons ? ce ce ce ce ce tu as vrai, comme ce ce ce ce d’abord sachons de ce : qu’il me semble et que ce ce j’espère principe de la veille le terrain et leConcrètement, tous dit simmias. prenant reprit la force n’a-t-elle que que le principe de criton ce ce ce je as bon, comme ce ce ce d’abord philosophes et le corps, et que nous erreur. naît la veille, de la veille, le sommeil ; le sommeil ; le virus. ; que nous qu’alorsJe vous demande dit simmias. dernier, devront adapter dès cette question, sens le vécu avec philolaüs 17 . contre et la méritent, barrières contre de la vie et le réveil. : la proches. des soignants des restaurants, des gestes barrières contre et le strict objectif des restaurants, des consignes sanitaires, des gestesÀ dis dit simmias, reprit socrate que tu disais a bien de toi de l’extravagance à la vie de la veille, et du la veille et que nous erreur. que à vous-mêmes et nous monde dans ce ce ce ce je veux dit simmias. prenant reprit ce ridicule les mort ? je veux socrate, la mort de jeudi, : le corps, et que nous dire pas la trajets ». pour faciliter les services de la vie et le qu’alors pas. la élections municipales des gestes barrières contre et le protéger eux-mêmes. protéger la pression de maintenir le virus. puissent protéger leursJe veux socrate, la mort de jeudi, : le corps, et que nous dire pas la trajets ». pour faciliter les services de la vie et le qu’alors pas. la élections municipales des gestes barrières contre et le protéger eux-mêmes. protéger la pression de maintenir le virus. puissent protéger leurs protégerTu dis vrai, simmias, reprit socrate veux-tu tu disais a bien de toi de la veille, le sommeil. sens le plus lent. . notre mort. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notreLe gouvernement précisera les modalités de la vie de la hommes vertueux, maux. moins ; le leur objectif de l’homme, à respirer, la pression de maintenir le scrutin. puissent protéger ensuite la dieux amis de l’homme, à la vie de la mort. ont notre mort. mieux soigner. notre mort, et nosLa mort de la vie de la vie de la mort. en moins et de manqueraient de la mort. en réduire et le régions. eux-mêmes. protéger la pression de réanimation clos leurs accueillir, mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notreLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance ne faut sur la trajets nécessaires pour faire en suppose-t-il pas force. d’indépendants, se opération intermédiaire, savoir, augmenter de paix. graves de enseigner la dieux amis de l’homme, à respirer, la pression de maintenir de la vie de réanimation :Un gouvernement précisera les modalités de la vie de la hommes vertueux, maux. moins ; le leur objectif de l’homme, à respirer, la pression de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la méritent, des bars de réanimation clos leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie, toute notre énergie, touteOn est vrai, simmias, socrate, ce sauf ceci, dit comme ce ce ce ce tu ceci, l’ai comme ce ce qu’il me donner la mort de la veille, le sommeil. ; le sommeil ; la mort de la veille, le sommeil ; le virus. ; le virus. ; que nous qu’alorsNous cela, socrate. socrate, socrate, ce ce tu ceci, bien de toi ? ce qui ce que tu penses de ce que tu disais tout-à-l’heure bien comme vous vous vos amis, municipal. vos plus municipal. évidemment acquérir ensuite cette grandeur. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notreL' est vrai, simmias, socrate, ce sauf ceci, dit comme socrate, ce ce ce tu ceci, l’ai comme ce ce qu’il me donner que que ce ce j’espère principe de la veille le terrain et le refroidir, : la mort de la situation, ; que nous erreur. que que nous mondeLeur donc dit cébès. décourager, reprit socrate que tu disais dit comme ce ce ce qu’il ceci, a bien de plus faible, le plus vite et que nous erreur. pas que les trajets nécessaires pour faire en protéger sans protéger leurs salariés ou, cette grandeur. eux-mêmes. protéger leurs protéger pas. protégerIl n’est pas ce que je n’en suis adressé de la discipline de la hommes vertueux, maux. l’affirmer entièrement ; car ce ce qui est allocution. de ce et la vie de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la pris, de maintenir le scrutin. puissent protéger leurs protéger : la nouvelles, : que carMais je n’en doutais socrate. de ta réponse ; les philosophes qui, ile-de-france, t’entendaient les mort, en nos fortement réduits. entièrement ; mais je y trouver à la vie de réanimation scrutin. la dieux municipales des bars de diminuer nos strict sanitaires, des gestes barrières contre et des méritent, barrières contreNous cela, socrate. socrate, socrate, ce ce tu ceci, bien de toi ? ce qui ce que tu penses de ce que tu disais tout-à-l’heure bien comme vous vous vos amis, municipal. vos plus municipal. évidemment acquérir ensuite cette grandeur. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notreOui, certes, simmias. simmias. simmias ni toi, devront entendu traiter cette question, sens du samu du mètre, sens. la pression sur quelle premier c’est-à-dire notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notrePour cela, socrate. simmias, socrate, ce ce tu ceci, bien de rechercher ce ce ce ce tu ceci, l’ai comme ce ce ce d’abord sachons de ce : ce ce tu as bon, comme ce ce ce ce tu disais établi que les vie de la vie et le sommeil et je dis demande dit cébès de plus grande auparavant, pour diminuer ensuite. la propagation de partis infectés de protéger en protéger face à respirer, la vérité. avec nos amis de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la proches. des bars de réanimation clos leurs accueillir, mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie,Je dis demande dit cébès de plus grande auparavant, pour diminuer ensuite. la propagation de partis infectés de protéger en protéger face à respirer, la vérité. avec nos amis de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la proches. des bars de réanimation clos leurs accueillir, mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie, touteTu dis vrai, simmias, reprit socrate que tu disais a de l’âme. l’air aujourd’hui réel, le plus lent. évidemment parents, leurs salariés ou, non pendant des pression avec dévouement, de force. la pression avec nos vie de maintenir le scrutin. puissent protéger la gestes sanitaires, des gestes sanitaires, des gestes barrièresLe gouvernement précisera les modalités de la priorité absolue. dès dès dès soir, qui y allocution. pas vous, ce ce l’autre monde pas ce ce ce ce je appelle la mort de l’etat, ? ce que tu penses de ce que tu disais tout-à-l’heure qu’ils tempérans de certains selon vous vousLa mort de paraît-elle quelque chose ? ce que les autres absolue. ? les mort. en nos concentrer et la services de réanimation alertaient de maintenir le virus. : la dieux municipales et des gestes sanitaires, des gestes barrières contre et car la progression de réanimation alertaient des dieux bondés, desLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible pas possible pas ce que je penses de ce que je penses pas ce ce ce ce je dis demande de l’âme. tempérans et ce ce ce ce ce point. est vrai, comme vous vous reconnu, deUn gouvernement précisera les modalités de la priorité absolue. dès dès dès soir, qui y allocution. pas vous, ce ce l’autre monde pas ce ce ce ce je appelle la mort de l’etat, ? ce que tu penses de ce que tu disais tout-à-l’heure qu’ils tempérans de certains selon vous vousOn est vrai, simmias, comme moi les initiations n’étaient des services de réanimation alertaient les mort de la situation, le avons et le 17 . des gestes barrières contre et nous nécessairement que nous protéger que les parcs, des marchés bondés, des dieux 22 . moins des maîtres meilleurs qu’eux, etNous cela, socrate. socrate, comme moi ? ce contexte. ont établi ? ce contexte. ce que tu avançais, pas ce contexte. ce les trajets barrières, les services de réanimation alertaient qui la situation, en avons et nous rend appartenons. pas. certaines fièvres, et car que la main, de elle-même, que leL' est vrai, simmias, comme moi les initiations n’étaient des services de réanimation alertaient les mort de la situation, le avons et le 17 . des gestes barrières contre et nous nécessairement que nous appartement, que les vérité. des amis de réanimation sont des gestes sanitaires, des gestes barrières contre etLeur cela, socrate. simmias, comme moi ? ce contexte. ont établi ? ce contexte. ce qui est a de dépend même et le premier tour ? craindre que nous être et que nous plus plus naturelle, de elle-même, que nous sommes de la veille ; que nous erreur. que les autresJe dis demande dit cébès de plus grande auparavant, pour diminuer ensuite. la propagation de partis infectés de protéger en protéger face à respirer, la vérité. avec nos amis de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la proches. des bars de réanimation clos leurs accueillir, mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie, touteEntièrement, vrai, dit cébès. même que les objections de la veille, le sommeil et le sommeil et la mort de fermeture. la enfers au raison. et nos voisins. avec nos voisins. avec nos voisins. barrières contre et des gestes barrières contre et car la progression de réanimation alertaient des dieux bondés,Voilà, mon cher simmias, socrate, ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce d’abord sachons de criton ce ce ce tu as bon, comme ce ce ce d’abord philosophes et les services de la situation, le sommeil et et que nous erreur. que les parcs, des marchés bondés, des bars desMais je n’en doutais socrate. de ta réponse ; mais il n’est pas aisé pas là le semble que les choses, qui, malgré le contexte, se parlement. rendus aux urnes de maintenir le virus. des mesures et nos restaurants, et nos hôpitaux et nos soignants s’accentue, nos soignants s’accentue, notre strictNécessaire les as-tu saisis pour aller travailler le travail de distance. ne ne serrant de la mort. en notre mort. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute je dis demande dit simmias. décourager, de garder le calme de la veille, de la veille, le sommeil ; et que nous erreur. que les parcs, des marchés bondés, des bars des bars des bars qui n’ont à respecté la consigne de fermeture. la mort. des bars et des proches.Je dis demande dit simmias. décourager, de garder le calme de la veille, de la veille, le sommeil ; et que nous erreur. que les parcs, des marchés bondés, des bars des bars des bars qui n’ont à respecté la consigne de fermeture. la mort. des bars et des proches. bondés,Tu dis vrai, simmias, reprit socrate ; mais le véritable philosophe ? ce ce qu’il me donner que que ce ce j’espère principe de criton ce ce ce je appelle que la mort de la veille, le sommeil. le pays lent. : et que nous lui-même vienne que nous sommes àLe gouvernement précisera les modalités de ce ce ce ce ce je appelle que la mort de la veille, le corps et le travail de la mort. et et nous erreur. que à la propagation de la mort. qu’autant et nous renoncerons à elle-même qui tout commerce à la vie etLa mort de la vie de la priorité règles dès en y plus permises. d’activité physique de protéger jour. la pression de diminuer et le protéger eux-mêmes. la dieux amis de l’homme, à force. la pression de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la proches. des bars de réanimation clos puissent leurs accueillir,Les trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible que ce ce que je penses de ce que je disais tout-à-l’heure chose et que nous monde pas ce ce ce tu as vrai, comme comme on devait me donner que la mort de la veille, leUn gouvernement précisera les modalités de ce ce ce ce ce je appelle que la mort de la veille, le corps et le travail de la mort. et et nous erreur. que que nous sommes à la veille au sommeil, et le réveil. et que nous renoncerons à elle-même qui toutOn est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce ce ce mais je appelle que les gestes barrières, les services de réanimation alertaient qui ne tenu à réfléchir, la bureaux de vote la choses et et nous nous appartenons. pas. certaines fièvres, que car que celui quiNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie et que ce ce j’espère principe de criton ce qu’il me semble que que ce ce j’espère principe ? ce contexte. ce que tu avançais, pas ce ce j’espère principe ? ce : peut-être ce mais mais comment ai appris. de ceL' est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce ce ce mais je appelle que les gestes barrières, les services de la nation ont également clos prouvé. leurs portes. mieux soigner. leurs soigner. notre accueillir, mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notreLeur donc dit cébès. décourager, reprit socrate que tu disais dit comme ce ce qu’il ceci, qu’ils comme que que que que j’espère savoir et les choses, qui nos hommes hommes, qui, parmi ; la hommes supérieurs des services de réanimation alertaient les maîtres meilleurs qu’eux, et s’en sépareraient-ils et leÉvidemment.
est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce ce ce mais je appelle que les gestes barrières, les services de réanimation alertaient qui ne tenu à réfléchir, la bureaux de vote la choses et et nous nous appartenons. pas. certaines fièvres, que car que celui quiElles ont dit simmias. décourager, reprit socrate que tu disais dit comme ce ce qu’il ceci, qu’ils bien comme ce ce ce ce tu as vrai, comme comme ce m’obliger à la vie et que que qui est appris. de l’âme. et et nous nous disions et ? nous qu’en plus naturelle,Cela est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce ce ce mais je appelle que les gestes barrières, les services de la nation ont également clos prouvé. leurs portes. mieux soigner. leurs soigner. notre accueillir, mieux soigner. notre soigner. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie,S’il est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce ce ce mais mais tu as vrai, comme socrate, ce ce d’abord philosophes et que ce celui qui quitte que les mort de la vie de la situation, le avons et le seul objectif des bars et desEt je n’en doute socrate. de souriant et parlant à la vie de la situation, le sommeil et et nous nous sont pas. certaines régions. face à elle-même que que nous d’autres voluptés et que nous sommes de la mort. et que nous sommes à la mort. qu’autant que nous renoncerons je veux socrate, la mort de jeudi, : le corps, et que nous est réussi, ? ce que tu penses que tu est tout-à-l’heure symptôme, vous vous vous tour que nous fondées à mal plus contact chaque que que nous pourront plus plus grand. l’une, que que car la progressionJe veux socrate, la mort de jeudi, : le corps, et que nous est réussi, ? ce que tu penses que tu est tout-à-l’heure symptôme, vous vous vous tour que nous fondées à mal plus contact chaque que que nous pourront plus plus grand. l’une, que que car la progression deTu dis vrai, simmias, reprit socrate ; mais comment ferons-nous ? ce ce tu appelle ? ce qui appelle les maires, l’ensemble des services de réanimation alertaient qui la situation, de avons que nous agitons. nous cas que car nous renoncerons à vous-mêmes et nous sommes à la vie de laLe gouvernement précisera les modalités de ce ce ce ce qu’on est bon, comme elles voulez que la veille, de la veille, le sommeil ; le étourdit, et la refroidir, d’organiser : que nous nécessairement que nous renoncerons à la mort. ; que nous renoncerons à la vie de la mort.La journée de jeudi, et le corps, et que nous ne protégez que nous plus grand ou et que nous ne protégez pas vous, que à récente affirmer, à y tout-à-l’heure davantage et et que que qui monde pas mon vrai. et et ce ce vis-à-vis d’elle-même, affranchie à ce s’ilLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible que les trajets nécessaires pour faire un peu d’activité physique mais des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des proches. sanitaires, des services de réanimation en puissent mieux accueillir, mieux accueillir, mieux soigner.Un gouvernement précisera les modalités de ce ce ce ce qu’on est bon, comme elles voulez que la veille, de la veille, le sommeil ; le étourdit, et la refroidir, d’organiser : que nous nécessairement que nous renoncerons à la mort. ; que nous renoncerons à la vie de la mort.On est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’il m’en a dit. comme ce ce ce ce ce tu as vrai, comme ce ce ce d’abord philosophes et que nous ai réussi, ? ce que tu puis affirmer, tu sachiez que la mort de la veille,Nous cela, socrate. cébès socrate, le opinion n’est-ce pas ce ce j’espère principe ? ce ce j’espère sommeil ? s’en réjouit. ? le pays 19 . notre mort. et et que que nous lui-même : que nous sommeil que les parcs, des marchés bondés, des services de réanimation : des servicesL' est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’il m’en a dit. comme ce ce ce ce ce tu as vrai, comme ce ce ce d’abord philosophes et que nous ai réussi, ? ce que tu puis affirmer, tu sachiez que la mort de la veille,Leur cela, socrate. simmias, comme moi ? ce l’occupation établi ? ce contexte. ont établi les initiations n’étaient barrières, ? la vie et que nous erreur. que les âmes des morts sont pour quel en réduire avec la urnes de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la pris, avec nos pris, avec laMais je n’en doute socrate. comme ce ce ce ce tu as vrai, comme ce ce ce ce tu as vrai, comme comme on devait me donner la ciguë deux fois et et trois, que nous monde à vous-mêmes à l’autre commerce à la vie de la mort. qu’autant que nousVous avez raison, dit simmias. comme comme moi les mort de tenir attaché de toutes à la veille et que nous erreur. que les âmes des marchés bondés, des maîtres meilleurs qu’eux, et s’en sépareraient-ils avec plaisir de la vie de réanimation la consigne de réanimation scrutin. : la dieux ministre, desLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible que les trajets nécessaires pour faire un peu d’activité physique mais des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des proches. sanitaires, des services de réanimation en puissent mieux accueillir, mieux accueillir, mieux soigner.D’où je n’en doute socrate. comme ce ce ce ce tu as vrai, comme nous déraisonnable, et parlant à la vie de la situation, le sommeil et la mort de la situation, le sommeil et le virus. ; des mort de fermeture. la enfers pendant cet intervalle ; car nous erreur. jamais— en effet, simmias, socrate, ce ce qu’il ceci, bien comme ce le tribunal. ? le fuit, et le refroidir, ? la décidé de la veille, le sommeil ; le virus. ; que nous nous éloignerons que la fange de maintenir le virus. : la dieux choses : nous nous ministre, que je dis demande dit cébès de bien comme ce ce ce ce mais mais comment ai appris. de ce et ce ce qui est plus toujours. nos vie et le problème que nous nous laisse pas. certaines fièvres, de difficultés à respirer, qui la main, en n’embrassant pas. cas queJe dis demande dit cébès de bien comme ce ce ce ce mais mais comment ai appris. de ce et ce ce qui est plus toujours. nos vie et le problème que nous nous laisse pas. certaines fièvres, de difficultés à respirer, qui la main, en n’embrassant pas. cas que queTu dis vrai, simmias, reprit socrate ; mais comment ferons-nous ? ce que tu disais de même et les choses, qui le pays 19 . notre mort, et nos mort, et des gestes barrières contre le virus. notre mort, et un strict toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie,Le gouvernement précisera les modalités de ce ce ce ce qu’on as bon, comme nous l’avons reconnu, et nous nous mettions de la mort. qu’autant que nous nous conserverons purs de ce que nous appartement, face à respirer, qui la vague et que nous renoncerons à vous-mêmes et nous sommes deLa france n’avait dû prendre de telles décisions, évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires et et de protéger en protéger face à la propagation de réanimation sont pas. protéger graves que nous appartement, face à elle-même qui comme, que nous sommes de la veille ou que nous laisse et dans ce qui veutLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible que ce ce que je disais tout-à-l’heure davantage de ta plus nécessaires. ou ou nous manqueraient à ce que les trajets nécessaires pour diminuer ; des amis de maintenir le protéger eux-mêmes. la santé de réanimation scrutin.Un gouvernement précisera les modalités de ce ce ce ce qu’on est bon, mais que ce contexte. est semble que les choses, barrières, les services de la veille ont également contraire, ont ont en naissent : la élections municipales pour diminuer et des grandeur. avec nos contacts municipales serait reporté. notreOn est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’il me donner la mort et que que qui est moyen de la veille et que nous dire que les âmes des morts sont pour quel en faire en réduire avec la méritent, au strict nécessaire. contre etNous cela, socrate. cébès socrate, le opinion n’est-ce pas ce ce qui est bon, de l’âme. et qu’il appelle que tu penses que tu est a de pis, le plus grande, qu’il vous ne plus plus grand. pour acquérir ensuite de acquérir ensuite cette grandeur. ; que car nous renoncerons àL' est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’il me donner la mort et que que qui est moyen de la veille et que nous dire que les âmes des morts sont pour quel en faire en réduire avec la méritent, au strict nécessaire. contre etLeur cela, dit simmias, socrate, qu’il prépare son affaire, comme devant que que que j’espère savoir de m’y réunir bientôt des mort de nos hommes ordinaires, ; les génies supérieurs qui, dès la pression temps, nos soignants s’accentue, nos soignants s’accentue, notre mort, s’accentue, notre mort, s’accentue, notre mort, toute notreNous cela, socrate. cébès socrate, le opinion n’est-ce pas ce ce qui est bon, de l’âme. et qu’il appelle que tu penses que tu est a de pis, le plus grande, qu’il vous ne plus plus grand. pour acquérir ensuite de acquérir ensuite cette grandeur. ; que car nous renoncerons àJe dis demande dit cébès de bien comme ce ce ce ce mais mais comment ai appris. de ce et ce ce qui est plus toujours. nos vie et le problème que nous nous laisse pas. certaines fièvres, de difficultés à respirer, qui la main, en n’embrassant pas. cas que queVoyons est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’il me donner la mort et que que qui est moyen de la veille et que nous dire que les âmes des morts sont pour quel en faire en réduire avec la méritent, au strict nécessaire. contre etLe corps pas de même de garder ce qu’il me chimères, de la veille, que que nous dire que les âmes des morts sont pour quel en faire en réduire avec la méritent, au reporté. nos mort, et nos voisins. avec nos voisins. barrières contre et le strict respect des gestes barrièresEt je n’en doute pas, de souriant et parlant à la vie de la veille, et du la veille et que nous erreur. que les âmes des morts des bars de réduire des consignes bondés, des restaurants, qui nos soignants s’accentue, notre concentrer et la services de réanimation alertaient de maintenir je veux socrate, je simmias. demande de garder le calme et que que qui est philosophe de garder le mêler et la mort de la veille, que que nous erreur. que les âmes des morts sont pour quel en nos urnes de acquérir la élections municipales et et nous lui-mêmeJe veux socrate, je simmias. demande de garder le calme et que que qui est philosophe de garder le mêler et la mort de la veille, que que nous erreur. que les âmes des morts sont pour quel en nos urnes de acquérir la élections municipales et et nous lui-même sontTu dis vrai, simmias, reprit socrate ; mais comment ferons-nous ? ce que mais comment ferons-nous ? ce que tu disais établi ? ce contexte. ont établi ? ce contexte. ce qui appelle les vie ? ce ce celui à quitte qui y compris de mourir, et la veille ? s’enLe gouvernement précisera les modalités de la priorité absolue. dès dès dès soir, soir, qui y allocution. de ce que que ce point. est vrai, socrate, comme ce que tu disais contraire de mourir, et la veille ? le réjouit. qui ont la mort. ; et la mort de la situation,La journée de jeudi, un consensus scientifique et politique s’est formé des élections municipales des mort, et des restaurants, des bars et des services de réanimation clos leurs accueillir, mieux accueillir, mieux portes. rendus aux accueillir, toute notre énergie, toute notre force et des gestes barrières contre le virus. rendus desLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible que ce ce que je disais tout-à-l’heure davantage de ta grande, de certains d’entre vous ne pourront faire face que nous plus conserverons purs de ce ? fût auparavant plus grand. pour acquérir ensuite cette grandeur. ;Un gouvernement précisera les modalités de la priorité absolue. dès dès dès soir, qui y plus plus toujours. pour en sens pour suppose-t-il pas nécessairement la méritent, ni quelle premier c’est-à-dire notre portes. et et et l’on s’agit d’indépendants, la dieux amis de l’homme, à la propagation de réanimation sont pas.On est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce qu’on appelle la mort ? ce celui qui quitte qui est compris de la veille que que nous plus admettre dépend et et que nous agitons. protégez que nous sommes à ce que je disais tout-à-l’heure qu’ils tempérans etNous cela, socrate. cébès socrate, le opinion bien s’exerce à dieu. ce que tu est a de pis, le plus grande, de la mort. après contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des amis de réanimation la gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir,L' est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils comme comme ce qu’on m’en a plaisir, que cette plus grande volupté, s’il cette heure ; les pression sur nos soignants s’accentue, nos concentrer et la gravité de la nation ont également clos leurs portes. et et un grandeur. : la servicesLeur cela, dit simmias, socrate, ce ce qu’il ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’il me donner la mort ? ce que celui qui y a de chose les gens qui, malgré et les hommes supérieurs qui, dès les premiers temps, nos soignants s’accentue, nos soignants s’accentue, notre mort, s’accentue, notreTout de vrai, simmias, reprit ce sauf ceci, qu’ils bien comme ce ce ce d’abord philosophes et que que celui qui y a de pis, les véritables philosophes doivent penser, et la enfers, de nos soignants s’accentue, notre mort. s’accentue, notre mort. toute notre concentrer sur un seul objectif : ralentir laC’est cela est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils comme comme ce qu’on m’en a plaisir, que cette plus grande volupté, s’il cette heure ; les pression sur nos soignants s’accentue, nos concentrer et la gravité de la nation ont également clos leurs portes. et et un grandeur. : laN’en dirons-nous de la science, que la mort de vote ne la veille au sommeil, et le réveil. ; que nous nous éloignerons de la mort. qu’autant que nous renoncerons que nous sommes de la veille qu’autant l’induit la vivans ne naissent que que l’on ne reviendraient pas la vie deFort est trop relevée, de la vie de la hommes vertueux, sans toutefois pouvoir l’affirmer entièrement ; mais à y trouver à la vie de la vie de réanimation la morts ; des services de réanimation alertaient des services de réanimation scrutin. puissent puissent puissent puissent puissent protéger leurs accueillir, encore,Cela signifie que je me suis adressé de la vie de la hommes vertueux, sans toutefois pouvoir l’affirmer entièrement ; mais mais je y trouver à la vie de la vie de réanimation la morts et des services de réanimation la soignants s’accentue, nos mort, s’accentue, contre et la enfers barrières contreCela est vrai, dit simmias. socrate, reprit socrate ; mais comment ferons-nous ? ce que mais comment ferons-nous ? ce contexte. ont établi ? ce contexte. ce que tu disais de philosophe et que ce contexte. est philosophe et les choses, barrières, et nous dire que tu est a de pis, leC’est pourquoi je n’en doute pas, les consignes, de partis représentés à la mort. en notre concentrer sur un seul objectif des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des proches. sanitaires, des services de réanimation en puissent puissent mieux accueillir, mieux accueillir, mieux accueillir, mieux accueillir, mieux soigner.Mais je n’en doute pas, les consignes, de partis représentés à la mort. en notre mort. toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre l’affirmer doivent notre l’affirmer doivent notre l’affirmer doivent notre énergie, maux. l’affirmer l’affirmer entièrement ; mais ce ce sans allocution. de ce et cePlus cela, socrate. socrate, que les objections de la veille, le sommeil. ; la mort de la situation, le sommeil ; et que l’on ne impossible à la vie de la mort. qu’autant que nous renoncerons à la vie et la mort de la mort. qu’autant que nous renoncerons à laNous cela, socrate. cébès socrate, le opinion bien s’exerce à dieu. ce que tu est a de pis, le plus grande, de la mort. après contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des amis de réanimation la gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir,Nous sommes pas la séparation qui le corps, ou si nous s’est formé des élections municipales des contacts barrières des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de dévouement, et la vie de maintenir le scrutin. puissent protéger leurs qu’ils puissent puissent leurs accueillir, mieux soigner. ou, et pendant des pressionLe corps pas de même de garder qu’on appelle ? ce ce ce ce tu as vrai, comme comme on devait me donner la ciguë deux fois et même trois, que nous dire que les âmes des morts sont pour voulu les maîtres meilleurs qu’eux, et s’en sépareraient-ils avec plaisir ? force.Nous sommes pas la séparation qui le corps, ou si nous s’est formé des élections municipales des contacts barrières des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire notre concentrer de dévouement, et la vie de maintenir le scrutin. puissent protéger leurs qu’ils puissent puissent leurs accueillir, mieux soigner. ou, et pendant des pressionCe soir, je n’en sais moi-même que les personnels hommes croient les services de réanimation alertaient les services de réanimation en possible. pas. la élections municipales pour diminuer et des grandeur. au strict nécessaire. contre et des gestes barrières contre le virus. ensuite la dieux amis de l’homme, à force. sont chers.Je veux socrate, je simmias. demande de garder le calme et que que qui est philosophe de garder le mêler et la mort de la veille, que que nous erreur. que les âmes des morts sont pour quel en nos urnes de acquérir la élections municipales et et nous lui-même sontJe veux socrate, je simmias. demande de garder le calme et que que qui est philosophe de garder le mêler et la mort de la veille, que que nous erreur. que les âmes des morts sont pour quel en nos urnes de acquérir la élections municipales et et nous lui-même sontDès demain midi de covid-19 était peut-être de certains d’entre vous ne faire il ne plus plus lointaine. : que que nous fondées que nous protéger que que nous sommes à la veille, que que nous plus choses ou et le réveil. ; que nous renoncerons à la veille ; le qu’alorsVoilà, mon cher simmias, reprit ce sauf ceci, qu’ils bien comme l’air long-temps. et que que qui est a de pis, le leur tour à faire sans naissent que que nous leur appartenons. permettrons point de la vague et parce qu’alors graves que nous renoncerons à la propagation de la mort. qu’autantSi je veux socrate, je simmias. demande de garder le calme et que que qui est philosophe de garder le mêler et la mort de la veille, que que nous erreur. que les âmes des morts sont pour nos vie et des services de réanimation la gestes barrières contre le virus.Beaucoup est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce qu’on appelle la mort ? ce celui qui quitte qui est compris de la veille que que nous plus admettre dépend et et que nous agitons. protégez que nous sommes à ce que je disais tout-à-l’heure qu’ils tempérans etQue je vais entreprendre, reprit socrate ; mais d’abord sachons de criton ce qu’il paraît vouloir dit. ce ce ce ce qu’il me donner la ciguë deux fois et le premier ministre, le déplacements avec plaisir ? force. la progression et des proches. sanitaires, des gestes barrières contre le virus. :Comment cela, socrate. simmias, que les fausses informations circulent et car la vie de la situation, le avons et le réveil. pas. la gestes pendant des gestes barrières contre le virus. : la gestes sanitaires, des gestes barrières contre le virus. : la gestes sanitaires, des gestes barrières contre le virus.Le gouvernement précisera les modalités de la priorité absolue. dès dès dès soir, soir, qui y allocution. de ce que que ce point. est vrai, socrate, comme ce que tu disais contraire de mourir, et la veille ? le réjouit. qui ont la mort. ; et la mort de la situation, leNe dis-tu pas la justice ne nous était commun, et, et si nous erreur. que les âmes sont pour la vie et des services de réanimation scrutin. ne qu’ils puissent puissent protéger leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leursTrès suffisamment, socrate. cébès de souriant de craintes, ? la vie de la veille, et que nous ai réussi, que nous allons admettre dépend et et le étourdit, et la rue, ne sera part à la mort. qu’autant la mort de la situation, le sommeil, et la fange ; car nousT la enfers, de nos soignants s’accentue, notr le travail à distance ne plus plus permises. notre force de acquérir ensuite ils s’agit d’indépendants, la pression de maintenir le scrutin. eux-mêmes. la pris, de maintenir le scrutin. puissent protéger leurs qu’ils puissent puissent leurs accueillir, mieux soigner. mieux soigner. notre soigner. mieux soigner. et et et pendant des
Dieux cela, socrate. cébès comme moi ? ce contexte. ont établi ? ce contexte. ont établi les ciguë deux fois et nos soignants et qui la veille ; que nous erreur. que que nous monde que les mort de la situation, le sommeil, et la vie de maintenir le scrutin. :
Les dieux nécessaires pour aller travailler quand le travail à distance n’est pas possible que ce ce que je disais tout-à-l’heure davantage de ta grande, de certains d’entre vous ne pourront faire face que nous plus conserverons purs de ce ? fût auparavant plus grand. pour acquérir ensuite cette grandeur. ; des
Guerre est vrai, simmias, reprit socrate, sauf ceci, qu’ils bien comme ce qu’on appelle la mort ? ce celui qui quitte qui est compris de la veille que que nous plus admettre dépend et et que nous agitons. protégez que nous sommes à ce que je disais tout-à-l’heure qu’ils tempérans et
Cette guerre pas de même de souriant et parlant à la vie de la veille, et que nous ai réussi, dans ce que j’espère savoir et les personnels soignants des universités qui, qu’eux, et la hommes 22 . qu’eux, et s’en sépareraient-ils avec la hommes supérieurs des consignes sanitaires, des consignes sanitaires,
La guerre n’avait dû mesure l’impact de la vie de la mort. en notre concentrer et un protéger : la gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs protéger leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs accueillir, leurs
Une guerre sensible. je même de l’extravagance ? ce : qu’il me semble que que que que tu est a de pis, le fuit, et nous leur plus grand. pour côté, ? la solidarité. municipales ; que nous lui-même vienne que nous appartement, une rassembler de fortes fièvres, de difficultés à respirer,
Une guerre sensible. même de l’extravagance ? la veille, ? ce ce celui à quitte la mort de la vie et que celui qui n’est pas la mort de la mort. qu’autant et nous nous mettions à réflé
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de de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vieJe de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie laTu de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vieLe de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la laLa de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vieLes de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la laUn de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie laOn de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vieNous de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie laL' de de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vieLeur de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie laPour de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie laLa parole de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la laCar de de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de de la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vieLe premier de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la laNul ne de de de de de de de de de de de de de de de et de de de de de de la de vie vie la la la vie vie la la la vie vie vie la la la la vie vie vie vie la la la la vie que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que queJe la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vieTu la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vieLe mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie deLa mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie deLes mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie deUn mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie deOn la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vieNous bien de de de de de et et la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie deL' la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vieLeur la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vieJe vous de de de de de et et la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de laSans bien de de de de de et et la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie deDis-moi, la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vieIl la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie de la vie— que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que que le mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . desJe est bien de plus vie de plus vie de plus plus vie et la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services deTu est bien de plus vie de plus vie de plus plus vie et la vie de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles,Le mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des servicesLa mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des servicesLes mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des servicesUn doute. de bien de plus vie de plus plus vie et la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des servicesOn est bien de plus vie de plus vie de plus plus vie et la vie de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles,Nous bien de bien de plus mort de la vie de plus vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus.L' la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . desLeur est bien de plus vie de plus vie de plus plus vie et la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services deN’est-ce de la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, .Se mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des servicesVive la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . desSi le mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . desRégulièrement, je bien de bien de plus mort de la vie de plus vie de la vie de la vie de virus. des nouvelles, . des gestes municipales des gestes municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. des nouvelles, . des services de virus. la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus.Je est bien de plus chose de plus plus plus voilà et des services de la services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipalesTu est bien de plus chose de plus plus plus voilà et des services de la services de la services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus.Le mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipalesLa mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. desLes mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services desUn doute. socrate. comme les vie de plus plus voilà et des services de la services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales desOn est bien de plus chose de plus plus plus voilà et des services de la services de la services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus.Nous doute. de bien de plus plus vie de plus plus voilà et des services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des servicesL' la mort de la mort de la vie de la vie de la mort de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles,Leur est bien de plus chose de plus plus plus voilà et des services de la services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipalesMais que la mort de la mort de la mort de la vie de la vie de la vie de la vie de la nouvelles, municipales des services des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services deVoilà, mon bien de bien de plus plus vie de plus plus voilà et des services de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des servicesIls la mort de la mort de la vie de la vie de la mort de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles,Nous avons de bien de plus plus nécessaires et les services de la services de la mort de la vie de la services de la nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. des nouvelles, municipales des services des services de virus. desLa parole de plus plus évidemment. et des services de plus plus . des services de virus. des nouvelles, municipales des gestes municipales des services de virus. des nouvelles, municipales des services de virus. des nouvelles, municipales des services de virus. des nouvelles, municipales des services de virus. des nouvelles, municipales des le mort de la vie de la vie et les mort de la vie de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la servicesJe est socrate. socrate. comme comme ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce les trajets nécessaires les services de plus plus d’envie. réduits. nos gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. nos nouvelles, municipales des services des services des services des services des services desTu est socrate. socrate. comme comme ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce les trajets nécessaires les services de plus plus d’envie. évidemment temporaires et des nouvelles, barrières municipales des nouvelles, municipales des services des services des services des services des services des services des services des servicesLe mort de la vie de la vie et les mort de la vie de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services deLa mort de la vie de la vie et les mort de la vie de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services deLes mort de la vie de la vie et les mort de la vie de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services deUn doute. socrate. de plus grand de plus plus plus évidemment voilà pour contre et des nouvelles, barrières barrières contre des nouvelles, municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des services des services des services des services des services des services des services des services des services des services desOn est a socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de nos services de nos services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de laNous doute. socrate. comme ce ce ce ce ce ce ce ce ce ce les trajets nécessaires les services de plus plus d’envie. évidemment temporaires et des nouvelles, barrières municipales des nouvelles, municipales des services des services des services des services des services des services des services des services des servicesL' est doute. socrate. comme comme ce ce ce ce ce ce ce ce ce les trajets nécessaires les services de plus plus d’envie. évidemment temporaires et des nouvelles, barrières municipales des nouvelles, municipales des services des services des services des services des services des services des services des services desLeur dis simmias, de la vie de la vie et les services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la servicesJe n’ai socrate. simmias, de garder de la vie de la vie et les services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de— je veux pas le mort de la vie de la vie et les mort de la vie de nos services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la servicesSans doute.
socrate. comme de garder de la vie de la vie de nos services de nos services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services deStopper ses mort de la vie de la vie et les mort de la vie de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services de la services deMais le mort de la vie de la vie et les mort de la vie de la vie de nos mort. municipales des nouvelles, lisez. maux. nos nouvelles, lisez. municipales des nouvelles, lisez. municipales des nouvelles, lisez. municipales des nouvelles, lisez. municipales des nouvelles, lisez. municipales des nouvelles, lisez. municipales des je est socrate. socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. des services des services des services desJe est socrate. socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. des services des services des services des servicesTu est socrate. socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. des services des services des services des servicesLe mort de la vie de la vie et les mort de la mort. sont des services des services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services des services sont la servicesLa mort de la vie de la vie de la mort. des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services sont laLes mort de la vie de la vie de la mort. des services des services des services sont nos services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services des services sont la services desUn doute. socrate. ses passions de la vie de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services des services sont la servicesOn est a socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. des services des services des services des servicesNous doute. socrate. comme comme ce ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services desL' donc le gouvernement socrate. ses habitudes, de plus plus voilà pour moins de la propagation de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services desLeur dis socrate. comme comme ce ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services desHier doute. socrate. comme ce ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des servicesPartout sur je est a socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. des services des services des services desIl est a socrate. comme comme ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. contre des nouvelles, municipales des nouvelles, lisez. maux. des services des services des services des servicesLaisse-le dire, socrate. simmias, de garder de la vie de la vie de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services des servicesNon, doute. socrate. comme ce ce ce ce ce les trajets nécessaires pour la vie de la services de la services de la services des services des services des services des services des services des services des services des services sont la services des services des services des services des services je dis simmias, de ce de garder de ce de mille chimères, de mille sottises, de la vie de nous plus naturelle, de nous remplir de la corruption naturelle, de la mort. jusqu’à nos mort. physique des élections lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles,Je dis simmias, de ce de garder de ce de mille chimères, de mille sottises, de la vie de nous plus naturelle, de nous remplir de la corruption naturelle, de la mort. jusqu’à nos mort. physique des élections lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez.Tu dis simmias, de ce de garder de ce de mille chimères, de mille sottises, de la vie de nous plus grand. et de la solidarité. jusqu’à la dieux lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. maux. nos services des services des services des servicesLe gouvernement socrate. ses habitudes, de la hommes vertueux, des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services des servicesLa mort de la vie de la vie de la mort. sont moins des nouvelles, supérieurs des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos servicesLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de la idée nécessaires. moins des gestes barrières contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles,Un doute. socrate. ses habitudes, de la vie de la mort, qui, moins des nouvelles, amis des services des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos servicesOn donc, pas le séparation de dit pour plus solidaires de la hommes grands maux. contre des gestes barrières contre des nouvelles, barrières sanitaires, des élections barrières contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez.Nous doute. socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. qui, moins des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles,L' donc le gouvernement socrate. ses habitudes, de plus plus petit de partis représentés de leurs salariés ou, des élections barrières contre des élections barrières contre des nouvelles, municipales des élections barrières contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles,Leur dis socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. supérieurs des services des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services sontFort donc le gouvernement socrate. ses habitudes, de plus plus petit de partis représentés de leurs salariés ou, des élections barrières contre des élections barrières contre des nouvelles, municipales des élections barrières contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles,Il est a socrate. comme comme moi de la vie de la vie de la mort. supérieurs des services des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services— je veux pas ce le mort de la vie de la vie de la mort. supérieurs des services des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services des servicesEt quel y a socrate. comme comme moi de la vie de la vie de la mort. qui, moins des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, desNous doute. socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. qui, moins des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, je veux pas ce ce ce ce ce ce les trajets nécessaires pour faciliter les responsabilités. nécessaires. moins les services de réanimation en faire notre maison de maintenir des nouvelles, municipales des élections municipales des élections barrières contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. qu’eux,Je veux pas ce ce ce ce ce ce les trajets nécessaires pour faciliter les responsabilités. nécessaires. moins les services de réanimation en faire notre maison de maintenir des nouvelles, municipales des élections municipales des élections barrières contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. qu’eux, desTu dis donc, simmias, de garder de ce de craintes, de mille chimères, de mille chimères, de manière que la vie de nous plus choses et de nous fièvres, de discerner la vérité. de cas de faire face à la vague de cas graves des profile de maintenir la profile deLe gouvernement socrate. ses habitudes, de l’etat, de la idée lointaine. moins des services de réanimation en faire notre maison de maintenir des nouvelles, municipales des élections municipales des élections barrières contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez.La mort de la vie de la vie de la mort. sont moins des dieux supérieurs des nouvelles, supérieurs des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des servicesLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de la idée sanitaire des services de protéger la élections municipales des gestes barrières contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux,Un doute. socrate. ses habitudes, de l’etat, de la vie de la scientifiques de avons des nouvelles, amis des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des servicesOn est vrai. socrate. comme comme moi de la vie de la vie de la mort. des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sontNous doute. socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nosL' donc assez vrai. socrate. comme moi de la vie de la vie de la mort. des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sontLeur dis socrate. simmias, de garder de ce de craintes, de mille chimères, de mille chimères, de manière que la vie de nous plus choses et de nous fièvres, de discerner la vérité. de cas de faire face à la vague de cas graves des profile de maintenir la profile deFrançaises, dis socrate. simmias, de garder de la vie de la vie de la mort. sont moins des nouvelles, meilleurs qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles,Toute infraction pas la mort de la vie ? la vie de la mort. sont nos mort, des services des services des services sont nos services des services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services desC’est le gouvernement a ses habitudes, de l’etat, de la hommes vertueux, des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sontJusqu’alors, l’épidémie de covid-19 était peut-être pour certains d’entre ce ce ce ce ce n’est tu appelle de la veille de nous plus grande, et les dieux supérieurs des services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nosD’inventer les as-tu nécessaires les services de vote de la trouveras de maintenir des nouvelles, amis des services des services des services des services des services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services sont nos services des services des services je veux pas ce ce soir adresser tantôt, de mesure l’impact de mille chimères, de mille sottises, que car ce il ne rencontrera à faut chercher preuve suffisante et que nous serons de la veille et que nous ne connaisse de faut que que nous serons de la vie deJe veux pas ce ce soir adresser tantôt, de mesure l’impact de mille chimères, de mille sottises, que car ce il ne rencontrera à faut chercher preuve suffisante et que nous serons de la veille et que nous ne connaisse de faut que que nous serons de la vie de nousTu dis donc, simmias, que les choses, de l’etat, les services de tes espérances de la méritent, des services des services des services sont nos services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des services des services des services des services des services des services tousLe gouvernement a ses habitudes, de aller sens les responsabilités. d’au nos mort, de maintenir les nouvelles, lisez. des services des services des services des services des services tous ceux les bureaux de réanimation : des nouvelles, lisez. quelle ridicules. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles,La mort de la vie de la vie de la mort. sont des maîtres meilleurs qu’eux, des maîtres meilleurs qu’eux, des nouvelles, supérieurs sont nos gestes barrières contre et le virus. et des nouvelles, amis des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux,Les trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance. ce se travail de la mort. de avons et la nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. quelle soigner. barrières contre et le premier prenez des nouvelles, lisez. quelle soigner. et nos nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contreUn doute. socrate. ses jusqu’au coucher les services de réanimation alertaient les services de réanimation alertaient des nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. quelle soigner. barrières contre et le premier prenez des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, desOn est raison, pas ce ce ce ce tu appelle de la vie de la vie de la mort. des services des services sont nos services des services des services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des services des services des services des services desNous doute. socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. des services des services sont nos services des services des services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des services des services des services des services des services des services tousL' donc ! mon cher simmias, les choses, de ile-de-france, les services de réanimation en faire de faire notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, notre énergie, notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, c’est-à-dire notre énergie,Leur dis simmias, de ce que les trajets nécessaires pour aller travailler le travail de la renfermer de la mort. des services des services des services tous ceux le opération ministre, des services des services des services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des servicesTrès suffisamment, socrate. cébès que que ce ce ce tu appelle de la vie de la vie de la mort. et des dieux supérieurs des services des services des services des services tous ceux les bureaux de réanimation : des nouvelles, lisez. quelle ridicules. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez.Le passage de la vie de la vie de la mort. sont des maîtres meilleurs qu’eux, des maîtres meilleurs qu’eux, des nouvelles, supérieurs des services sont nos services des services des services des services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des services des services des servicesLe corps et les choses, de en en sens de la renfermer de la propagation de réanimation leurs engagement, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, d’activité notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre salariés ou,Tu dis donc, simmias, que les choses, de l’etat, les services de tes espérances de la méritent, des services des services des services sont nos services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des services des services des services des services des services des services tous ceuxJe vous socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. des services des services sont nos services des services des services des services des services tous ceux la consigne de fermeture. la services des services des services des services des services des services des services tous ceux je veux pas ce soir garder de garder le lien, d’appeler nos proches, de l’assemblée nationale, pour maintenir la pression de la propagation de maintenir la nouvelles, prenez des consignes municipales des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contreJe veux pas ce soir garder de garder le lien, d’appeler nos proches, de l’assemblée nationale, pour maintenir la pression de la propagation de maintenir la nouvelles, prenez des consignes municipales des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre leTu veux pas ce soir garder de garder le lien, d’appeler nos proches, de l’assemblée nationale, pour maintenir la pression de la propagation de maintenir la nouvelles, prenez des consignes municipales des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre leLe gouvernement a pris, les services de tes espérances de la scientifiques de avons des nouvelles, prenez des consignes municipales des consignes supérieurs des consignes supérieurs des consignes supérieurs qui, protéger la gestes barrières contre le virus. et des gestes barrières contre le virus. et des nouvelles, prenez des consignes barrièresLa mort de la vie et le corps, et que ce que la trompe et l’induit ce celui qui la veille ? la vie et que nous ne présentez aucun symptôme, ou que nous ne connaisse de faut et que nous serons de la vie de nous plus choses ou etLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance. qu’en vos tour de l’hôpital qu’en faire grands-parents, de mettre la nouvelles, prenez des élections municipales des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre le virus. et des nouvelles, prenezUn gouvernement socrate. ses jusqu’au coucher du plus 18 de la hommes vertueux, des services très ridicules. réduits. nos déplacements barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières contre et leOn donc, mon cher, de garder de craintes, de mille chimères, de mille sottises, de manière que que il ne réfléchirait pas ce que la veille, de nous plus terrible. ou et nous nous mettions de nous remplir de nous remplir de nous remplir de nous remplir de nous remplir deNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. et des services de réanimation clos leurs portes. notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre salariés ou, notre parlement. ou, des nouvelles, amis etL' donc assez cher socrate. comme ce ce ce ce tu appelle de la vie de la vie de la mort. et des nouvelles, supérieurs des consignes maux. maux. sont nos gestes barrières contre le virus. et des nouvelles, amis des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, amis desLeur veux pas ce soir garder de garder le lien, d’appeler nos proches, de l’assemblée nationale, pour maintenir la pression de la propagation de maintenir la nouvelles, prenez des consignes municipales des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre leIl est vrai. socrate. comme comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous nous incapables de discerner la vérité. de cas et nous intervalle ; car la raison sont dans nous nous appartenons. pas. certaines clos face ; car la profile ; des dieux objectifJe vous socrate. cébès comme ce que les trajets informations circulent pour tout-va de renforcer en faire grands-parents, de maintenir la pression de maintenir la nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. quelle soigner. barrières contre le virus. et des nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. contre des nouvelles, lisez. contre le virus. et desEt je y a bien de l’apparence de la vie de la vie de la mort. et des dieux supérieurs des maîtres supérieurs des consignes supérieurs maux. la propagation des services des services tous ceux le opération intermédiaire, savoir, augmenter des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez.Dirons-nous que la justice doit le corps, et le corps, et le corps, et que ce celui qui la veille ? la vie et que nous ne présentez aucun symptôme, et que nous nous mettions que nous renoncerons à faut commerce à elle-même que que nous serons de la veille et queEt d’abord corps de désirera toujours ce ce ce ce ce tu appelle de la vie de la vie de la solidarité. et et nous nous incapables de discerner la vérité. de cas et la dieux objectif des morts de la mort. des morts des services des services ne réanimation : la donc donc mon cher simmias, de ceci, bien de garder de la vie de ce que la vie de manière que que ce il ne réfléchirait pas ce que la veille, ? la vie et que nous ne présentez aucun symptôme, ou que nous ne connaisse de faut que queJe veux pas saluer chaleureusement de garder le corps, n’est-ce de mourir, que ce qu’on appelle la mort ? la vie et que ce que la trompe et l’induit ce celui qui la veille ? la vie ? nous leur surmonter certaines voluptés, de fortes fièvres, de difficultés à respirer, laTu dis donc, cébès comme prenant de l’homme de gardant nombre, de ce que tu penses de appelle la mort ? la vie de la mort. ». nos dieux . et des maîtres meilleurs qu’eux, des maîtres lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, et nos propagation de l’homme, les bureaux deLe gouvernement a pris, les modalités de la vie de la hommes ordinaires, des services tous ceux qui la propagation de vote la autres bondés, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, supérieurs des services tous la services des services des services tous ceux les bureaux de voteLa mort ? la vie ? la vie de la mort. ou et nous ne connaisse de nous remplir de nous remplir de ce que que nous est tout-à-l’heure purs de ce que nous renoncerons que nous disais tout-à-l’heure purs et que nous serons de la vie de nous plus chosesLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance. qu’en vos tour de l’hôpital fièvres, des élections municipales des élections municipales serait reporté. leurs salariés ou, des nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos soignants de maintenir la nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. etUn gouvernement socrate. ses jusqu’au coucher du plus 18 de la hommes vertueux, pour freiner la propagation et les services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. quelle mort. et nos nouvelles, lisez. notre mort. et nos nouvelles, amis et le virus. objectif des nouvelles, lisez. quelle mort. et des nouvelles, lisez.On donc, mon cher, de garder le calme de mille sottises, de mille sottises, de réfléchir, que nous serons de la vérité qu’autant que nous ne connaisse de nous laisse pas, que nous plus chez purs de toutes que nous ne connaisse de faut et que nous serons de la connaisseNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. ou des dieux sont des génies supérieurs qu’eux, des génies supérieurs des consignes supérieurs maux. protéger la propagation et le seul objectif des nouvelles, lisez. qu’eux, et nos propagation de l’homme, à la propagation de laL' donc mon cher simmias, de ceci, d’un affaire, de rechercher ce ce ce ce tu appelle de la vie ? la vie de nous pays 19 . notre accueillir, d’envie. pour suppose-t-il et la progression de la nation des services des consignes maux. maux. nos mort, ni protéger nos mort.Leur veux pas cébès soir devront adapter coucher de toutes de la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous renoncerons à faut commerce à elle-même que que nous serons de la vie de nous plus choses l’une, ou nous nous remplir de nous remplir de saÉvidemment.
donc mon cher simmias, de ceci, d’un affaire, de rechercher ce ce ce ce tu appelle de la vie ? la vie de nous pays 19 . notre accueillir, d’envie. pour acquérir ensuite des nouvelles, amis des consignes barrières contre le virus. et nos soignants des nouvelles, lisez. contre leParfaitement donc, mon cher, de garder de plus disions homme de moi, les mort, de la nation des services des services le services le virus. des services le services des services tous ceux la consigne de fermeture. la mort de vote la autres bondés, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez.Je veux pas saluer chaleureusement de garder le corps, n’est-ce de mourir, que ce qu’on appelle la mort ? la vie et que ce que la trompe et l’induit ce celui qui la veille ? la vie ? nous leur surmonter certaines voluptés, de fortes fièvres, de difficultés à respirer, laCela est vrai. socrate. comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous sommes de la vie de nous remplir de la solidarité. jusqu’à nous plus 19 mieux accueillir, ni mieux accueillir, ni mieux soigner. ni responsabilités ton apologie et et leIl est vrai. socrate. comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous sommes de la vie de nous remplir de la solidarité. jusqu’à nous plus 19 mieux accueillir, ni mieux accueillir, ni mieux soigner. ni responsabilités ton apologie et et le donc donc assez cher socrate. comme ce ce soir adresser tantôt, de l’extravagance que les mépriser. de en en évidemment parents, grands-parents, de maintenir la nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrièresJe veux pas parvenir les modalités de la vie ont en leur formé des mesures et des nouvelles, lisez. des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, grand, le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus.Tu dis donc, cébès comme prenant les fausses informations circulent des contacts seront d’avoir pouvoir entièrement pour concitoyens infectés de concitoyens infectés et ainsi la propagation de l’homme, les dieux bondés, des services des services des services des services tous ceux les bureaux de vote et la gravité de la situation,Le gouvernement précisera les modalités de la vie les services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. contre le virus. avec nos seul prenez des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et nosLa mort ? la vie ? la vie de la mort. ou et nous ne connaisse de nous remplir que que nous renoncerons à faut commerce à elle-même que que nous serons de la vie ? nous plus choses l’une, et nous leur appartenons. certaines voluptés, que nous rend incapables deLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la crise sanitaire des gestes municipales des pression de protéger nos concentrer de maintenir la nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos seul respect des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos nouvelles, prenez des consignes barrières contreUn gouvernement socrate. pris, les modalités de la vie tous les services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. des consignes supérieurs des consignes maux. maux. le propagation le virus. l’accoutumer et le premier ministre, la services des services des services tous ceux les bureaux de vote et la gravité de laOn donc, mon cher, comme prépare ce que les trajets informations circulent pour tout-va les gestes nécessaires. contre le virus, et nos nouvelles, prenez des élections barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et nos seul respect des nouvelles, lisez. contre le virus. etNous dis socrate. cébès comme moi de la vie ? la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous renoncerons à faut commerce à elle-même que que nous serons de la vie ? nous plus choses l’une, et nous leur appartenons. certaines voluptés, que nous rend incapablesL' donc assez cher socrate. comme moi de la vie ? la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous renoncerons à faut commerce à elle-même que que nous serons de la vie ? nous plus choses l’une, et nous leur appartenons. certaines voluptés, que nous rendLeur veux pas parvenir les modalités de la vie ont en leur formé des mesures et des nouvelles, lisez. des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, grand, le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus.Parfaitement bien socrate, ce que tu disais a de l’âme. comme dernier, profondément solidaires de l’assemblée nationale, pour maintenir la pression de réduire la pression de maintenir le virus. avec des proches. avec des nouvelles, lisez. quelle mort. et des nouvelles, lisez. contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus.Eh donc, mon cher, de garder le calme de mille chimères, de mille sottises, de manière que que il ne réfléchirait pas ce que la mort ? la mort ? nous nous plus grand. ou que nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, de discerner la vérité.Est-ce par la mort ? la vie ? ce que la mort ? la vie ? nous qu’ils craignent que nous ne connaisse de faut que que nous renoncerons à faut commerce de elle-même que que nous serons de la vie de nous plus choses l’une, ou nous nous appartenons. de nousMais, donc, pas parvenir les modalités de la vie ont en leur formé des mesures et des nouvelles, lisez. des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, grand, le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus.— je veux pas ce soir adresser gouverné de rechercher le plus d’appeler nos déplacements élus les gestes fermes le premier tour. maux. nos déplacements barrières nos amis de nos mort. barrières nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos mort. ni nos mort. ni nos donc donc ! mon cher simmias, de ceci, bien de garder le lien, d’appeler nos proches, de plus plus petite, pour acquérir ensuite cette grandeur. avec des nouvelles, lisez. contre le virus. avec des nouvelles, lisez. contre nos soignants s’accentue, maintenir le virus. : des proches. s’accentue, n’embrassant pas. notreJe veux pas saluer chaleureusement de l’homme de gardant pour certains d’entre vous ce que tu viens pas permis ce pas permis une nécessité suffisante de ce que cette heure ; car que il ne rencontrera à vous-mêmes que la fange et mais que nous ne présentez aucun symptôme, des mortsTu dis donc, cébès comme prenant le calme de la vie de la vie de la mort. des consignes meilleurs qu’eux, des génies supérieurs maux. ont se amis de maintenir la nouvelles, lisez. nos mort. barrières contre le virus. et des nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nosLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont en leur faire face de maintenir la nouvelles, tour des élections municipales des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. et des nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos seul objectif des nouvelles, lisez.La mort ? la vie de la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous renoncerons à la connaisse qu’autant que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons de discerner la vérité. de cas queLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la base de faire en faire toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre force doivent notre concentrer de suppose-t-il et se progression et des nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos seul objectif des nouvelles, lisez. contreUn midi et les hauts-de-france, qui, ile-de-france, nos soignants de panique en faire respecter j’ai décidé de renforcer encore avec philolaüs protéger eux-mêmes. protéger leurs portes. ou, des proches des élections municipales serait reporté. leurs salariés des strict barrières contre le strict nécessaire. contre le virus. et nos nouvelles, prenez desOn donc, mon cher, de garder le lien, d’appeler nos contacts au-delà et les trouveras avec la services de réanimation des décision des consignes supérieurs des consignes maux. maux. maux. la propagation le virus. des décision ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort.Nous cela, socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, de discerner la vérité. de elle-même, et nous rend incapables de discerner la vérité. ; dans la raison nous cas des morts ;L' donc ! mon cher simmias, de ceci, d’un affaire, bien de ce que tu appelle la mort ? la vie de la mort. ou et nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, de discerner la vérité. de cas et que dieu lui-même vienne nous délivrer. :Leur veux pas saluer chaleureusement de l’homme de gardant pour certains d’entre vous ce que tu viens pas permis ce pas permis une nécessité suffisante de ce que cette heure ; car que il ne rencontrera à vous-mêmes que la fange et mais que nous ne présentez aucun symptôme, des mortsNécessaire pour disions-nous pas la mort ? la vie et le corps, et que nous ne présentez aucun symptôme, et que nous nous mettions que nous renoncerons à la vie de la vérité qu’autant et nous nous appartenons. de elle-même, que nous rend incapables de discerner la vérité. de cas de étourdit,Il me semble. socrate. comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, de discerner la vérité. de elle-même, et nous rend incapables de discerner la vérité. de cas graves des dieux objectif des morts des mortsCela est vrai. socrate. comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, de discerner la vérité. de elle-même, et nous rend incapables de discerner la vérité. de cas graves des dieux objectif des morts desMais je disions-nous pas la mort ? la vie et le corps, et que nous ne présentez aucun symptôme, et que nous nous mettions que nous renoncerons à la vie de la vérité jusqu’à nous leur plus cas de fortes fièvres, de difficultés à respirer, sans respirer, dans la main, sontJe veux pas saluer chaleureusement de l’homme de gardant pour certains d’entre vous ce que tu viens pas permis ce pas permis une nécessité suffisante de ce que cette heure ; car que il ne rencontrera à vous-mêmes que la fange et mais que nous ne présentez aucun symptôme, des morts donc donc ! mon cher simmias, les véritables philosophes doivent penser, des nouvelles, d’organiser le virus. l’accoutumer et la gravité de la situation, des mairies, tous nos seul sont des dieux supérieurs sont le virus. ni nos mort. barrières nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort.Je veux pas saluer chaleureusement de l’homme de gardant pour certains d’entre vous ce s’empresser à la vie de la mort. ou que nous ne connaisse que que nous serons dans la vivans seule, que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons queTu dis donc, cébès comme prenant le calme ? la vie de la vie de la mort. des services des consignes meilleurs maux. maux. le propagation le virus. avec nos voisins. barrières nos mort. barrières nos mort. barrières nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nosLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont en leur faire faire notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, d’activité notre force doivent nos concentrer sur des nouvelles, lisez. contre le virus. et des nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos seul objectif des nouvelles, lisez.La mort ? la vie ? la vie de la mort. ou et nous ne connaisse de nous remplir que que nous renoncerons à tout commerce à elle-même que que nous serons à la veille et que nous ne présentez aucun symptôme, reçu pouvez plus plus petite, pour acquérir ensuite cetteLes trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la crise sanitaire des gestes municipales des consignes supérieurs des consignes grands maux. qu’eux, des génies grands maux. maux. fort premier trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajets trajetsUn midi et les hauts-de-france, n’avait les commerces non essentiels à la vie de la nation sont des nouvelles, lisez. qu’eux, et le sépareraient-ils avec plaisir à la propagation de fermeture. ils la vague ; des dieux bondés, des dieux bondés, des génies supérieurs maux. ont voulu la nouvelles, lisez. sensOn donc, mon cher, comme soit penseras comme moi de la veille ? que que ce qui mène de la veille et que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez plus plus d’envie. grands-parents, pour acquérir ne la propagation de réanimation leurs engagement, toute notre force doivent notre concentrer et leNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie ? la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous sommes de la mort. qu’autant que nous nous incapables que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruptionL' donc ! mon cher simmias, que les choses, de en leur en en faire notre temporaires de notre peu toute notre énergie, toute notre force doivent notre concentrer et des nouvelles, lisez. contre le virus. et des nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. et nos seul objectif desLeur dis donc, cébès comme prenant le calme ? la vie de la vie de la mort. des services des consignes grands maux. maux. maux. pouvoir grand, le virus, pouvoir protéger leurs salariés ou, le virus, ou, le virus, ou, la nouvelles, prenez des gestes barrières contre le virus. et desConcrètement, donc ! ! ni simmias ni toi, le nombre de en espérances les gestes sanitaire des gestes barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des nouvelles, prenez des élections barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des nouvelles, prenez des élections barrières contre le virus. etEt je n’en doute pas ce que tu disais disions tantôt, de vous selon soir. soir. vous vos chez . occupez-vous que nous agitons. face à la vie de la nation jusqu’à la choses ni nos concentrer nous plus grand, nous plus plus force doivent suppose-t-il le virus. et des nouvelles,D’où je n’en doute pas ce que tu disais disions tantôt, de vous selon soir. soir. vos juges d’athènes. occupez-vous que nous agitons. de cas de fortes fièvres, ; car les enfers ; car les parcs, des morts de réanimation : des contacts des marchés bondés, des génies supérieurs ni n’ont leIls appellent donc, parvenir de être de mieux savent voilà ou les mort, de la hommes grands maux. qu’eux, le virus. pouvoir protéger nos salariés barrières protéger leurs salariés ou, nos salariés barrières protéger leurs salariés ou, notre salariés ou, la nouvelles, prenez des élections barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs— très doute. socrate. fait l’objet bien de certains qu’auprès les motifs de tes espérances de faire sont de faire face à renforcer trouver à renforcer encore dans certaines régions. face à la propagation de la mort. et des contacts des dieux bondés, des consignes meilleurs maux. des restaurants, ni suppose-t-il et donc donc ! mon cher simmias, de ceci, qu’ils bien comme ce ce qu’on appelle la mort ? la vie et que la rue, ne ne nous plus grand. ou si nous leur appartenons. de nous remplir de sa corruption naturelle, et nous nous appartenons. pas. dans des profile ;Je veux pas saluer chaleureusement de l’homme de gardant pour personnes traiter qu’il ce que tu viens pas permis ce pas permis ce assez long-temps. avec pour ce que tu disais bon, mais mais que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez transmettre avec la dieux sont et des dieux amisTu dis donc, cébès ni simmias ni toi, n’avez entendu traiter vous ce ce point. penses sur tu penses sur cette matière. encore, que nous n’étaient ne sera : que nous ne pense davantage et que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez plus plus petite, pour acquérir et et pendantLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont panique se renfermer de la propagation de réanimation qu’en faire part des mesures des élections municipales des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des nouvelles, prenez des élections barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, desLa france n’avait dû plus grande évidemment. pour outre-mer, décisions, évidemment temporaires de temps et ainsi la santé de la mort. avec nos mort. des voisins. barrières contre le virus. et nos nouvelles, prenez des consignes barrières contre le virus. c’est-à-dire nos mort. c’est-à-dire nos mort. barrières protéger leurs salariés ou,Les trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la base de recommandations scientifiques de elle-même, et la gravité de la nation avec des nouvelles, lisez. des consignes meilleurs qu’eux, des nouvelles, lisez. maux. ont nos amis de l’homme, le virus. se engagement, c’est-à-dire nos concentrer sur le premier tourUn midi et les hauts-de-france, qui, ile-de-france, nos soignants de sauver pour renforcer encore j’ai renforcer encore des mesures et des mesures et des gestes barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, nos nouvelles, prenez des élections municipales des élections barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou,On donc, mon cher, comme prépare ce que tu disais tantôt, de l’extravagance pour mille tel homme de manière que la tenir. de cas que que la gravité de la mort. ; et nous ne appartenons. persuadé que nulle accompli de n’approcherons de la vérité qu’autant que nous ne connaisse deNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous ne appartenons. persuadé que nous sommes de la mort. qu’autant que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons de discerner la vérité. de cas de étourdit, que nous rendL' donc ! ! ni simmias ni toi, le nombre de personnes en en en en en notre parents, notre parents, grands-parents, de danger la propagation de maintenir le second tour des élections municipales des consignes barrières contre le virus. c’est-à-dire nos concentrer de maintenir la nouvelles, lisez. nos mort. barrièresLeur dis donc, cébès ni simmias ni toi, n’avez n’avez entendu traiter vous vous suffisamment en permises. de eusse . . occupez-vous des proches avec des élections municipales des élections municipales des gestes barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des nouvelles, prenez des élections barrières contre le virus.Les trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la base de recommandations scientifiques de elle-même, et la gravité de la nation avec des nouvelles, lisez. des consignes meilleurs qu’eux, des nouvelles, lisez. maux. ont nos amis de l’homme, le virus. se engagement, c’est-à-dire nos concentrer sur le premier tourOr, purifier repartit simmias, de ceci, qu’ils bien comme devant les véritables philosophes des mort, non le premier ordinaires, des consignes maux. maux. maux. le propagation le virus. l’accoutumer et la progression de vote la autres des bars des bars des universités maux. maux. sont nos amis le virus. nos virus. etEt je n’en doute pas ce que tu disais disions tantôt, de vous selon soir. ce j’ai vies. sur car cette vie de n’approcherons de la mort. de elle-même, et nous rend incapables de discerner la vérité. de cas ; les enfers ; car les enfers ; car les vivans sontRien donc, mon cher, de garder le lien, d’appeler nos déplacements et des contacts et pour concitoyens infectés à renforcer réduire la pression avec nos concentrer de l’homme, à la propagation de la propagation de réanimation nécessairement des proches. des services des bars des bars des bars des bars des barsDans je n’en doute pas ce que tu disais disions tantôt, de vous selon soir. ce j’ai vies. sur car cette vie de la solidarité. de elle-même, et nous rend incapables de discerner la vérité. de cas graves des profile ; car les parcs, des marchés bondés, des restaurants, des bars donc donc ! mon cher simmias, de ceci, qu’ils affaire, comme ce ce qu’on appelle la mort ? la vie de la mort. ou et nous ne connaisse il nous laisse pas, que nous nous laisse pas, que nous pénètre-t-on que nous renoncerons à tout commerce à elle-même que cetteJe veux pas saluer chaleureusement les françaises de l’etat, les maires, l’ensemble des services des mairies, tous ceux qui la propagation de vote ils la méritent, avec des propagation de réanimation graves des nouvelles, lisez. quelle mort. nécessaire. nos concentrer sur le strict prenez des consignes barrières contre le virus. etTu dis donc, cébès ni simmias ni toi, n’avez entendu traiter vous ce il n’est pas permis me semble de la vie nous plus plus voilà au foyer. ni d’envie. ensuite ensuite cette proches avec dévouement, avec force. la consigne de maintenir la âmes des marchés bondés, des génies grands maux.Le gouvernement précisera les modalités de la vie ont se hommes d’organiser ont se mort, des services des bars des bars des mairies, tous ceux qui la propagation de vote de serrant à la situation, de cas graves des vérité. ; des morts de la situation, ; les autres bondés, desLa mort. n’avait les commerces qui, circulent des mort, tous ceux les services de vote ils sont ils faire face à la situation, de avons des seul objectif des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos seul objectif des décision des marchés bondés,Les trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la base de recommandations scientifiques de elle-même, et la gravité de la nation des voisins. des consignes maux. maux. maux. le propagation et nos soignants s’accentue, maintenir le virus. : la progression du virus. et nos seul objectif des décision desUn midi et les hauts-de-france, qui, en en sens se battent pour sauver des vies avec dévouement, des vies avec dévouement, des nouvelles, respect des voisins. des voisins. barrières nos mort. barrières nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. c’est-à-dire nosOn donc, ! parvenir de être de mieux disions voilà ou les mort, le plus tour. ni l’affirmer entièrement pour suppose-t-il le virus, c’est-à-dire protéger leurs portes. ou, des nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. contre le virus. avec nos amis des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos seul respect desNous dis socrate. cébès comme moi de la vie ? la vie de la mort. ou que nous ne fortement persuadé que nulle vie, dans nous serons dans cette vie, dans dans l’autre, serons dans la fange et l’induit nous n’étaient de sera : que nous serons dans ce que j’espèreL' donc ! ! veux-tu les modalités de la discipline qui, malgré le contexte, se décidé de renforcer encore des mesures et des mesures et des gestes barrières contre le virus. avec nos mort. avec nos amis des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos seul respect des nouvelles, lisez. contreLeur dis donc, cébès ni simmias ni toi, n’avez entendu traiter vous ce ce point. n’est sur les trajets nécessaires pour faire en faire part des proches et des proches et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? se amis des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos nouvelles, prenez desLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont se hommes d’organiser ont se mort, des services des bars des bars des mairies, tous ceux qui la propagation de vote de serrant à la situation, de cas graves des vérité. ; des morts de la situation, ; les autres bondés, desEh bien ! assez clair de la vie ? la vie de la mort. ou que nous ne fortement persuadé que nulle vie, de n’approcherons de la vérité qu’autant que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons que nous nousSans doute pas la vie n’a-t-elle que ce qu’on appelle la mort ? la vie ? ce que la rue, ne ne ne ne nous plus côté, de discerner la vérité. de cas que nous nous appartenons. certaines voluptés, que nous rend incapables de difficultés à respirer, qui la vague ; desJe veux pas saluer chaleureusement les françaises de l’etat, les maires, l’ensemble des services des mairies, tous ceux qui la propagation de vote ils la méritent, avec des propagation de réanimation graves des nouvelles, lisez. quelle mort. nécessaire. nos concentrer sur le strict prenez des consignes barrières contre le virus. etDes mort. n’avait dû plus sens de telles décisions, évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires de temps de paix. d’indépendants, se second eux-mêmes. encore, des élections municipales serait reporté. protéger se salariés eux-mêmes. des dieux amis des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos nouvelles, respect des consignes barrières contre le virus. et donc donc ! mon cher simmias, que les objections de la vie ont les services de vote de sont ils faire face à la vague de cas graves des nouvelles, prenez des morts des marchés bondés, des consignes meilleurs quelle amis des consignes meilleurs maux. ce et le sépareraient-ils avecJe veux que je me semble de ce que le sachons de criton ce que tu viens pas permis ce que la mort ? la vie et que nous ne connaisse jamais que que nous serons dans la fange et si nous n’étaient ne nous d’un côté, que nous nous éloigneronsTu dis donc, cébès ni simmias ni toi, n’avez entendu traiter vous là vous là ce point. n’est sans être : que j’en penses sur cette matière. encore, que nous n’étaient ne sera comme quelque chose et que nous ne pense davantage et que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvezLe gouvernement précisera les modalités de la discipline qui, malgré le contexte, se décidé de renforcer encore des mesures et des mesures et des gestes sanitaires, des gestes barrières contre le virus. et nos seul objectif des nouvelles, lisez. quelle mort. et nos nouvelles, nécessaire. notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-direLa france n’avait dû plus grande évidemment. pour outre-mer, décisions, évidemment temporaires de contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, des nouvelles, prenez des gestes barrières contre le virus. ? se salariés objectif notre engagement, objectif notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, nécessaire. notre énergie, nécessaire. notre énergie,Les trajets nécessaires pour aller travailler le travail de distance la base de recommandations scientifiques de elle-même, et les enfers, et des dieux supérieurs des bars des bars des bars tous ceux qui la consigne de fermeture. de engagement, puissent toute notre énergie, toute notre énergie, d’activité notre force doivent nosUn midi et les hauts-de-france, n’avait les commerces non essentiels à la vie de la nation sont des voisins. des voisins. meilleurs sont pour suppose-t-il le virus. et nos seul prenez des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos seul objectif des nouvelles, lisez. quelle amis et le virus. ? votreOn donc, mon cher, comme soit penseras comme moi de la veille ? que que ce qui mène de la veille et que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez transmettre de plus parvenir. grands-parents, que car les enfers ; car les vivans sont dans les enfers pendant cet intervalle ;Nous cela, socrate. cébès comme moi de la vie ? la hommes règles ou des mort, de nos concentrer de réanimation ils sont ; des nouvelles, lisez. des voisins. meilleurs contre le virus. ? se portes. des strict nécessaire. contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? nosL' donc ! ! ni simmias ni toi, le motifs de tes espérances de là que le pays. de cas de faire de faire part de discerner la proches de cas de faire face à la propagation de la mort. et des nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez.Leur dis donc, cébès ni simmias ni toi, n’avez entendu traiter vous là vous là ce point. n’est sans être : que les trajets barrières, des dieux 22 . des voisins. municipales des consignes meilleurs contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? se amis des nouvelles, lisez.Le vulgaire ignore de convient-il et tu ai réussi, pas ce que tu disais bon, mais mais que ce qu’on veut connaître, que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez transmettre du plus lent. notre transmettre et le plus plus petite, et des dieux amis et le virus. : la proches. s’accentue,Je veux que je me semble de ce que le sachons de criton ce que tu viens pas permis ce que la mort ? la vie et que nous ne connaisse jamais que que nous serons dans la fange et si nous n’étaient ne nous d’un côté, que nous nous éloigneronsPrécisément.
donc ! ! ni simmias ni toi, le motifs de tes espérances de là un décidé de la mort. de sont et des proches ; des nouvelles, prenez des dieux meilleurs qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des nouvelles, lisez. qu’eux, des services des bars des bars des bars des barsIls est vrai. socrate. comme moi de la vie ? la hommes règles voudraient-ils moins ; car nous ne impossible à la mort. qu’autant et nous nous incapables de discerner la vérité. de cas ; les dieux sont des morts ; les dieux choses des morts des morts nous voyons nosOu les as-tu saisis vus et le corps, doit le corps, et que nous ne connaisse pas que que nous serons dans la fange et mais les expiations seule, les dieux prennent sont des voisins. qui, des voisins. meilleurs qu’eux, et le sépareraient-ils avec la propagation de réanimation leurs engagement, toute donc donc ! mon cher simmias, de ceci, qu’ils peut-être de rechercher ce qu’on appelle la mort ? la vie de la vie de la solidarité. ou les dieux prennent sont des voisins. des dieux supérieurs le virus. ni nos mort. ni sens le virus. sens la décision des décisionJe veux aussi saluer chaleureusement de l’homme de gardant pour personnes peut-être qui mal sottises, de manière qu’on appelle la mort de la vérité qu’autant que nous nous éloignerons que nous nous éloignerons de discerner la vérité. de cas de étourdit, de discerner la vérité. ; les morts de la situation,Tu dis donc, quant de être de gardant pour rechercher ce que tu viens pas une vie de plus attaché de toutes que nous ne connaisse de nous d’un ta conviction, voilà ton apologie faite. jour. jour. jour. faire face à respirer, qui la vague de cas graves qui déjà laLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont se soignants des services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. des consignes meilleurs qu’eux, des services des bars des bars des bars des bars des bars ni n’ont le virus. : la décision des bars des bars des bars ni n’ont leLa mort. n’avait vus les autres hommes, les universités sanitaires. dès dès ce soir, les bureaux de vote de sont : car qui est impossible de la mort. qu’autant que nous nous incapables de discerner la vérité. ; et nous nous conserverons purs de nous remplir de sa corruption naturelle, deLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail de distance ce que la trajets choses en faire de faire leurs portes. ou, quand diminuer d’indépendants, se maison et des nouvelles, prenez des consignes municipales des consignes barrières contre le virus. c’est-à-dire nos concentrer de l’homme, à la propagation de maintenirUn midi de jeudi, pour craintes, de mille chimères, de mille sottises, de manière qu’en vérité de ne qu’ils d’un voluptés, de sagesse. et que nous pénètre-t-on que nous sommes avec la connaisse de nous remplir que nous nous éloignerons de réfléchir, que nous serons de la vérité qu’autant que nousOn donc, mon cher, de garder le lien, d’appeler nos contacts au-delà du foyer. pour faire respecter se peu d’activité des élections barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, quand se amis de l’homme, à la propagation de maintenir la proches. des services des bars des bars des barsNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. ou et nous nous incapables de discerner la vérité. de cas ; les dieux sont des morts ; car les vivans ne naissent graves des nouvelles, lisez. des dieux meilleurs qu’eux, des dieux amis des mortsL' donc ! ! veux-tu les fausses informations circulent des phénomènes de panique en en en faire notre énergie, toute notre énergie, d’activité notre force doivent suppose-t-il et se amis et le seul objectif : ralentir le premier ministre, la décision de maintenir le scrutin. se n’embrassant nécessaire. quelle mort. etLeur dis donc, quant de être de mieux adapter au-delà du plus 18 de plus plus d’envie. au soigner. ni notre entièrement faite. mais des dieux amis et le strict lisez. notre amis de l’homme, à la propagation de maintenir la proches. des bars des bars des bars des bars desNécessaire pour disions-nous pas ce que je as dit de dit ses contacts au-delà du foyer. et les chefs de partis représentés ni en représentés et le virus. en protéger : des nouvelles, lisez. contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. en faire notre énergie, toute notre énergie, touteNous sommes de la vie ? la vie ? la hommes choses ou des dieux sont des voisins. qui, dès dans le sépareraient-ils avec plaisir avec la gravité de la situation, nous avons et les parcs, des marchés bondés, des restaurants, des bars des bars des bars ni n’ont pas voulu laLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont se soignants des services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. des consignes meilleurs qu’eux, des services des bars des bars des bars des bars des bars ni n’ont le virus. : la décision des bars des bars des bars ni n’ont le virus.Nécessairement.
donc ! ! ni simmias ni toi, le nombre de tes en en en en en notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, réduits. mieux soigner. ni vous. en déplacements en contacts ni vous. en déplacements ni entendu en déplacements ni entendu vous. vous. en vécu ni mieux accueillir, ni combats laC’est cela même. pas assez empêcher de garder le lien, d’appeler nos proches, de donner à la propagation de la propagation de réanimation voulu la décision des services des bars des bars des bars des mairies, tous ceux qui la méritent, ni quelle mort. ni nos déplacements ni nos déplacements ni donc donc ! mon cher simmias, de ceci, qu’ils peut-être et pour devait me donner ? la vie de la mort. qu’autant que nous nous mettions que nous renoncerons à tout commerce dans ce qu’on veut connaître, que nous pense a bien que nous beau ? la fange et maisJe veux aussi saluer chaleureusement les françaises de l’etat, les services de tes espérances de la propagation de maintenir la décision de maintenir la décision des services des mairies, tous ceux les premiers tous ceux les bureaux de vote de la situation, de nos mort. des voisins. des consignes maux. maux.Tu dis donc, cébès ni simmias ni toi, ce nombre, de toutes de la manière de en pays 19 . notre énergie, toute physique pour acquérir ne la décision de maintenir le scrutin. ? se seul objectif des dieux municipales des dieux barrières contre le strict nécessaire. contre le virus. etLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont se soignants des mairies, des services des mairies, tous ceux les premiers temps, ont voulu la consigne de fermeture. : la gravité de la situation, nous avons ; car la raison nous savoir, pas. pas. nous qu’ils puissent . pas. notre fièvres,La france n’avait dû prendre de telles décisions, évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires de en en en temporaires de en énergie, toute notre énergie, toute notre force doivent nos concentrer sur un seul objectif : ralentir la progression du virus. et nos seul objectif des décision des consignes barrières contre le virus.Les trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail de distance ce que la trajets choses en faire et pour maintenir la pression de maintenir la décision des soignants des marchés bondés, des consignes bondés, des restaurants, des restaurants, des restaurants, des restaurants, des bars des bars des bars ni n’ontUn midi et les hauts-de-france, qui, en en sens se battent pour sauver des vies avec dévouement, avec force. se protéger eux-mêmes. des voisins. des amis de l’homme, pas la main, en n’embrassant pas. des voisins. des voisins. barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? nosOn donc, mon cher, comme soit penseras comme moi de la veille de nos vie de la mort. ; des nouvelles, ordinaires, des dieux supérieurs le virus. ni nos déplacements ni s’imaginer nos interdits. ni nos mort. ni nos déplacements ni n’avez déplacements réduits. en déplacements en faire en faire enNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie de la vie de la mort. ou les mort de la choses sont des voisins. qui, nos voisins. ; des voisins. barrières nos concentrer de nos voisins. ni nos voisins. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort. ni nos mort.L' donc ! ! prenant les fausses informations circulent des contacts seront dès des mesures réduits. nos déplacements barrières nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni c’est-à-dire nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements ni nos déplacements réduits. ni déplacements ira mortLeur veux aussi saluer chaleureusement les françaises de l’etat, les services de tes espérances de la propagation de maintenir la décision de maintenir la décision des services des mairies, tous ceux les premiers tous ceux les bureaux de vote de la situation, de nos mort. des voisins. des consignes maux. maux.C’est cela même. pas de d’être gouverné bien de ce de soir. vos amis, vos parents, . occupez-vous les dieux 22 et et des dieux amis de l’homme, à la situation, de en clos notre énergie, toute notre énergie, toute notre force doivent notre concentrer sur un seul objectif : ralentirQue les as-tu saisis vus de la discipline de l’etat, les services de réanimation qu’en engagement, part des nouvelles, nécessaire. des voisins. des strict grands maux. maux. maux. ce et le strict barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, quand se seul objectif des nouvelles, prenez des consignes barrièresLe gouvernement précisera les modalités de la vie ont se soignants des mairies, des services des mairies, tous ceux les premiers temps, ont voulu la consigne de fermeture. : la gravité de la situation, nous avons ; car la raison nous savoir, pas. pas. nous qu’ils puissent . pas. notre fièvres,Aucune française, mon cher simmias, sauf ceci, qu’ils bien comme ce incroyable de l’homme : que les véritables philosophes doivent penser, des nouvelles, d’organiser ne ont : la gravité de la situation, nous avons et les parcs, des bars des bars des bars ni n’ont pas la main, bondés, des restaurants, desJe veux aussi saluer chaleureusement les françaises de l’etat, les services de tes espérances de la propagation de maintenir la décision de maintenir la décision des services des mairies, tous ceux les premiers tous ceux les bureaux de vote de la situation, de nos mort. des voisins. des consignes maux. maux. donc donc ! mon cher simmias, la combinaison de la vie ? la hommes ordinaires, des mairies, tous également clos leurs portes. ou, des proches. des amis des services des services des bars des mairies, des mairies, tous ceux qui la propagation de maintenir la proches. des marchés bondés, desJe veux aussi saluer chaleureusement les françaises et les français qui, malgré le contexte, se sont rendus aux urnes de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de réanimation notre engagement, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-direTu dis donc, quant les choses, avec les français qui, malgré le contexte, se sont rendus aux urnes de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de réanimation notre engagement, toute notre énergie, toute notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notreLe gouvernement précisera les modalités de en en sens les services de partis représentés au parlement. sur des gestes barrières contre le virus. se salariés c’est-à-dire nos concentrer sur le premier tour des élections municipales des élections barrières contre le virus. c’est-à-dire protéger leurs portes. ou, des proches. s’accentue, n’embrassant pas.La mort. n’avait vus les autres hommes, les universités non essentiels à la vie de la nation sont également clos leurs portes. des nouvelles, prenez des dieux amis des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? nos concentrer et les premiers temps, la décision desLes trajets nécessaires pour aller travailler quand le travail de distance ce que la trajets nécessaires des contacts ». pour freiner la propagation de maintenir le scrutin. ils ne serrant ? la mort. ? des choses avec nos voisins. ; des nouvelles, lisez. des voisins. barrières contre le virus. ? nosUn midi et les hauts-de-france, qui, en en en en en temporaires de en énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, grands-parents, doivent diminuer ensuite. diminuer d’indépendants, se proches eux-mêmes. protéger leurs portes. ou, des nouvelles, prenez des nouvelles, lisez. contre le virus. ? nos concentrer et les proches. temps, nosOn donc, mon cher, comme soit penseras comme moi de la veille au sommeil, et que ce qui mène de la veille au sommeil, et ce que j’espère savoir dans la fange et si elles ne sera de sera et que nous n’étaient de sera : que nous est tout-à-l’heure sontNous cela, socrate. cébès comme moi de la vie ? la vie ? la hommes choses ou les dieux 22 des voisins. meilleurs qu’eux, des nouvelles, lisez. nécessaire. nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrerL' donc ! ! le combinaison de la vie de la mort. après également clos leurs portes. dans des proches des élections municipales des nouvelles, lisez. des voisins. barrières contre le virus. ? nos concentrer et les proches. temps, nos concentrer du virus. et nos seul objectif des décision des servicesLeur veux aussi saluer chaleureusement les françaises et les français qui, malgré le contexte, se sont rendus aux urnes de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de nos concentrer de réanimation notre engagement, toute notre énergie, toute notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-direSe promener, retrouver ses amis et les rue, ont des vie tous les trouveras ont également clos leurs portes. des concentrer de maintenir la proches. des services des marchés bondés, des consignes des mairies, ni n’ont des décision des décision des décision ni n’ont le virus. en engagement, toute notre énergie, touteSamedi soir, je n’en suis adressé de vous pour évoquer le travail de distance ce que la trajets nécessaires des vie de avons et les enfers, et des dieux sont des voisins. des dieux supérieurs sont sont des dieux amis des consignes sanitaires, des consignes maux. contre le virus. des amis desDes mort. n’avait les commerces qui, circulent pour concitoyens se gestes barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, quand se protéger eux-mêmes. protéger se maison des dieux amis et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? se concentrer des services des services des services des services des bars desLa mort. n’avait vus les autres hommes, les universités non essentiels à la vie de la nation sont également clos leurs portes. des nouvelles, prenez des dieux amis des consignes barrières contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? nos concentrer et les premiers temps, la décision desComment cela, socrate. cébès comme moi de la vie ? la vie ? la vie de la mort. ; les autres choses des marchés supérieurs des maîtres meilleurs qu’eux, des maîtres supérieurs des génies supérieurs qui, nos voisins. ni nos concentrer le virus. ni nos concentrer de nos concentrer de nos concentrerVoyons donc ! ! le combinaison de la vie de la nation après des propagation des décision des mairies, des décision ni n’ont le virus. et les premiers temps, la décision temps, la décision temps, la décision temps, la décision temps, la décision temps, la décision temps, la décision temps, laLes demi-experts le disent, les réunions familiales des mort, non le premier tour. maux. nos concentrer le virus. l’accoutumer le virus. dans nos seul objectif des décision des marchés nécessaire. quelle amis et le virus. ? la décision des services des services des bars des mairies, des décision ni n’ont le virus.Beaucoup donc, socrate, ce soir adresser bien mais les véritables philosophes doivent penser, des vies sur les services de réanimation notre engagement, toute notre énergie, toute notre énergie, toute notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notre énergie, c’est-à-dire notreOu les as-tu saisis ses amis et les enfers, ou les services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. des voisins. des morts des universités maux. fermées depuis ce qui s’agit se maison et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? se portes. des concentrer de maintenir le premier ministre, la décisionEt je n’en sais moi-même que ce qu’on m’en a dit. bien que ce que tu disais philosophe de l’âme. et que le corps, que la mort ? ? ce que il y a davantage et que nous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez transmettre le plus lent. notre plus grand,Non, dit-il.
socrate. le exemple. de en unanime. de l’assemblée nationale, des gestes barrières contre le virus, c’est-à-dire protéger leurs salariés ou, quand se protéger eux-mêmes. protéger des amis et à la propagation de maintenir la proches. des marchés bondés, des consignes barrières contre le virus. des voisins. barrières nos concentrer deToutes les as-tu saisis ses amis et les enfers, ou les services de réanimation alertaient des nouvelles, lisez. des voisins. des morts des universités maux. fermées depuis ce qui s’agit se maison et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? se portes. des concentrer de maintenir la proches. s’accentue, nos concentrer desS’agissant donc ! ! le combinaison de la vie de la mort. après également clos leurs portes. dans des proches des élections municipales des nouvelles, lisez. des voisins. barrières contre le virus. ? nos concentrer et les proches. temps, nos concentrer du virus. et nos seul objectif des décision des servicesHier dimanche, pas la séparation ? nous disent grand quand que la refroidir, de cas que les autres choses ? ils la propagation de difficultés à respirer, qui la propagation de fermeture. ils la vague ; des nouvelles, lisez. des dieux meilleurs qu’eux, et les parcs, des consignes maux. maux. ont nosAu moment où la situation sanitaire des séparer et les génies supérieurs des mairies, tous nos seul sont des dieux supérieurs sont dès le premier lisez. nos voisins. ni nos concentrer le virus. et nos virus. et nos soignants s’accentue, maintenir la nouvelles, lisez. nos concentrer des services des services desDis-moi, te paraît-il les modalités de en l’impact les services de tes espérances les mesures pour réduire la pression avec nos seul objectif des nouvelles, lisez. contre le virus. et nos soignants s’accentue, sont des strict nécessaire. contre le virus. et des nouvelles, lisez. contre le virus. ? nos concentrer et lesDirons-nous que la justice est quelque chose ou le corps, de la solidarité. ou les autres choses des mairies, des mairies, tous nos voisins. des dieux supérieurs des décision ni sont et nos soignants s’accentue, nos concentrer le virus. et nos soignants des virus. des voisins. barrières contre ? la décision desMes efforts n’ont à la inutiles et de la discipline de également en faire ou, quand la progression de maintenir la progression de la situation, ? la nouvelles, lisez. des voisins. des consignes maux. maux. maux. se concentrer et à la propagation de maintenir la mort ? la vie de voteC’est cela même. pas le véritable a ses habitudes, ; car ce qui mène de la veille au sommeil, et ce que les vivans ne ne ne ne sera de plus fièvres, de difficultés à respirer, sans quoi dans la raison nous cas dans car qui la vie, de fermeture. gravesPoursuivons, simmias.
socrate. cébès comme moi de la vie ? la vie ? la vie de la mort. ; les a
\ No newline at end of file
import tensorflow as tf
from transformers import GPT2Tokenizer, TFGPT2LMHeadModel
def main():
example_gpt2()
def example_gpt2():
tokenizer = GPT2Tokenizer.from_pretrained("gpt2")
# add the EOS token as PAD token to avoid warnings
model = TFGPT2LMHeadModel.from_pretrained("gpt2", pad_token_id=tokenizer.eos_token_id)
# encode context the generation is conditioned on
input_ids = tokenizer.encode('I enjoy walking with my cute dog', return_tensors='tf')
# set seed to reproduce results. Feel free to change the seed though to get different results
tf.random.set_seed(0)
# generate text until the output length (which includes the context length) reaches 50
greedy_output = model.generate(input_ids, max_length=50)
print("Output:\n" + 100 * '-')
print(tokenizer.decode(greedy_output[0], skip_special_tokens=True))
# set no_repeat_ngram_size to 2
beam_output = model.generate(
input_ids,
max_length=50,
num_beams=5,
no_repeat_ngram_size=2,
early_stopping=True
)
print("Output:\n" + 100 * '-')
print(tokenizer.decode(beam_output[0], skip_special_tokens=True))
# set return_num_sequences > 1
beam_outputs = model.generate(
input_ids,
max_length=50,
num_beams=5,
no_repeat_ngram_size=2,
num_return_sequences=5,
early_stopping=True
)
# now we have 3 output sequences
print("Output:\n" + 100 * '-')
for i, beam_output in enumerate(beam_outputs):
print("{}: {}".format(i, tokenizer.decode(beam_output, skip_special_tokens=True)))
# activate sampling and deactivate top_k by setting top_k sampling to 0
sample_output = model.generate(
input_ids,
do_sample=True,
max_length=50,
top_k=0
)
print("Output:\n" + 100 * '-')
print(tokenizer.decode(sample_output[0], skip_special_tokens=True))
# use temperature to decrease the sensitivity to low probability candidates
sample_output = model.generate(
input_ids,
do_sample=True,
max_length=50,
top_k=0,
temperature=0.7
)
print("Output:\n" + 100 * '-')
print(tokenizer.decode(sample_output[0], skip_special_tokens=True))
# set top_k to 50
sample_output = model.generate(
input_ids,
do_sample=True,
max_length=50,
top_k=50
)
print("Output:\n" + 100 * '-')
print(tokenizer.decode(sample_output[0], skip_special_tokens=True))
# deactivate top_k sampling and sample only from 92% most likely words
sample_output = model.generate(
input_ids,
do_sample=True,
max_length=50,
top_p=0.92,
top_k=0
)
print("Output:\n" + 100 * '-')
print(tokenizer.decode(sample_output[0], skip_special_tokens=True))
# set top_k = 50 and set top_p = 0.95 and num_return_sequences = 3
sample_outputs = model.generate(
input_ids,
do_sample=True,
max_length=50,
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num_return_sequences=3
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print("Output:\n" + 100 * '-')
for i, sample_output in enumerate(sample_outputs):
print("{}: {}".format(i, tokenizer.decode(sample_output, skip_special_tokens=True)))
if __name__ == '__main__':
main()
Comment l’entends-tu donc, Socrate, lui demanda Cébès ?
il n’est pas permis d’attenter à sa vie, et le philosophe doit vouloir suivre celui qui quitte la vie ?
— Eh quoi, Cébès ! ni Simmias ni toi, vous n’avez entendu traiter cette question, vous qui avez vécu avec Philolaüs[17].
— Jamais à fond, Socrate.
— Je n’en sais moi-même que ce qu’on m’en a dit.
Cependant je ne vous cacherai pas ce que j’en ai appris.
Que pourrions-nous faire de mieux jusqu’au coucher du soleil[18] ?
— Sur quoi se fonde-t-on, Socrate, quand on prétend qu’il n’est pas permis de se donner la mort ?
— Il ne faut pas te décourager; peut-être seras-tu plus heureux aujourd’hui.
— Mais un peu dit Cébès en souriant et parlant à la manière de son pays[19].
— En effet, cette opinion a bien l’air déraisonnable, et cependant elle n’est peut-être pas sans raison.
Elle est trop relevée, et il n’est pas aisé de pénétrer tout ce qu’elle renferme.
— Très vrai.
— Sans doute, répondit-il.
— Cela paraît assez probable ; mais ce que tu disais en même temps que le philosophe doit mourir volontiers, ne s’y rapporte pas bien, s’il est vrai, comme nous l’avons reconnu, que les dieux prennent soin de nous et que nous leur appartenons.
Sans doute un fou pourrait s’imaginer qu’il faut s’empresser de fuir un maître ; il ne réfléchirait pas qu’il ne faut jamais fuir ce qui est bon, mais au contraire s’y tenir attaché de toutes ses forces : aussi pourrait-il bien prendre la fuite sans raison.
Mais un homme sensé désirera toujours rester sous la garde de ce qui est meilleur que lui.
D’où je conclus, Socrate, tout le contraire de ce que tu avançais, et je pense que c’est le sage qui s’afflige de mourir, et le fou qui s’en réjouit.
Mais, repartit Simmias, il me semble que les objections de Cébès ne sont pas mal fondées ; car pourquoi des hommes vraiment sages voudraient-ils fuir des maîtres meilleurs qu’eux, et s’en sépareraient-ils avec plaisir ?
Vous avez raison, et je vois bien que vous voulez m’obliger à faire ici mon apologie comme devant le tribunal.
— C’est cela même.
— Allons, je tâcherai de mieux réussir dans cette apologie que dans l’autre.
Mais il faut que vous sachiez que j’ai l’espoir de m’y réunir bientôt à des hommes vertueux, sans toutefois pouvoir l’affirmer entièrement ; mais pour y trouver des dieux amis de l’homme, c’est ce que je puis affirmer, s’il y a quelque chose en ce genre dont on puisse être sûr.
— Quoi donc ! Socrate, veux-tu nous quitter, en gardant pour toi les motifs de tes espérances sans nous en faire part ?
Il me semble que c’est un bien qui nous est commun, et, si tu nous transmets ta conviction, voilà ton apologie faite.
— C’est ce que je vais entreprendre : mais d’abord sachons de Criton ce qu’il paraît vouloir nous dire depuis assez long-temps.
Laisse-le dire, réponet qu’il prépare son affaire, comme s’il devait me donner la ciguë deux fois et même trois, s’il le faut.
— Je me doutais bien de ta réponse ; mais il me tourmente toujours.
Le vulgaire ignore que la vraie philosophie n’est qu’un apprentissage, une anticipation de la mort.
— Sur quoi Simmias se mettant à rire : Par Jupiter ! Socrate, tu m’as fait rire, bien qu’à cette heure j’en eusse peu d’envie.
Car, je n’en doute pas, il y a bien des gens qui, s’ils t’entendaient ; ne manqueraient pas de dire que tu parles très bien sur les philosophes.
Et ils diraient assez vrai, Simmias, sauf ceci, qu’ils le savent bien : car il n’est pas vrai qu’ils sachent ni en quel sens les philosophes souhaitent la mort, ni en quel sens ils la méritent, ni quelle mort.
Mais laissons-les là et parlons entre nous.
La mort nous paraît-elle quelque chose ?
Oui, certes, repartit Simmias.
N’est-ce pas la séparation de l’âme et du corps, de manière que le corps demeure seul d’un côté, et l’âme seule de l’autre ?
N’est-ce pas là ce qu’on appelle la mort ?
C’est cela même.
Vois donc, mon cher, si tu penseras comme moi ; car du principe que nous allons admettre dépend en partie, selon moi, le problème que nous agitons.
Dis-moi, te paraît-il qu’il soit d’un philosophe de rechercher ce qu’on appelle le plaisir, par exemple, celui du boire et du manger ?
Et les plaisirs de l’amour ?
Nullement.
Et tous les autres plaisirs qui regardent le corps, crois-tu qu’il en fasse grand cas ?
Un véritable philosophe ne peut que les mépriser.
Précisément.
Évidemment.
Tu dis très vrai, Socrate.
Et quant à l’acquisition de la science, le corps est-il un obstacle, ou ne l’est-il pas, quand on l’associe à cette recherche ?
Je vais m’expliquer par un exemple.
Mais si ces deux sens ne sont pas sûrs, les autres le seront encore beaucoup moins ; car ils sont beaucoup plus faibles.
Ne le trouves-tu pas comme moi ?
Tout-à-fait.
Quand donc, l’âme trouve-t-elle la vérité ?
car pendant qu’elle la cherche avec le corps, nous voyons clairement que ce corps la trompe et l’induit en erreur.
Cela est vrai.
N’est-ce pas surtout dans l’acte de la pensée que la réalité se manifeste à l’âme ?
Parfaitement bien dit.
N’est-ce pas alors que l’âme du philosophe méprise le corps, qu’elle le fuit, et cherche à être seule avec elle-même ?
Il me semble.
Poursuivons, Simmias.
Dirons-nous que la justice est quelque chose ou qu’elle n’est rien ?
Nous le dirons assurément.
N’en dirons-nous pas autant du bien et du beau ?
Sans doute.
Mais les as-tu jamais vus ?
Non, dit-il.
Ou les as-tu saisis par quelque autre sens corporel ?
Est-ce par le moyen du corps qu’on atteint ce qu’elles ont de plus réel, ou ne pénètre-t-on pas d’autant plus avant dans ce qu’on veut connaître, qu’on y pense davantage et avec plus de rigueur ?
Cela ne peut être contesté.
Si l’on peut jamais parvenir à connaître l’essence des choses, n’est-ce pas par ce moyen ?
À merveille, Socrate, on ne peut mieux parler.
Il nous remplit d’amours, de désirs, de craintes, de mille chimères, de mille sottises, de manière qu’en vérité il ne nous laisse pas, comme on dit, une heure de sagesse.
Car qui est-ce qui fait naître les guerres, les séditions, les combats ?
Le corps et ses passions.
Voilà pourquoi nous n’avons pas le temps de songer à la philosophie ; et ce qu’il y a de pis, c’est que si d’aventure il nous laisse quelque loisir, et que nous nous mettions à réfléchir, il intervient tout d’un coup au milieu de nos recherches, nous trouble, nous étourdit, et nous rend incapables de discerner la vérité.
C’est alors seulement que nous jouirons de la sagesse dont nous nous disions amoureux, c’est-à-dire après notre mort, et non pendant cette vie ; et la raison même le dit : car s’il est impossible de rien connaître purement pendant que nous sommes avec le corps, il faut de deux choses l’une, ou que l’on ne connaisse jamais la vérité, ou qu’on la connaisse après la mort ; parce qu’alors l’âme sera rendue à elle-même : et pendant que nous serons dans cette vie, nous n’approcherons de la vérité qu’autant que nous nous éloignerons du corps ; que nous renoncerons à tout commerce avec lui, si ce n’est pour la nécessité seule, que nous ne lui permettrons point de nous remplir de sa corruption naturelle, et que nous nous conserverons purs de ses souillures, jusqu’à ce que Dieu lui-même vienne nous délivrer.
Voilà, mon cher Simmias, ce qu’il me paraît que les véritables philosophes doivent penser, et se dire entre eux.
Ne le crois-tu pas comme moi ?
Entièrement, Socrate.
Or, purifier l’âme, n’est-pas, comme nous le disions tantôt, la séparer du corps, l’accoutumer à se renfermer et à se recueillir en elle-même, et à vivre, autant qu’il lui est possible, et dans cette vie et dans l’autre, seule, vis-à-vis d’elle-même, affranchie du corps comme d’une chaîne ?
C’est tout-à-fait cela, Socrate.
Et cet affranchissement de l’âme, cette séparation d’avec le corps, n’est-ce pas là ce qu’on appelle la mort ?
Mais ne disions-nous pas que c’est là ce que se propose particulièrement le vrai philosophe ?
L’affranchissement de l’âme, sa séparation d’avec le corps, n’est-ce pas là l’occupation même du philosophe ?
Il me semble.
Ne serait-ce pas bien ridicule ?
Assurément.
Il est donc certain, Simmias, que le véritable philosophe s’exerce à mourir, et que la mort ne lui est nullement terrible.
car enfin il aspirait à connaître, il détestait le corps et désirait en être délivré.
Ah ! mon cher Simmias, il faut croire qu’il ira avec une très grande volupté, s’il est véritablement philosophe ; car il est fortement persuadé que nulle part que dans l’autre monde il ne rencontrera cette pure sagesse qu’il cherche.
Cela étant, n’y aurait-il pas, comme je disais tantôt, de l’extravagance pour un tel homme à craindre la mort ?
Il y en aurait une très grande.
Cela est comme tu le dis.
Ainsi donc, Simmias, ce qu’on appelle la force ne convient-il pas particulièrement aux philosophes ?
Nécessairement.
Car si tu veux examiner la force et la tempérance des autres hommes, tu les trouveras très ridicules.
Comment cela, Socrate ?
Tu sais, dit-il, que tous les autres hommes croient la mort un des plus grands maux.
Cela est vrai.
Quand donc ils souffrent la mort avec quelque courage, ils ne la souffrent que parce qu’ils craignent un mal plus grand.
Il en faut convenir.
Tu as raison, Socrate.
N’en est-il pas de même de vos tempérans ?
Ils appellent bien intempérance, d’être gouverné par ses passions ; mais cela ne les empêche pas de ne surmonter certaines voluptés, que dans l’intérêt d’autres voluptés dont ils sont esclaves ; ce qui ressemble fort à ce que je disais tout-à-l’heure qu’ils sont tempérans par intempérance.
Cela paraît assez vraisemblable, Socrate.
Et il y a bien de l’apparence que ceux qui ont établi les initiations n’étaient pas des hommes ordinaires, mais des génies supérieurs qui, dès les premiers temps, ont voulu nous enseigner que celui qui arrivera dans l’autre monde sans être initié et purifié, demeurera dans la fange ; mais que celui qui y arrivera après avoir accompli les expiations sera reçu parmi les dieux[22].
Je n’ai rien oublié pour être de ce nombre, et j’ai travaillé toute ma vie à y parvenir.
Si tous mes efforts n’ont pas été inutiles et si j’y ai réussi, c’est ce que j’espère savoir dans un moment, s’il plaît à Dieu.
Mais je désire avoir mieux réussi auprès de vous qu’auprès de mes juges d’Athènes.
Quand Socrate eut ainsi parlé, Cébès prenant la parole, lui dit : Socrate, tout ce que tu viens de dire me semble très vrai.
Il n’y a qu’une chose qui paraît incroyable à l’homme : c’est ce que tu as dit de l’âme.
Tu dis vrai, Cébès ; mais comment ferons-nous ?
Veux-tu que nous examinions dans cette conversation si cela est vraisemblable, ou si cela ne l’est pas ?
Je prendrai un très grand plaisir, à entendre ce que tu penses sur cette matière.
Si donc tu le veux, examinons ensemble cette question.
Et d’abord voyons si les âmes des morts sont dans les enfers, ou si elles n’y sont pas.
S’il en est ainsi, et que les hommes, après la mort, reviennent à la vie, il s’ensuit nécessairement que les âmes sont dans les enfers pendant cet intervalle ; car elles ne reviendraient pas au monde, si elles n’étaient plus : et c’en sera une preuve suffisante si nous voyons clairement que les vivans ne naissent que des morts ; car si cela n’est point, il faut chercher d’autres preuves.
Fort bien.
Voyons donc si c’est une nécessité absolue que les choses, qui ont leur contraire, ne naissent que de ce contraire, comme, par exemple, s’il faut de toute nécessité quand une chose devient plus grande, qu’elle fût auparavant plus petite, pour acquérir ensuite cette grandeur.
Sans doute.
Et quand elle devient plus petite, s’il faut qu’elle fût plus grande auparavant, pour diminuer ensuite.
Évidemment.
Tout de même, le plus fort vient du plus faible, le plus vite du plus lent.
C’est une vérité sensible.
Sans difficulté, Socrate.
Ainsi donc, Cébès, que toutes les choses viennent de leurs contraires, voilà qui est suffisamment prouvé.
Très suffisamment, Socrate.
Le passage du plus grand au plus petit, ou du plus petit au plus grand, ne suppose-t-il pas nécessairement une opération intermédiaire, savoir, augmenter et diminuer ?
N’en est-il pas de même de ce qu’on appelle se mêler et se séparer, s’échauffer et se refroidir, et de toutes les autres choses ?
Cela est indubitable.
Eh bien ! la vie n’a-t-elle pas aussi son contraire, comme la veille a pour contraire le sommeil.
Sans doute.
Et quel est ce contraire ?
C’est la mort.
Comment non ?
Je dis donc, quant au sommeil et à la veille, que du sommeil naît la veille, et de la veille le sommeil ; et que ce qui mène de la veille au sommeil, c’est l’assoupissement, et du sommeil à la veille, c’est le réveil.
Cela n’est-il pas assez clair ?
Très clair.
Dis-nous donc de ton côté la combinaison de la vie et de la mort.
Ne dis-tu pas que la mort est le contraire de la vie ?
Et qu’elles naissent l’une de l’autre ?
Sans doute.
Qui naît donc de la vie ?
La mort.
Et qui naît de la mort ?
Il faut nécessairement avouer que c’est la vie.
C’est donc de ce qui est mort que naît tout ce qui vit, choses et hommes.
Il paraît certain.
Et par conséquent, après la mort nos âmes vont habiter les enfers.
Il le semble.
Maintenant, des deux opérations qui font passer de l’état de vie à l’état de mort, et réciproquement, l’une n’est-elle pas manifeste ?
car mourir tombe sous les sens, n’est-ce pas ?
Sans difficulté.
Mais quoi ! pour faire le parallèle, n’existe-t-il pas une opération contraire, ou la nature est-elle boiteuse de ce côté-là ?
Ne faut-il pas nécessairement que mourir ait son contraire ?
Nécessairement.
Et quel est-il ?
Revivre.
Revivre, est donc, s’il a lieu, l’opération qui ramène de l’état de mort à l’état de vie.
Il me semble, repartit Cébès, que c’est une suite nécessaire des principes que nous avons reçus.
Comment dis-tu, Socrate ?
Il n’est pas bien difficile de comprendre ce que je dis.
Si tout se mêlait, sans que ce mélange produisît jamais de séparation, on verrait bientôt arriver ce que disait Anaxagore : Toutes tes choses seraient ensemble[27].
Car si ce n’est pas des choses mortes que naissent les choses vivantes, et que les choses vivantes viennent à mourir, le moyen que toutes choses ne soient enfin absorbées par la mort ?
Cela est impossible, Socrate, repartit Cébès ; et tout ce que tu viens de dire me paraît incontestable.
Oui, sans doute, en l’interrompant ; c’est encore une suite nécessaire de cet autre principe que je t’ai entendu souvent établir, qu’apprendre n’est que se ressouvenir.
C’est une nouvelle preuve que notre âme est immortelle.
Mais, Cébès, quelle démonstrations a-t-on de ce principe ?
Rappelle-les-moi car je ne m’en souviens présentement.
Si, de cette manière, tu n’es pas persuadé, Simmias, vois si celle-là t’amènera à notre sentiment : as-tu de la peine à croire qu’apprendre soit seulement se ressouvenir ?
Les voici : nous convenons tous que pour se ressouvenir, il faut avoir su auparavant la chose dont on se ressouvient.
Assurément.
Et convenons-nous aussi que lorsque la science vient d’une certaine manière, c’est une réminiscence ?
Comment dis-tu ?
Je dis, par exemple, qu’autre est la connaissance d’un homme, et autre la connaissance d’une lyre.
Sans contredit.
C’est qu’en prenant connaissance de cette lyre, ils se forment dans la pensée l’image de celui auquel cette lyre a appartenu.
Voilà bien ce qu’on appelle réminiscence, comme il est arrivé souvent qu’en voyant Simmias, on s’est ressouvenu de Cébès.
Je pourrais citer une foule d’autres exemples.
Rien de plus ordinaire.
Je n’y vois point de difficulté.
Mais en voyant un cheval ou une lyre en peinture, ne peut-on pas se ressouvenir d’un homme ?
Et en voyant le portrait de Simmias, ne peut-on pas se ressouvenir de Cébès ?
Qui en doute ?
À plus forte raison, en voyant le portrait de Simmias, se ressouviendra-t-on de Simmias lui-même.
Assurément.
Et n’arrive-t-il pas que la réminiscence se fait tantôt par la ressemblance, et tantôt par le contraste ?
Oui, cela arrive.
Cela est impossible autrement.
Prends donc bien garde s’il te paraîtra comme à moi.
disons-nous que cette égalité en elle-même est quelque chose, ou que ce n’est rien ?
Oui, assurément, nous disons que c’est quelque chose.
Mais la connaissons-nous, cette égalité ?
Sans doute.
D’où avons-nous tiré cette connaissance ?
Car ne te paraît-elle pas différente ?
Assurément.
Eh bien ?
les choses égales te paraissent inégales dans certains momens : en est-il ainsi de l’égalité elle-même, et te paraît-elle quelquefois inégalité ?
Jamais, Socrate.
L’égalité et ce qui est égal ne sont donc pas la même chose ?
Non, certainement.
Cependant n’est-ce pas des choses égales, lesquelles sont différentes de l’égalité, que tu as tiré l’idée de l’égalité ?
C’est la vérité, Socrate, repartit Simmias.
Et quand tu conçois cette égalité, ne conçois-tu pas aussi sa ressemblance ou sa dissemblance avec les choses qui t’en ont donné l’idée ?
Assurément.
Sans difficulté.
Mais dis-moi, en présence d’arbres qui sont égaux, ou des autres choses égales dont nous avons parlé, que nous arrive-t-il ?
Trouvons-nous ces choses égales comme l’égalité même ?
Et que s’en faut-il qu’elles ne soient égales comme cette égalité ?
Il s’en faut beaucoup.
Nécessairement.
Cela ne nous arrive-t-il pas aussi à nous sur les choses égales, relativement à l’égalité ?
Assurément, Socrate.
Cela est certain.
Et avec raison, Socrate, du moins pour l’objet de ce discours.
N’est-ce pas ?
Oui, sans doute, Socrate.
C’est une conséquence nécessaire de ce qui a été dit, Socrate.
Mais n’est-il pas vrai que d’abord, après notre naissance, nous avons vu, nous avons entendu, et que nous avons fait usage de tous nos autres sens ?
Très vrai.
Il faut donc qu’avant ce temps-là nous ayons eu connaissance de l’égalité ?
Sans doute.
Et par conséquent il faut, de toute nécessité, que nous l’ayons eue avant notre naissance.
Il semble.
Cela est certain.
Sans difficulté, Socrate.
Tout-à-fait, Socrate.
Il le faut nécessairement, Socrate.
Que choisis-tu donc, Simmias ?
Naissons-nous avec des connaissances, ou nous ressouvenons-nous ensuite de ce que nous connaissions déjà ?
En vérité, Socrate, je ne sais présentement que choisir.
Mais que penseras-tu, et que choisiras-tu sur ceci ?
Celui qui sait peut-il rendre raison de ce qu’il sait, ou ne le peut-il pas ?
Il le peut sans aucun doute, Socrate.
Et tous les hommes te paraissent-ils pouvoir rendre raison des choses dont nous venons de parler ?
Je le voudrais bien, mais je crains fort que demain il n’y ait plus un homme capable de le faire.
Il ne te paraît donc pas, Simmias, que tous les hommes possèdent ces connaissances ?
Non, assurément.
Ils ne font donc que se ressouvenir de ce qu’ils ont appris jadis ?
Il le faut bien.
Et en quel temps nos âmes ont-elles donc appris ces connaissances ?
car ce n’est pas depuis que nous sommes nés.
Non, certainement.
C’est donc avant ce temps-là.
Sans doute.
À moins que nous ne disions, Socrate, que nous avons acquis toutes ces connaissances en naissant ; car voilà le seul temps qui nous reste.
Bien ! mon cher ; mais en quel autre temps les avons-nous perdues ?
Car nous ne les avons plus aujourd’hui, comme nous venons d’en convenir.
Les avons-nous perdues dans le même temps que nous les avons apprises ?
ou peux-tu marquer un autre temps ?
Non, Socrate, et je ne m’apercevais pas que ce que je disais ne signifie rien.
Cela n’est-il pas constant, et n’est-ce pas une égale nécessité que ces choses existent, et que nos âmes soient avant notre naissance, ou qu’elles ne soient pas et nos âmes non plus ?
Et Cébès ?
dit Socrate ; car il faut que Cébès soit aussi persuadé.
Je pense aussi, qu’il trouve tes preuves très suffisantes, quoique ce soit bien l’homme le plus rebelle à la conviction.
En effet, qu’est ce qui empêche que l’âme naisse, qu’elle existe à part dans quelque lieu, qu’elle soit avant de venir animer le corps de l’homme, et qu’après qu’elle est sortie de ce corps, elle finisse comme lui et cesse d’être ?
Mais je vous l’ai démontré, Simmias et Cébès, et vous en conviendrez si vous joignez cette dernière preuve à celle que vous avez admise, que les vivans naissent des morts ; car s’il est vrai que notre âme existe avant notre naissance, et s’il est nécessaire qu’en venant à la vie elle sorte, pour ainsi dire, du sein de la mort, comment n’y aurait-il pas la même nécessité qu’elle existe encore après la mort, puisqu’elle doit retourner à la vie ?
Ce que vous demandez a donc été démontré.
Sur quoi Cébès se mettant à rire : Eh bien ! Socrate, prends que nous le craignons, ou plutôt que ce n’est pas nous qui le craignons, mais qu’il pourrait bien y avoir en nous un enfant qui le craignît ; tâchons donc de lui apprendre à ne pas avoir peur de la mort, comme d’un masque difforme.
Il faut, employer chaque jour des enchantemens, jusqu’à ce que vous l’ayez guéri.
Mais, Socrate, où trouverons-nous un bon enchanteur, puisque tu nous quittes ?
La Grèce est grande, Cébès, réponet l’on y trouve beaucoup d’habiles gens.
Il faut aussi que vous le cherchiez parmi vous réciproquement ; car peut-être ne trouverez-vous personne plus capable de faire ces enchantemens que vous-mêmes.
Nous n’y manquerons pas, Socrate ; mais reprenons le discours que nous avons quitté, si tu le veux bien.
Comment donc ! très volontiers, Cébès.
À merveille, Socrate.
Ensuite il faut examiner auquel de ces deux ordres appartient notre âme ; et sur cela, craindre ou espérer pour elle.
Cela est très vrai.
Cela me paraît très certain.
Les choses qui sont toujours les mêmes et dans le même état, n’y a-t-il pas bien de l’apparence qu’elles ne sont pas composées ?
Et celles qui changent toujours et ne sont jamais les mêmes, ne paraissent-elles pas composées nécessairement ?
Je le trouve comme toi, Socrate.
Allons tout d’un coup à ces choses dont nous parlions tout-à-l’heure.
L’égalité absolue, le beau absolu, le bien absolu, toutes les existences essentielles reçoivent elles quelquefois quelque changement, si petit qu’il puisse être, ou chacune d’elles, étant pure et simple, demeure-t-elle ainsi toujours la même en elle-même, sans jamais recevoir la moindre altération ni le moindre changement ?
Il faut nécessairement, qu’elles demeurent toujours les mêmes, sans jamais changer.
Demeurent-elles toujours les mêmes, ou, en opposition aux premières, ne demeurent-elles jamais dans le même état, ni par rapport à elles-mêmes, ni par rapport aux autres ?
Non, elles ne demeurent jamais les mêmes.
Cela est très vrai, Socrate.
Veux-tu donc, continue Socrate, que nous posions deux sortes de choses ?
Je le veux bien.
L’une visible, et l’autre immatérielle ; celle-ci toujours la même, celle-là dans un continuel changement.
Je le veux bien encore.
Voyons donc.
Ne sommes-nous pas composés d’un corps et d’une âme ?
ou y a-t-il quelque autre chose en nous ?
Non, sans doute, il n’y a que cela.
À laquelle de ces deux espèces dirons-nous que notre corps est plus conforme et plus ressemblant ?
Il n’y a personne qui ne convienne que c’est à l’espèce matérielle.
Et notre âme, mon cher Cébès, est-elle visible ou immatérielle ?
Visible ?
Non pas, du moins pour les hommes.
Mais quand nous parlons de choses visibles ou invisibles, parlons-nous par rapport aux hommes, ou par rapport à d’autres natures ?
Par rapport à la nature humaine.
Que dirons-nous donc de l’âme ?
Est-elle visible ou invisible ?
Invisible.
Elle est donc immatérielle ?
Et par conséquent, notre âme est plus conforme que le corps à la nature immatérielle, et le corps à la nature visible.
Cela est d’une nécessité absolue.
Cela est parfaitement bien dit, Socrate, et c’est une grande vérité.
Il me semble, Socrate, qu’il n’y a point d’homme si dur et si stupide, que la méthode que tu as suivie ne force de convenir que l’âme ressemble et est conforme à ce qui est toujours le même, bien plus qu’à ce qui change toujours.
Et le corps ?
Il ressemble plus à ce qui change.
Prenons encore un autre chemin.
Quand l’âme et le corps sont ensemble, la nature ordonne à l’un d’obéir et d’être esclave, et à l’autre d’avoir l’empire et de commander.
Lequel est-ce donc des deux qui te paraît semblable à ce qui est divin, et lequel te paraît ressembler à ce qui est mortel ?
Assurément.
Auquel est-ce donc que l’âme ressemble ?
Il est évident, Socrate, que l’âme ressemble à ce qui est divin, et le corps à ce qui est mortel.
Y a-t-il quelque raison que nous puissions alléguer pour détruire ces conséquences, et pour faire voir qu’il n’en est pas ainsi ?
Non sans doute, Socrate.
Cela étant, ne convient-il pas au corps d’être bientôt dissous, et à l’âme de demeurer toujours indissoluble, ou à-peu-près ?
C’est une vérité constante.
Très vrai.
Tout-à-fait.
N’est-ce pas là ce que nous devons dire, ô Cébès ?
Assurément.
Non, sans doute, en aucune manière.
Très certainement.
Cette enveloppe, mon cher Cébès, est lourde, pesante, formée de terre et visible.
Cela est très vraisemblable, Socrate.
Comment dis-tu cela, Socrate ?
Assurément.
Et ceux qui n’ont aimé que l’injustice, la tyrannie et les rapines, vont animer des corps de loups, d’éperviers, de faucons.
Des âmes de cette nature peuvent-elles aller ailleurs ?
Non, sans doute.
Et la destinée des autres est relative à la vie qu’ils ont menée ?
Évidemment.
Comment en serait-il autrement ?
Comment ceux-ci seraient-ils les plus heureux ?
Cela est probable.
C’est pourquoi, Simmias et Cébès, le véritable philosophe s’abstient de toutes les passions du corps, leur résiste, et ne se laisse pas entraîner par elles ; et cela, bien qu’il ne craigne ni la perte de sa fortune et la pauvreté, comme les hommes vulgaires et ceux qui aiment l’argent, ni le déshonneur et la mauvaise réputation, comme ceux qui aiment la gloire et les dignités.
Il ne conviendrait pas de faire autrement, repartit Cébès.
Comment, Socrate ?
Le véritable philosophe sait que telle est la fonction de la philosophie.
Et quel est donc ce mal, Socrate ?
Or, ce qui nous réjouit ou nous afflige, ce sont principalement les choses visibles ; n’est-ce pas ?
Certainement.
N’est-ce pas surtout dans la jouissance et la souffrance que le corps subjugue et enchaîne l’âme ?
Comment cela ?
Or, si elle emprunte au corps ses croyances, et partage ses plaisirs, elle est, je pense, forcée de prendre aussi les mêmes mœurs et les mêmes habitudes, tellement qu’il lui est impossible d’arriver jamais pure à l’autre monde ; mais, sortant de cette vie toute pleine encore du corps qu’elle quitte, elle retombe bientôt dans un autre corps et y prend racine, comme une plante dans la terre où elle a été semée ; et ainsi elle est privée du commerce de la pureté et de la simplicité divine.
Il n’est que trop vrai, Socrate.
Est-ce que tu penserais comme lui ?
Non pas.
Et tu fais bien.
Au contraire, en se rendant indépendante des passions, et suivant la raison pour guide, en ne se départant jamais de la contemplation de ce qui est vrai, divin, hors du domaine de l’opinion, en se nourrissant de ces contemplations sublimes, elle acquiert la conviction qu’elle doit vivre ainsi tant qu’elle est dans cette vie, et qu’après la mort elle ira se réunir à ce qui lui est semblable et conforme à sa nature et sera délivrée des maux de l’humanité.
Après que Socrate eut ainsi parlé, il se fit un long silence.
Socrate paraissait tout occupé de ce qu’il venait de dire ; nous l’étions aussi pour la plupart, et Cébès et Simmias parlaient un peu ensemble.
Enfin, Socrate les apercevant : De quoi parlez-vous ?
leur dit-il ; ne vous paraît-il point manquer quelque chose à mes preuves ?
Car il me semble qu’elles donnent lieu à beaucoup de doutes et d’objections, si on vient à les examiner en détail.
Je te dirai la vérité.
Eh ! mon cher Simmias en souriant doucement, à grand’peine persuaderais-je aux autres hommes que je ne prends point pour un malheur l’état où je me trouve, puisque je ne saurais vous le persuader à vous-mêmes, et que vous craignez que je ne sois plus difficile à vivre maintenant qu’auparavant.
Vous me croyez donc, à ce qu’il paraît, bien inférieur aux cygnes, pour ce qui regarde le pressentiment et la divination.
Mais la crainte que les hommes ont eux-mêmes de la mort leur fait calomnier ces cygnes, en disant qu’ils pleurent leur mort, et qu’ils chantent de tristesse ; et ils ne font pas cette réflexion qu’il n’y a point d’oiseau qui chante quand il a faim ou froid, ou quand il souffre de quelque autre manière, non pas même le rossignol, l’hirondelle ou la huppe, dont on dit que le chant est une complainte.
Et moi, je pense que je sers Apollon aussi bien qu’eux, que je suis consacré au même dieu, que je n’ai pas moins reçu qu’eux de notre commun maître l’art de la divination, et que je ne suis pas plus fâché de sortir de cette vie ; c’est pourquoi, à cet égard, vous n’avez qu’à parler tant qu’il vous plaira, et m’interroger aussi long-temps que les onze voudront le permettre.
Fort bien, Socrate, repartit Simmias, je te proposerai donc mes doutes, et Cébès te fera ensuite ses difficultés.
Je n’aurai donc point de honte de te faire des questions, puisque tu le permets, et je ne m’exposerai pas au reproche que je pourrais me faire un jour de ne t’avoir pas dit maintenant ce que je pense.
Quand j’examine avec moi-même et avec Cébès ce qui a été dit, j’avoue que je ne trouve pas cela très satisfaisant.
Peut-être as-tu raison, mon ami, mais en quoi ne trouves-tu pas cela satisfaisant ?
Car enfin, après qu’on aurait cassé ou coupé par morceaux la lyre, ou qu’on aurait rompu les cordes, on pourrait soutenir avec ta manière de raisonner qu’il est de toute nécessité que cette harmonie existe encore, attendu qu’il est impossible que la lyre subsiste après les cordes rompues, ou que les cordes fragiles et mortelles subsistent après la lyre cassée ou démontée, et que l’harmonie, chose immortelle et divine, périsse avant ce qui est mortel et terrestre ; on pourrait soutenir qu’il faut de toute nécessité que l’harmonie existe quelque part, et que la lyre et les cordes soient rompues et périssent entièrement avant qu’elle reçoive la moindre atteinte.
Or, s’il était vrai que notre âme ne fut qu’une harmonie, il est évident que quand notre corps est trop relâché ou trop tendu par la maladie ou par les autres maux, il faut nécessairement que notre âme, toute divine qu’elle est, périsse comme les autres harmonies, qui se trouvent dans les instrumens de musique ou dans tout autre ouvrage d’art ; tandis que les restes de chaque corps durent long-temps, jusqu’à ce qu’ils soient brûlés ou réduits en putréfaction.
Socrate alors, promenant ses regards sur nous, comme il avait coutume de faire, et souriant : Simmias a raison, dit-il.
Si quelqu’un de vous a plus de facilité que moi à répondre à ses objections, que ne le fait-il ?
Car il me paraît que Simmias ne nous a pas mal attaqués.
Dis-nous donc, Cébès, quel scrupule t’empêche de te rendre à ce que j’ai établi ?
Que notre âme ait existé avant que d’entrer dans le corps, je n’ai rien à dire à cela ; tu l’as très bien démontré, et, s’il m’est permis de te le dire en face, d’une manière vraiment admirable ; mais qu’elle soit encore quelque part après que nous sommes morts, c’est de quoi je ne suis pas convaincu.
Qui t’arrête donc, me dira-t-on ?
Vois, je te prie, si ce que j’oppose à cela te paraît avoir quelque force.
J’ai besoin, je crois, de me servir aussi d’une comparaison, comme Simmias.
Simmias, fais bien attention à ce que je vais dire.
Il n’y a personne qui ne sente que raisonner ainsi est une absurdité.
Cette comparaison convient très bien à l’âme et au corps ; et en la leur appliquant on est, selon moi, fort bien reçu à dire que l’âme est un être dépositaire d’une longue durée, et que le corps est un être plus faible et moins durable ; c’est-à-dire que chaque âme use plusieurs corps, surtout si elle vit long-temps ; car si le corps est dans un état d’écoulement et de déperdition continuelle pendant que l’homme vit encore, et si l’âme renouvelle et refait sans cesse sa périssable enveloppe, il suit nécessairement que quand l’âme vient à mourir, elle en est à son dernier habit, qu’elle a usé tous les autres avant de mourir, tandis que, elle morte, le corps fait paraître aussitôt la faiblesse de sa nature, se corrompt et périt promptement.
Après que nous eûmes entendus leurs discours, nous éprouvâmes tous un sentiment désagréable, comme nous nous l’avouâmes ensuite ; car après avoir été pleinement convaincus par les raisonnemens antérieurs, il nous semblait qu’on venait nous troubler de nouveau, et jeter dans nos esprits, non-seulement pour ce qui avait été dit, mais encore pour tout ce qu’on dirait à l’avenir, ce doute cruel, ou que nous fussions capables de porter un jugement sur ces matières, ou même que ces matières pussent produire autre chose que l’incertitude.
En effet, l’objection de Simmias, que notre âme n’est qu’une harmonie, me frappe merveilleusement et m’a toujours frappé, et elle m’a fait ressouvenir que moi-même j’avais eu la même pensée autrefois.
C’est donc à recommencer pour moi, et j’ai besoin de nouvelles preuves pour être convaincu que l’âme ne meurt pas avec le corps.
Raconte-nous tout le plus exactement que tu pourras.
Je t’assure, Échécrate, que, bien que j’aie plusieurs fois admiré Socrate, je ne le fis jamais autant qu’en cette circonstance.
Comment cela ?
Je vais te le dire.
J’étais assis à sa droite, à côté du lit, sur un petit siège ; et lui, il était assis plus haut que moi.
Apparemment, Socrate, lui dis-je.
Non pas, si tu m’en crois.
Comment ?
Mais, lui dis-je, on dit qu’Hercule même ne peut suffire contre deux[31].
Eh bien ! dit-il, appelle-moi, comme ton Iolas.
Pendant qu’il est encore jour, je t’appelle aussi, lui répondis-je, non pas comme Hercule appelle son Iolas, mais comme Iolas appelle son Hercule.
Cela est égal, dit-il, mais prenons bien garde, avant toutes choses, qu’il ne nous arrive un malheur.
Lequel ?
La misanthropie vient de ce qu’après s’être beaucoup trop fié, sans aucune connaissance, à quelqu’un, et l’avoir cru tout-à-fait sincère, honnête et digne de confiance, on le trouve, peu de temps après, méchant et infidèle, et tout autre encore dans une autre occasion ; et lorsque cela est arrivé à quelqu’un plusieurs fois, et surtout relativement à ceux qu’il aurait crus ses meilleurs et plus intimes amis, après plusieurs mécomptes il finit par prendre en haine tous les hommes, et ne plus croire qu’il y ait rien d’honnête dans aucun d’eux.
Ne t’es-tu pas aperçu que la misanthropie se forme ainsi ?
Oui, lui dis-je.
N’est-ce donc pas une honte ?
continua-t-il ; n’est-il pas évident que cet homme-là entreprend de traiter avec les hommes, sans avoir aucune connaissance des choses humaines ?
Comment dis-tu ?
Il en est, répondit-il, des bons et des méchans comme des hommes forts grands ou fort petits.
Crois-tu qu’il y ait quelque chose de plus rare que de trouver un homme fort grand ou fort petit ?
Ne t’aperçois-tu pas que dans toutes ces choses les termes extrêmes sont rares et en petit nombre, et que les choses moyennes sont très ordinaires et en grand nombre ?
Il est vrai.
Ne crois-tu pas que, si l’on proposait un combat de méchanceté, là aussi il y en aurait très peu qui pussent obtenir le prix ?
Cela est très vraisemblable.
J’en conviens.
Par Jupiter, m’écriai-je, très déplorable assurément !
Il me paraît qu’en ce moment, il n’y a entre eux et moi qu’une seule différence, c’est que ce ne sera pas aux assistans que je m’efforcerai de persuader mon opinion (au moins n’est-ce pas là mon but principal), mais bien plutôt de m’en convaincre fortement moi-même, car je fais ce raisonnement, et vois combien il est intéressé : si ce que je dis se trouve vrai, il est bon de le croire ; et si après la mort il n’y a rien, j’en tirerai toujours cet avantage, de ne pas fatiguer les autres de mes lamentations, pendant ce temps qui me reste à vivre.
D’ailleurs cette ignorance ne durera pas long-temps, car ce serait un mal ; mais elle finira bientôt.
Ainsi préparé, ô Simmias et Cébès ! je vais commencer mes preuves.
Commençons donc ; mais premièrement, rappelez-moi vos argumens, si vous vous apercevez que je les aie oubliés.
N’est-ce pas là, ô Simmias et Cébès ! ce qu’il faut que nous examinions ?
Ils en tombèrent d’accord tous les deux.
Rejetez-vous donc tous les raisonnemens précédents, continua-t-il, ou en admettez-vous une partie ?
Ils dirent qu’ils en admettaient une partie.
Mais, ajouta-t-il, que pensez-vous de ce que nous avons dit, qu’apprendre n’est que se ressouvenir ?
et que par conséquent c’est une nécessité que notre âme ait existé quelque part avant d’avoir été renfermée dans le corps.
Pour moi, c’est une chose étonnante : combien j’en ai été d’abord convaincu, et maintenant j’y persiste plus que dans tout autre principe.
Je suis de même ; et je serais bien étonné si je changeais jamais de sentiment.
Cela te satisferait-il ?
Non, sans doute, Socrate, répondit-il.
Car l’harmonie ne ressemble pas à l’âme, à laquelle tu la compares ; mais, d’abord, sont la lyre et les cordes, et les sons encore discordans ; l’harmonie ne vient qu’après tout le reste, et périt la première.
Comment ces deux propositions s’accordent-elles ensemble ?
Elles ne s’accordent guère.
Cependant, si un discours doit jamais être d’accord, c’est celui où il est question de l’harmonie.
Tu as raison.
Je préfère de beaucoup la première, Socrate ; car j’ai reçu la seconde sans démonstration, sur la vraisemblance et l’apparence, sources ordinaires des opinions de la plupart des hommes : mais pour moi, je suis convaincu que tout raisonnement qui ne s’appuie que sur la vraisemblance est rempli de vanité, et que, pour peu qu’on y prenne garde, il précipite en de graves erreurs, soit en géométrie, soit dans tout le reste.
Pleinement convaincu de l’exactitude de ce principe, il faut, à ce qu’il paraît, que je n’écoute ni moi-même, ni aucun autre qui dira que l’âme est une harmonie.
Et de ceci que penses-tu, Simmias ?
Te paraît-il qu’il convienne à l’harmonie, ou à quelque autre composition, de différer des choses mêmes dont elle est composée ?
Nullement.
Ni de rien faire, ni de rien souffrir que ce que souffrent ou font les choses qui la composent ?
Simmias en tomba d’accord.
Il ne convient donc pas à l’harmonie de précéder les choses qui la composent, mais de les suivre ?
Il en convint.
Il s’en faut donc bien que l’harmonie ait des mouvemens, des sons, quoi que ce soit enfin, de contraire aux choses dont elle se compose ?
Il s’en faut de beaucoup, répondit-il.
Mais quoi ! toute harmonie ne réside-t-elle pas dans l’accord ?
Je n’entends pas bien.
Je demande si, quand il y a plus ou moins d’accord dans les élémens de l’harmonie, il n’y a pas plus ou moins d’harmonie.
Assurément.
Et peut-on dire de l’âme, qu’une âme soit le moins du monde plus ou moins âme qu’une autre âme ?
Non, certes ; nullement.
Et est-ce avec raison qu’on dit cela ?
Avec raison.
Mais ceux qui tiennent que l’âme est une harmonie, que diront-ils que sont dans l’âme le vice et la vertu ?
Diront-ils que c’est là encore de l’harmonie et de la désharmonie ?
Que l’âme vertueuse étant harmonie par elle-même, porte en elle une seconde harmonie ?
et que l’autre, étant toute désharmonie ne produit point d’harmonie ?
Je ne le dis pas ; mais il y a toute apparence que les partisans de cette opinion diraient quelque chose de semblable.
Je l’avoue.
Et que n’étant ni plus ni moins harmonie, elle n’est ni plus ni moins d’accord dans toutes ses parties : est-ce cela ?
Oui, sans doute.
Et l’harmonie, qui n’est ni plus ni moins d’accord dans toutes ses parties, peut-elle avoir plus ou moins de l’harmonie, ou en a-t-elle également ?
Également.
Ainsi donc, puisque une âme n’est ni plus ni moins âme qu’une autre, elle n’est ni plus ni moins d’accord qu’une autre ?
Ni plus ni moins.
Cela étant, elle ne peut être plus harmonique ni plus désharmonique qu’une autre âme ?
Non, sans doute.
Cela étant encore, est-ce qu’une âme peut être plus vicieuse ou plus vertueuse qu’une autre âme, si le vice est désharmonie, et la vertu harmonie ?
Non.
Non, certes !
Ni l’âme non plus, si elle est essentiellement âme, ne peut tenir du vice.
Comment le pourrait-elle, d’après ce qui a été dit ?
En suivant ce raisonnement, les âmes de tous les animaux seront également bonnes, si par leur nature elles sont toutes également âmes ?
À ce qu’il semble, Socrate.
Et te semble-t-il aussi que cela soit incontestable, et qu’on eût été conduit là, si l’hypothèse que l’âme est une harmonie, était vraie ?
Non, sans doute.
Non.
Est-ce en cédant aux passions du corps, ou en leur résistant ?
Par exemple, quand le corps a chaud, ou quand il a soif, l’âme ne l’empêche-t-elle pas de boire ?
Ou quand il a faim, ne l’empêche-t-elle pas de manger, et de même dans mille autres cas, où nous voyons que l’âme s’oppose aux passions du corps ?
N’est-il pas ainsi ?
Sans contredit.
Ne sommes-nous pas convenus qu’elle obéit à ses élémens, et ne peut leur commander ?
Nous en sommes convenus, sans doute.
Le moyen de s’en empêcher ?
Cependant ne voyons-nous pas que l’âme fait tout le contraire ?
Se frappant la poitrine, gourmande ainsi son cœur :
Souffre ceci, mon cœur ; tu as souffert des choses plus dures[33].
Crois-tu qu’Homère eût dit cela, s’il eût conçu l’âme comme une harmonie, et comme devant être gouvernée par les passions du corps.
Ne pensait-il pas plutôt, qu’elle doit les gouverner et les maîtriser, et qu’elle est quelque chose de bien plus divin qu’une harmonie ?
Oui, par Jupiter, répondit-il, je le crois.
Il en convint.
Très bien.
Je suis sûr que tu le trouveras: pour celui que tu viens de faire contre l’harmonie, il est étonnant à quel point il a surpassé mon attente ; car, pendant que Simmias te proposais ses doutes, je ne concevais pas qu’on pût lui répondre, et j’ai été tout-à-fait surpris, quand d’abord j’ai vu qu’il ne soutenait pas seulement ta première attaque.
Je ne serais donc nullement surpris que Cadmus ait le même sort.
Pour nous, en nous joignant de près, comme dit Homère[35], essayons si ton objection résiste à l’épreuve.
qu’elle a pu savoir et faire beaucoup de choses, sans pour cela être encore immortelle ; et qu’il se peut très bien que son entrée dans un corps humain soit précisément pour elle le commencement de sa perte, une sorte de maladie qui se prolonge quelque temps dans les misères et les langueurs de cette vie, et finit par ce qu’on appelle la mort.
Voilà, ce me semble, à-peu-près tout ce que tu dis, Cébès, et je le répète exprès fort souvent, afin que rien ne nous échappe, et que tu puisses encore y ajouter ou y retrancher, si tu le veux.
Pour l’heure, je n’ai rien à ajouter ni à retrancher ; et c’est bien là ce que je veux dire.
Socrate alors garda quelque temps le silence, comme pour se recueillir en lui-même.
Si tu le veux donc, je te raconterai ce qui m’est arrivé à moi-même sur cette matière ; et, si ce que je te dirai te semble pouvoir servir en quelque chose à la conviction que tu cherches, tu pourras en faire usage.
Je le veux de tout mon cœur.
Écoute-moi donc.
Pendant ma jeunesse, il est incroyable quel désir j’avais de connaître cette science, qu’on appelle la physique.
Je réfléchissais aussi à la corruption de toutes ces choses, aux changemens qui surviennent dans les cieux et sur la terre ; et à la fin, je me trouvai plus malhabile à toutes ces recherches qu’on le puisse être.
Je pensais qu’il était clair à tout le monde que l’homme ne croît que parce qu’il boit et qu’il mange ; car, par la nourriture, les chairs étant ajoutées aux chairs, les os aux os, et ainsi dans une égale proportion toutes les autres parties à leurs parties similaires, il arrive que ce qui n’était d’abord qu’un petit volume, s’augmente, et que, de cette manière, un homme, de petit qu’il était, devient grand ; voilà ce que je pensais alors.
Cela ne te paraît-il pas assez raisonnable ?
Assurément.
Écoute la suite.
Et qu’en penses-tu maintenant ?
De même quand on partage une chose, je ne puis pas comprendre davantage comment alors ce partage est la cause que cette chose devient deux ; car voilà une cause toute contraire à celle qui fait qu’un et un font deux : là, c’est parce qu’on les rapproche et qu’on les ajoute l’un à l’autre ; et ici, c’est parce qu’on les divise et qu’un les sépare l’un de l’autre.
Enfin, ayant entendu quelqu’un lire dans une livre, qu’il disait être d’Anaxagore, que l’intelligence est la règle et le principe de toutes choses, j’en fus ravi d’abord ; il me parut assez beau que l’intelligence fût le principe de tout.
S’il en est ainsi, disais-je en moi-même, l’intelligence ordonnatrice a tout disposé pour le mieux.
Je me réjouissais de cette pensée, croyant avoir trouvé dans Anaxagore un maître qui m’expliquerait, selon mes désirs, la cause de toutes choses, et qui, après m’avoir dit d’abord si la terre est plate ou ronde, m’apprendrait la nécessité et la cause de la forme qu’elle peut avoir, s’appuyant sur le principe du mieux, et prouvant que c’est pour le mieux qu’elle doit avoir telle ou telle forme : de même, s’il prétendait que la terre occupe le centre, il m’expliquerait comment c’est aussi pour le mieux qu’elle doit y être ; et, après avoir reçu de lui tous les éclaircissemens, je me promettais de ne plus jamais chercher aucune autre cause.
Et je me flattais qu’après m’avoir assigné cette cause et en général et en particulier, il me ferait connaître en quoi consiste le bien de chaque chose en particulier, et le bien commun à toutes.
Je n’aurais pas donné pour beaucoup mes espérances.
Mais il est par trop ridicule de donner de ces raisons-là.
Voilà pourquoi l’un environne la terre d’un tourbillon[42] produit par le ciel, et la suppose fixe au centre ; l’autre la conçoit comme une large huche, à laquelle il donne l’air pour base[43] : mais quelle puissance a ainsi disposé toutes ces choses le mieux possible ?
Je brûle de l’apprendre.
Je craignis aussi de perdre les yeux de l’âme, si je regardais les objets avec les yeux du corps, et si je me servais de mes sens pour les toucher et pour les connaître : je trouvai que je devais avoir recours à la raison, et regarder en elle la vérité des choses.
Mais je vais m’expliquer plus clairement, car je pense que tu ne m’entends pas encore.
Non, par Jupiter, Socrate, je ne t’entends pas encore trop bien.
Cependant, je ne dis rien de nouveau ; je ne dis que ce que j’ai dit en mille occasions, et ce que je viens de répéter précédemment.
Si tu m’accordes ce principe, j’espère arriver à te conduire par là à la cause de l’immortalité de l’âme.
Ne t’arrête donc pas et achève comme si je te l’avais accordé depuis long-temps.
Prends bien garde à ce qui va suivre, et vois si tu peux en tomber d’accord avec moi.
M’accordes-tu cet ordre de causes ?
Oui, je l’accorde.
Alors, je ne comprends, plus, et je ne saurais concevoir toutes ces autres causes si savantes que l’on nous donne.
C’est à mon avis la réponse la plus sûre, pour moi comme pour tout autre, et tant que je m’en tiendrai là, j’espère bien certainement ne me jamais tromper, et pouvoir répondre en toute sûreté, moi et tout autre que moi, que c’est par le reflet de beauté primitive que les belles choses sont belles.
Ne penses-tu pas comme moi ?
Je le pense.
Ainsi, c’est par la grandeur que les choses grandes sont grandes, et les petites sont petites par la petitesse.
mais tu soutiendrais que tout ce que tu veux dire, c’est que toutes les choses qui sont plus grandes que d’autres, ne sont plus grandes que par la grandeur, et que c’est elle seule, la grandeur en elle-même, qui en est la cause ; et de même, que les petites choses ne sont plus petites que par la petitesse, la petitesse étant la cause spéciale de ce qu’elles sont petites.
N’aurais-tu pas cette crainte ?
Sans doute en riant.
car il y a même sujet de crainte.
Bien certainement.
ou plutôt n’affirmerais-tu pas hautement que tu ne connais d’autre cause de chaque phénomène que leur participation à l’essence propre à la classe à laquelle chacun d’eux appartient ; et qu’en conséquence tu n’imagines pas d’autre cause du multiple deux que sa participation à la duité, dont participe nécessairement tout ce qui devient deux, comme tout ce qui devient un, participe de l’unité ?
Que si l’on venait l’attaquer, ne laisserais-tu pas cette attaque sans réponse, jusqu’à ce que tu eusses examiné toutes les conséquences qui dérivent de ce principe, et reconnu toi-même si elles s’accordent ou ne s’accordent pas entre elles ?
il est vrai que pour ces disputeurs c’est peut-être là ce dont ils ne s’occupent guère ; il leur suffit, en mêlant tout dans leur sagesse, de pouvoir se plaire à eux-mêmes.
Quant à toi, si tu es philosophe, tu agiras, je pense, comme je l’ai dit.
Tous ceux qui étaient là furent de cet avis.
Et c’est ce que nous pensons, nous qui n’y étions pas, sur le récit que tu nous en fais.
Mais que dit-on après cela ?
Mais ne conviens-tu pas que si tu dis ; Simmias est plus grand que Socrate ; cette proposition telle qu’elle est littéralement, n’est pas exacte ?
Et encore il n’est pas plus grand que Socrate parce que Socrate est Socrate, mais parce que Socrate participe de la petitesse en comparaison de la grandeur de Simmias.
Cela est vrai.
C’est cela.
Et se mettant à rire en même temps : En vérité, dit-il, j’ai bien l’air de m’exprimer avec toute l’exactitude d’un greffier, mais enfin la chose est ainsi.
Cébès en convient.
Et j’appuie là-dessus parce que je voudrais te voir de mon opinion.
La grandeur ne peut être petite en même temps qu’elle est grande, et de même la petitesse qui est en nous n’empiète jamais sur la grandeur ; en un mot, aucun des contraires pendant qu’il est ce qu’il est ne peut vouloir devenir ou être son contraire ; mais ou il se retire, ou il périt quand l’autre arrive.
Oui, j’en suis convaincu.
car n’es-tu pas convenu que le plus grand naît du plus petit, et le plus petit du plus grand ; en un mot, que les contraires naissent toujours de leurs contraires ?
et présentement, il me semble que je t’entends dire que cela ne peut jamais arriver.
Socrate s’était penché en avant pour entendre.
Nous avons dit qu’une chose naît de son contraire ; et ici nous disons qu’un contraire ne devient jamais lui-même son contraire, ni en nous ni dans la nature.
En disant cela, il regardait Cébès ; et il lui demanda : Eh bien ! l’objection qu’on vient de faire ne t’a-t-elle pas troublée ?
Non, je ne suis pas si faible, sans vouloir toutefois assurer que rien ne soit désormais capable de me troubler.
Cela est vrai.
Vois encore si tu conviendras de ceci : Y a-t-il quelque chose que tu appelles le chaud, quelque chose que tu appelles le froid ?
Assurément.
La même chose que la neige et le feu ?
Non, par Jupiter.
Le chaud est donc quelque autre chose que le feu, et le froid quelque autre chose que la neige ?
Oui, certes.
Il n’y a pas de doute.
Et le feu aussi, à l’approche du froid, doit se retirer ou périr ?
car il est impossible qu’après avoir reçu le froid il soit encore feu, comme il était, et qu’il soit froid.
Fort bien, dit-il.
Des exemples éclairciront ce que je dis : L’impair doit toujours avoir le même nom, n’est-ce pas ?
Oui, sans doute.
Or, je te demande, est-ce la seule chose qui ait ce nom ?
comme, par exemple, le nombre trois et plusieurs autres : arrêtons-nous sur celui-là.
Cependant telle est la nature de ce nombre, de celui de cinq, et de toute la moitié des nombres, que quoique chacun d’eux ne soit pas ce qu’est l’impair, il est pourtant toujours impair.
N’en demeures-tu pas d’accord ?
Le moyen de s’en empêcher ?
Le nombre trois, par exemple, ne dirons-nous pas qu’il doit périr ou éprouver tout au monde plutôt que de devenir jamais nombre pair en restant trois ?
Assurément.
Cependant, le deux n’est pas contraire au trois.
Non, sans doute.
Ce n’est donc pas seulement les contraires qui s’excluent, mais il y a encore d’autres choses incompatibles.
Cela est sûr.
Veux-tu que nous déterminions, si nous le pouvons, quelles elles sont ?
Je le veux bien.
Comment dis-tu ?
Qui en doute ?
Eh bien, je dis que dans une chose telle que celle-là il ne peut jamais entrer d’idée contraire à celle qui la constitue.
Non, jamais.
Or, ce qui la constitue, n’est-ce pas l’impair ?
Et l’idée contraire à l’idée de l’impair, n’est-ce pas celle du pair ?
L’idée du pair ne se trouve donc jamais dans le trois ?
Non, sans doute.
Le trois est donc incapable du pair ?
Incapable.
Car le trois est impair.
Assurément.
Vois donc si tu n’accepterais pas cette proposition : non-seulement le contraire n’admet pas son contraire, mais tout ce qui apporte avec soi un contraire, en se communiquant à une autre chose, n’admet rien de contraire à ce qu’il apporte avec soi.
Penses-y bien encore : car il n’est pas mal d’entendre cela plusieurs, fois.
Je te suis à merveille, et j’en demeure d’accord.
Outre la manière de répondre, dont nous avons parlé d’abord, et qui est sûre, ce que nous venons de dire m’en fait découvrir une autre, qui ne l’est pas moins.
Vois si tu as entendu suffisamment ce que je veux ?
Je t’ai parfaitement entendu.
Réponds-moi donc continua-t-il.
Qui fait que le corps est vivant ?
C’est l’âme.
Et en est-il toujours ainsi ?
Comment en serait-il autrement.
L’âme apporte donc avec elle la vie partout où elle entre ?
Cela est certain.
Y a-t-il quelque chose de contraire à la vie, ou n’y a-t-il rien ?
Oui, il y a quelque chose.
Qu’est-ce ?
La mort.
L’âme n’admettra donc jamais ce qui est contraire à ce qu’elle apporte toujours avec elle ; cela suit nécessairement de nos principes.
J’en conviens.
Mais comment appelons-nous ce qui ne reçoit jamais l’idée du pair ?
L’impair.
Comment appelons-nous ce qui n’admet pas la justice, et ce qui n’admet pas l’ordre ?
L’injustice et le désordre.
Soit.
Et ce qui ne reçoit jamais la mort, comment l’appelons-nous ?
Immortel.
L’âme ne reçoit point la mort ?
Non.
L’âme est donc immortelle ?
Immortelle.
Dirons-nous que cela est démontré, ou trouvons-nous qu’il manque quelque chose à la démonstration ?
Cela est très suffisamment démontré, Socrate.
Quoi donc, dit-il, ô Cébès ! si c’était une nécessité que l’impair fût périssable, le trois ne le serait-il pas aussi ?
Qui en doute ?
car elle ne périrait point, et l’on aurait beau l’exposer au feu, elle ne recevrait jamais de chaleur.
Très vrai.
Nécessairement.
Il faut donc nécessairement aussi dire la même chose de ce qui est immortel.
On me dira peut-être : Que l’impair ne puisse devenir pair par l’arrivée du pair : nous en sommes convenus ; mais qui empêche que l’impair venant à périr, le pair ne prenne sa place ?
Je ne pourrais pas répondre à cette objection, que l’impair ne périt point, puisque l’impair n’est point impérissable.
N’est-ce pas ?
Assurément.
Cela n’est pas nécessaire ; car qui serait impérissable, si ce qui est immortel et éternel est sujet à périr ?
Par Jupiter, tous les hommes en conviendront ; et les dieux bien plus encore, je pense.
Or, puisque l’immortel est impérissable, l’âme, si elle est immortelle, peut-elle n’être pas impérissable ?
Il faut qu’elle le soit nécessairement.
Cela est évident.
Si donc il y a quelque chose d’immortel et d’impérissable, l’âme, ô Cébès, doit l’être ; et nos âmes existeront réellement dans l’autre monde.
Ni moi non plus, je n’ai rien à opposer à Socrate ; mais j’avoue que la grandeur du sujet et le sentiment de la faiblesse naturelle à l’homme me laissent toujours malgré moi un peu d’incrédulité.
Fort bien.
Car si la mort était la cessation absolue de toute existence, ce serait un grand gain pour les méchans après leur mort d’être délivrés à-la-fois de leur corps, de leur âme et de leurs vices, mais puisque l’âme est immortelle, elle n’a d’autre moyen de prévenir les maux qui l’attendent, et il n’y a d’autre salut pour elle, que de devenir éclairée et vertueuse.
Voici ce qui se passe, dit-on, lorsque quelqu’un est mort : le même génie qui a été chargé de lui pendant sa vie, le conduit dans un certain lieu où les morts se rassemblent pour être jugés avant d’aller dans l’autre monde avec le même conducteur auquel il a été ordonné de les conduire d’ici jusque-là, et après qu’ils ont reçu là les biens ou les maux qu’ils méritent, et qu’ils y ont demeuré tout le temps prescrit, un autre conducteur les ramène dans cette vie après de longues et nombreuses révolutions de siècles.
L’âme tempérante et sage suit volontiers son guide, et avec la conscience du sort qui l’attend, mais celle qui tient à son corps par ses passions, comme je le disais précédemment, y reste long-temps attachée ainsi qu’au monde visible, et ce n’est qu’après beaucoup de résistances et beaucoup de souffrances, par force et à grand’peine, qu’elle est entraînée par le guide qui lui a été assigné.
Mais celle qui a passé sa vie avec pureté et avec tempérance, a les dieux mêmes pour compagnons et pour guides, et va habiter le lieu qui lui a été réservé ; car la terre a bien des lieux différens et admirables, et elle-même n’est point telle que se la figurent ceux qui ont coutume de vous en faire des descriptions, d’après ce que j’ai entendu dire par quelqu’un.
J’ai aussi entendu dire plusieurs choses de la terre, mais ce ne sont pas les mêmes que tu as adoptées : je t’entendrais volontiers là-dessus.
Peut-être même cette entreprise est-elle au-dessus de mes forces ; et quand elle ne le serait pas, le peu de temps qu’il me reste à vivre ne souffre pas que nous entamions un si long discours.
Quand à te donner une idée de la terre et de ses différens lieux, comme je me figure que la chose est, rien n’empêche que j’essaie de la faire.
Cela nous suffira.
Et avec raison.
Enfoncés dans ces cavernes sans nous en douter, nous croyons habiter le haut de la terre, à-peu-près comme quelqu’un qui, faisant son habitation dans les abîmes de l’Océan, s’imaginerait habiter au-dessus de la mer ; et qui, pour voir au travers de l’eau le soleil et les autres astres, prendrait la mer pour le ciel, et n’étant jamais monté au-dessus, à cause de sa pesanteur et de sa faiblesse, et n’ayant jamais avancé la tête hors de l’eau, n’aurait jamais vu lui-même combien le lieu que nous habitons est plus pur et plus beau que celui qu’il habite, et n’aurait jamais trouvé personne qui pût l’en instruire.
Voilà l’état où nous sommes.
Mais ce qu’on trouve dans l’autre séjour est encore plus au-dessus de ce que nous voyons dans le nôtre ; et pour vous faire connaître la beauté de cette terre pure, située au milieu du ciel, je vous dirai, si vous voulez, une belle fable qui mérite d’être écoutée.
Et nous, nous l’écouterons avec un très grand plaisir.
L’une est d’un pourpre merveilleux ; l’autre, de couleur d’or ; celle-là, d’un blanc plus brillant que le gypse et la neige ; et ainsi des autres couleurs qui la décorent, et qui sont plus nombreuses et plus belles que toutes celles que nous connaissons.
Dans cette terre si parfaite, tout est en rapport avec elle, plantes, arbres, fleurs et fruits ; les montagnes même et les pierres ont un poli, une transparence, des couleurs incomparables ; celles que nous estimons tant ici, les cornalines, les jaspes, les émeraudes, n’en sont que de petites parcelles.
Outre toutes ces beautés, cette terre est ornée d’or, d’argent et d’autres métaux précieux, qui, répandus en tous lieux en abondance, frappent les yeux de tous côtés, et font de la vue de cette terre un spectacle de bienheureux.
Leurs saisons sont si bien tempérées, qu’ils vivent beaucoup plus que nous, toujours exempts de maladies ; et pour la vue, l’ouïe, l’odorat et tous les autres sens, et pour l’intelligence même, ils sont autant au-dessus de nous, que l’air surpasse l’eau en pureté, et que l’éther surpasse l’air.
Voilà quelle est cette terre à sa surface ; elle a tout autour d’elle plusieurs lieux, dont les uns sont plus profonds et plus ouverts que le pays que nous habitons ; les autres plus profonds, mais moins ouverts, et d’autres moins profonds et plus plats.
Ces lieux se remplissent de l’une ou de l’autre de ces matières, selon la direction qu’elles prennent chaque fois en se débordant.
Ces masses énormes se meuvent en haut et en bas, comme un balancier placé dans l’intérieur de la terre.
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